Tatie Solange 02

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Tatie Solange 02Tatie Solange IILes surprises de la route :De fort méchante humeur, Guillaume lança la « 607 » sur la nationale, pestant contre le malheureux employé qui avait, bien malgré lui, interrompu un intermède qui s’annonçait des plus sensuels. Jurant intérieurement, il songea à demander à son épouse de le branler pendant qu’il conduisait, comme cela leur était quelquefois arrivé du temps de leur lune de miel ; Nicole allant même jusqu’à le sucer pendant qu’ils roulaient sur des routes tranquilles. Mais la peur du gendarme en embuscade au détour d’un virage lui fit rejeter cette folle initiative. Cependant, malgré l’attention qu’il dut porter à la conduite de la « 607 » sur cette route sinueuse, ne calma pas son désir. A l’intérieur de son slip, son sexe toujours aussi raide, réclamait un apaisement, que la main de sa femme amoureusement posée sur sa braguette était loin de lui apporter, ne faisant qu’accentuer son besoin.Sagement assise à « la place du mort », Nicole n’avait rien à envier à son mari pour ce qui était du désir, des spasmes langoureux lui torturaient le bas-ventre. Pressant voluptueusement la bosse qui déformait le devant du pantalon de son époux, elle s’ingénia à maintenir en état l’érection dont ce dernier était victime. Alors que Guillaume se concentrait sur la conduite de la voiture, Nicole étant libre de ses mouvements, décida d’occuper son temps d’une manière agréable : surtout pour son compagnon. Habillement, malgré la ceinture de sécurité dont son mari était harnaché, elle fit glisser le zip de la braguette du pantalon. Avec quelques difficultés, elle réussit cependant à glisser sa main gauche par l’ouverture ainsi pratiquée. Immédiatement, elle trouva ce qu’elle cherchait : une volumineuse saillie déformait le slip, moulant la verge gonflée de son époux :— Humm, mon pauvre chéri, te voilà bien handicapé, minauda-t-elle… Si tu trouves un coin tranquille, je pourrais te soulager, proposa-t-elle, perturbée par cette érection qu’elle percevait sous ses doigts.Encore sous le coup de sa déception, Guillaume se contenta d’un grognement pour toute réponse. Ne recevant pas la réponse qu’elle escomptait, Nicole décida alors d’assumer son rôle d’épouse, comme elle le faisait depuis vingt ans. Refermant ses doigts autour de la protubérance que formait la queue bandée, elle la massa en une lente, mais sensuelle masturbation.Sous l’initiative de sa femme Guillaume sentit son bas-ventre se contracter, signe d’une intense excitation. Jetant un coup d’œil en direction de sa perverse épouse, son regard s’arrêta sur les longues cuisses fuselées, que la courte jupe dévoilait très haut. Sachant qu’aucune culotte ne protégeait le sexe de sa compagne, il en ressentit un surplus d’excitation. Retirant sa main droite du volant, il la posa sur la cuisse dévoilée dans une caresse pleine de douceur. Insensiblement, sans quitter la route des yeux, il remonta ses doigts le long de la chair nue, les infiltrant sous la jupe en direction du sexe convoité.Heureuse de la réaction de son époux, Nicole écarta ses jambes autant que lui permettait sa jupe étroite, désireuse d’offrir à ce dernier le fruit juteux de sa chatte en émoi. Mais l’étroitesse de la jupe empêcha immédiatement la progression de la main en direction du sanctuaire érotique. Frustré, se trouvant bloqué dans ses explorations sexuelles, Guillaume se contenta de caresser avec amour la cuisse nue. Nicole de son côté, la main bien installée à l’intérieur du pantalon dégrafé, pouvait œuvrer à son aise. Les doigts refermés autour de l’excroissance déformant le slip, elle massa le membre viril gonflé, avec douceur, mais insistance. En maintenant ainsi l’excitation de son mari à son summum, elle gardait l’espoir de profiter à un moment donné, de cette vigoureuse érection. Les vacances démarraient idéalement, songea-t-elle. Or, alors que tous deux se complaisaient dans un bien-être voluptueux, un feu rouge clignotant les ramena à la réalité, les obligeant à stopper la « 607 ». Un des employés de la voirie, vêtu d’un gilet jaune, s’approcha de la voiture pour les informer, obligeant Nicole à retirer sa main du pantalon de son compagnon.— Comme c’est dommage, se plaignit aussitôt Guillaume… Ça commençait à devenir bon !…— Ce n’est que partie remise, tenta de le rassurer Nicole.En raison de travaux de voirie, expliqua le responsable, la route était détournée. Ils devraient passer par un hameau voisin. Ecoutant ce que lui précisait le canalisateur, Guillaume remarqua, amusé, les fréquents regards que ce dernier dirigeait sur les cuisses dénudées très haut de Nicole. Qu’un inconnu puisse être alléché par son épouse était quelque chose de nouveau pour Guillaume. Et étrangement, il en éprouva un plaisir étrange, mêlé d’un désir pervers. Il aurait aimé que la jupe, pourtant bien retroussée, dévoile encore plus des charmes de sa femme, d’autant qu’aucun sous-vêtement ne protégeait sa féminité.S’étant quand même reculé, abandonnant ses explications et les affolantes visions des cuisses nues de la passagère de la « Peugeot », le responsable des travaux leur fit signe de passer ; un peu désolé de devoir abandonner le merveilleux spectacle que la femme lui avait inconsidérément offert. Guillaume reprit la route suivant les recommandations du chef des travaux, l’esprit plein de projets érotiques. Les regards béats d’admiration avec lesquels l’employé de la voirie avait contemplé les cuisses de son épouse, non seulement ne l’avaient pas choqué, aussi bizarrement que cela lui paraisse, mais avaient provoqué en lui un pervers plaisir. Et tout en fixant la route devant lui, il réfléchissait à la manière de renouveler ce ravissement étrange qu’il venait de découvrir. Mille plans, plus saugrenus les uns que les autres, défilèrent dans son esprit enfiévré. C’est Nicole, qui rompant soudain le silence qui s’était établi entre eux, le tira de ses rêveries :— Tu as vu, comment il reluquait mes cuisses ?…— Oui en effet, j’ai remarqué… — Et ça ne t’a pas gêné qu’un homme s’excite sur mes cuisses ?…— Pas plus que toi, précisa Guillaume qui voyait ses désirs prendre forme… Ça m’a même excité de voir ce malheureux bavé de désir à te contempler…— Salaud… J’aurais pu aussi lui montrer que je n’avais pas de culotte… Moi aussi ça m’a troublé de sentir ce regard sur mes cuisses… J’avais l’impression de me retrouver nue…Ravi par la réponse de sa femme, qui allait dans le sens de son pervers désir, Guillaume s’empressa de proposer ses intentions :— On pourrait recommencer !— Il faudrait trouver un barrage, rétorqua Nicole, songeant que son époux plaisantait. Or, tout en dialoguant ainsi de leurs désirs personnels, ils arrivèrent au hameau annoncé par le responsable de la voirie. Ils tournèrent quelque temps parmi les ruelles sans indications, passant à plusieurs reprises devant les mêmes monuments. Devant l’échec de leurs recherches, Guillaume apercevant un individu qui marchait sur le trottoir de droite quelques mètres devant eux décida de l’interpeller pour lui demander son itinéraire.Albert, sa journée terminée s’en retournait à la ferme familiale. Unique garçon d’une famille de cinq enfants. Il était, ses sœurs plus âgées s’étant mariées et ayant été vivre avec leurs époux, seul à vivre et à diriger la ferme en compagnie de sa mère, veuve depuis dix ans. A dix-sept ans, le jeune homme avait trouvé un emploi de quelques heures comme employé municipal, ce qui lui permettait de subvenir aux besoins de la famille, la ferme n’étant pas d’un apport suffisant. Sa mère âgée de cinquante-cinq ans se contentait d’élever des volailles et quelques chèvres, dont elle tirait des fromages qu’elle vendait aux différents restaurants de la région.Lorsque la « 607 Peugeot »?bleu nuit stoppa à sa hauteur, le jeune homme ne put s’empêcher d’admirer cette voiture aux lignes fluides, dont il savait que jamais il ne pourrait s’offrir. Mais son attention fut vite détournée par l’apparition d’un visage féminin d’une rare beauté, qui, par la vitre baissée, l’interpella :— Pardon monsieur. Pouvez-vous nous indiquer la route de Moûtiers, s’il vous plait?? Lui demanda la divine apparition.Le regard fixé sur ce visage de madone aux longs cheveux blonds qui lui souriait tendrement, Albert s’avança, quelque peu intimidé. Jamais il n’avait rencontré de femme aussi belle. Il est vrai que ne quittant pratiquement jamais la ferme, il n’avait pas l’occasion de croiser des personnes du sexe opposé belle ou pas. A vrai dire, à dix-sept ans le jeune homme n’avait encore jamais eu de liaison amoureuse avec une fille, bien, que depuis quelque temps, une femme, la patronne de l’hôtel du hameau, le regardait, lui semblait-il, d’un air engageant, lorsqu’il venait livrer les fromages de chèvre. Ce qu’il connaissait des femmes, il l’avait surtout découvert grâce aux revues érotiques qu’il réussissait à se procurer en cachette, et sur lesquelles il se masturbait le soir dans son lit. Aussi c’est avec une réelle admiration qu’il s’approcha de la vitre baissée par laquelle, telle une apparition céleste, cette merveilleuse blonde aux grands yeux de biche semblait l’implorer.Mais alors qu’il avançait son visage à l’intérieur de la voiture, pour renseigner ces Lyonnais égarés, son regard plongea directement sur les jambes largement dévoilées de la jeune femme. Cette dernière songea-t-il, ne s’était certainement pas rendue compte que sa jupe fort courte, s’était légèrement retroussée et dénudait une partie importante de ses cuisses. Médusé, incapable de prononcer un mot, Albert demeura le regard braqué sur le spectacle terriblement affolant que la femme lui offrait involontairement.Cette dernière possédait des cuisses longues et fuselées, mais adorablement charnues et dont on devinait les muscles fins sous la chair hâlée. Jamais le jeune homme n’avait contemplé tableau plus admirable. En fait, les seules comparaisons auxquelles il pouvait se rattacher étaient les jambes de ses sœurs, lorsque celles-ci venant passer le week-end à la ferme, se mettaient en short ou quelques fois en maillot de bain. Mais la vision qu’il avait présentement sous les yeux dépassait en grâce et en harmonie, tout ce qu’il avait pu contempler jusqu’alors.« Passionné d’informatique, Albert avait, après que sa mère le lui eut demandé, installé une webcam reliée à son ordinateur. Malgré une faible résolution, le résultat avait été plus que satisfaisant.Or quelques jours plus tard, alors que le soleil plombait de ses feux ardents tout ce qui vivait dans la région, il avait décidé de remettre son labeur pour la commune au lendemain matin, au moment où il ferait plus frais. Rentré à la ferme, il n’avait pas été plus surpris que ça de ne pas y trouver sa mère, celle-ci devant certainement s’occuper de ses chèvres. Pressé de se mettre à l’aise, il s’était rendu dans sa chambre où il s’était dévêtu, ne gardant que son slip, les murs épais de la ferme isolant parfaitement les pièces de la chaleur externe. Désirant savoir si sa mère se trouvait réellement en compagnie des chèvres, Albert avait alors allumé son ordinateur et chargé le programme lui permettant de visionner ce qui se passait à l’intérieur de l’écurie. Immédiatement, il avait reconnu la silhouette quelque peu dodue de sa chère maman, vaquant à différents travaux. Emu de voir sa génitrice se dépenser ainsi par cette canicule, il avait décidé d’aller l’aider dans son labeur. Ayant enfilé un short, il s’apprêtait à éteindre l’ordinateur et la caméra-espionne, lorsqu’un détail inattendu stoppa son geste : sa mère, un seau à la main, s’était rapprochée involontairement de la webcam. Albert demeura alors scotché devant son écran par ce qu’il y découvrait. Certainement perturbée par la chaleur, et ne se doutant pas qu’elle pouvait être vue par son fils, qu’elle pensait être à accomplir ses tâches quotidiennes au village, elle avait entièrement déboutonné sa blouse afin de profiter d’un peu de fraîcheur.Troublé, le jeune homme avait alors découvert le corps de celle qui l’avait mis au monde, car cette dernière sous sa blouse ne portait pour tout sous-vêtement qu’une grossière culotte blanche, qui lui emprisonnait les hanches, que six grossesses avaient passablement évasées. Mais ce qui avait surtout attiré son regard avait été les lourdes mamelles aux larges mamelons bruns, presque noirs, et qui ballottaient doucement au moindre mouvement de leur propriétaire. Même si la vision avait été fugace, sa mère étant passée très vite devant l’œil indiscret de la caméra, le jeune homme en avait été fortement troublé.De cette révélation, lui était venue alors une folle idée !… Installer, en cachette de sa güvenilir bahis mère bien sûr, d’autres caméras dans la maison… Mettant à profit les moments où il se trouvait seul à la ferme, il avait camouflé une caméra dans la salle de bain, une autre dans la chambre parentale et enfin une troisième dans la chambre qu’occupaient ses sœurs lorsqu’elles venaient passer le Week-End. Le travail avait été facilité par les murs en pisé de la ferme.Grâce à cette installation, il avait pu suivre par écran interposé les moments les plus intimes de sa mère, et ses sœurs ; soit lorsqu’elles faisaient leurs toilettes, soit lorsqu’elles se déshabillaient avant de se mettre au lit. Il avait ainsi au fil des jours, pu découvrir à loisir les formes épanouies de sa mère et celles plus sensuelles de ses sœurs. A cinquante ans passés, sa mère possédait quelques rondeurs qui étaient venues alourdir son corps, qui avait dû être des plus voluptueux quelques années plus tôt. Mais en dépit de son âge, et peut-être à cause de ce léger embonpoint qui l’enveloppait, sa chère maman se parait à ses yeux d’une certaine sensualité sauvage. A tel point que plus d’une fois, assis devant son écran, il l’avait longuement épié d’un œil émoustillé, se masturbant même quelques fois en assistant à la toilette intime de celle qui l’avait conçu?; surtout lorsque cette dernière, après avoir glissé une main savonneuse entre ses cuisses, se frottait doucement la vulve, qu’elle avait abondamment poilue. »Fixant le jeune inconnu qui lui paraissait étrangement troublé, Nicole ne tarda pas à remarquer la direction du regard de ce dernier. Un étrange sentiment s’empara alors d’elle. A la gêne d’être ainsi offerte aux regards de cet étranger, un certain plaisir pervers la fit frissonner, comme quelques instants plus tôt avec l’employé de la voirie. Alors que sa pudeur lui commandait de tirer sa jupe sur ses genoux afin de cacher ses cuisses dénudées, un désir pernicieux lui faisait regretter que cette même jupe ne soit pas plus retroussée, et dévoile au regard de l’adolescent qu’aucune culotte ne venait barrer son entrecuisse. Terriblement émue, elle jeta un rapide coup d’œil en direction de son mari.Guillaume s’était également aperçu de ce qui semblait attirer l’adolescent. La jupe de Nicole était largement retroussée, dévoilant une partie importante de ses cuisses ; et vu la position écartée de ses jambes, le spectacle qu’elle offrait bien involontairement avait de quoi affoler le jeune homme. Prenant soudainement conscience de ce que ses pensées avaient d’inconvenant, Nicole s’interrogea sur ce qui se passait au plus profond d’elle-même ?… Jamais, en vingt ans de mariage, elle n’avait trompé son mari, pas même en songe. Et voilà qu’elle éprouvait le désir de s’offrir en spectacle à un adolescent, guère plus âgé que son fils. Au plus profond de son bas-ventre, des frémissements bien connus lui rappelaient sa condition féminine. C’est ces mêmes frémissements qui venaient perturber sa libido, lors des désirs que son époux faisait naître en elle. Etonnée par cet étrange sentiment, elle s’interrogea sur ce qui lui arrivait. Elle trouvait normal d’avoir éprouvé un certain plaisir pervers sous le regard concupiscent du chef de chantier, lors de leur arrêt à la bifurcation ; toutes femmes aiment surprendre qu’un homme les désire. Mais présentement, l’individu qui la contemplait avec tant d’adoration n’était guère plus vieux que son fils. Comment pouvait-elle ressentir ce malaise érotique ? C’était comme si ses sens s’étaient ouverts à de nouveaux appels sexuels… Jamais sa sensualité ne l’avait autant travaillé. Alors que la sourde chaleur lui irradiait le vagin, un afflux important de cyprine humidifiait sa vulve.Conscient du trouble qui habitait son épouse, Guillaume la surveilla attentif à sa réaction. Malgré la perplexité qui semblait l’avoir saisi Nicole, ne tenta pas de cacher ses jambes découvertes à l’adolescent. Voyant dans cette acceptation à se laisser examiner, un encouragement à mettre en pratique son pervers désir, Guillaume posa négligemment sa main droite sur la cuisse gauche de sa femme. Tout en écoutant les explications du jeune homme sur la route à suivre, il s’ingénia à retrousser subrepticement la courte jupe, découvrant un peu plus généreusement les longues cuisses fuselées, objet des convoitises du jeune homme.Tâchant de renseigner le chauffeur de la « 607 » d’une voix mal assurée, Albert ne pouvait s’empêcher de jeter de fréquents regards en direction des cuisses maintenant largement dénudées de la merveilleuse créature, assise à quelques centimètres de son regard. Son compagnon, en se penchant pour l’écouter, avait posé sa main sur le haut de sa jambe, repoussant par inadvertance la courte jupe. Mais alors que la jeune femme esquissait un mouvement, Albert, la gorge soudainement nouée, aperçut un début de pilosité blonde à la jointure des cuisses découvertes. La merveilleuse créature au visage de madone italienne, qui lui souriait d’un air tellement angélique, ne portait pas de culotte sous sa jupe?! Albert sentit, au bas de son ventre, sa virilité prompte à s’émouvoir se redresser instantanément prête pour une joute amoureuse.Lorsque la main chaude et caressante de Guillaume se posa sur le haut de sa jambe nue, et que dans un mouvement anodin elle repoussa sa courte jupe, déjà largement retroussée, Nicole éprouva un sentiment étrange. Sentiment où se mêlaient simultanément gêne et plaisir : gêne de se trouver ainsi troussée devant un inconnu et dans le même temps un certain plaisir à être ainsi offerte par son propre mari à la convoitise de ce jeune homme. Un long frisson la parcourut… Sa pudeur naturelle lui commandait de repousser la main de son pervers époux et de tirer sa jupe sur ses genoux alors qu’un étrange désir, inconnu jusqu’alors, l’incitait à écarter ses cuisses et à offrir à l’adolescent, la vision de sa féminité broussailleuse. Affolée, par ses idées contraires, elle accepta, dans un long frisson voluptueux les hardiesses perverses de son mari. Un flot abondant suintait d’entre les grandes lèvres de sa vulve en émoi. Cette journée lui réservait de véritables surprises.Elle habituellement si pudique?; se refusant à porter des corsages ou des robes par trop décolletées qui auraient pu dévoiler sa gorge ronde, se découvrait avec ahurissement un certain penchant pour l’exhibitionniste. Le fait que ce jeune homme puisse lorgner en direction de ses cuisses largement découvertes, et apercevoir entre celles-ci les boucles blondes de sa toison intime, l’excitait au plus haut point. Jamais elle n’avait ressenti pareille émotion auparavant. Un sentiment nouveau venait de se débloquer en elle, qui la laissait abasourdie.Cependant, lorsqu’au bout d’un certain temps, renseigné sur la route à suivre, son mari retira sa main de sa cuisse pour reprendre la conduite de la « 607 », un sentiment de frustration saisit la jeune femme. Durant le trajet qui les rapprochait enfin du but de leur voyage, elle tenta de comprendre ce qui lui arrivait.Elle savait que certains individus, hommes ou femmes, prenaient un plaisir évident à s’exhiber. Mais jamais elle ne se serait imaginée ressentir une telle exaltation à sentir le regard d’un inconnu se poser sur les endroits de son corps, qu’habituellement elle ne dévoilait qu’à son mari et à son médecin.Indifférente au paysage qui défilait, Nicole songeait comment elle pourrait renouveler l’expérience, avec ou sans la complicité de son pervers époux.— Pauvre garçon, lui lança soudain Guillaume la tirant de sa rêverie érotique… Tu lui as offert un spectacle qu’il n’est pas près d’oublier.— Dis plutôt que tu lui as offert le spectacle, répliqua Nicole amusée. Tu ne m’as pas tellement demandé mon accord pour lui montrer mes cuisses?!… Et tout le reste?!… — En effet !… Mais je n’ai pas eu l’impression que ça t’avait beaucoup embarrassée. Je me trompe??— Humm.Décidant d’être franche envers son époux, après ce qu’il lui avait obligé de subir, Nicole avoua :— C’est vrai… J’ai éprouvé une certaine excitation à être ainsi offerte au regard d’un inconnu.— C’est vrai?? s’exclama Guillaume à qui l’aveu de sa femme ouvrait soudainement d’agréables perspectives.— Je crois bien qu’il s’est rendu compte que je ne portais pas de culotte, continua Nicole d’une voix encore émue par ce souvenir.— Et ça t’a plu??— Heu… je dois avouer que oui, avoua la jeune femme.— Alors il faudra que l’on recommence, décréta Guillaume, déjà fort excité à l’idée d’offrir ainsi les charmes de son épouse à un inconnu pris au hasard, et des suites érotiques qui pourraient en découler.Malheureusement pour eux, aucune occasion pouvant satisfaire leurs désirs communs ne se présenta, le long de la route restant à faire, pour leur déception à tous deux… Enfin, aux alentours de dix-sept heures, ils atteignirent le but de leur voyage. Guillaume dirigea la « 607 » dans l’immense cour de la ferme où avait grandi Nicole. Le cœur battant, celle-ci aperçut immédiatement Jérémy, son fils, accourir à leur rencontre suivie de sa mère.— Maman ! s’exclama l’adolescent en se jetant dans ses bras.— Mon Dieu, comme tu as grandi, murmura Nicole, émue de retrouver son fils après un mois de séparation.Mais, elle ne put en dire plus, Louise, sa mère, les yeux pleins de larmes, l’enlaçait avec une émotion non feinte, tandis Maurice, son père donnait l’accolade à son gendre. Les embrassades durèrent bien un quart d’heure, avant que tout le monde se dirige enfin en direction de la ferme, les yeux encore pleins de larmes, Nicole, pressant son fils retrouvé contre elle.La fin de l’après-midi se passa dans l’immense salle à manger autour d’un gâteau de Savoie et d’une bouteille de crémant de Bourgogne. Chacun interrogeait l’autre. Pour Nicole, pressant son fils contre son épaule, sa curiosité était de savoir comment s’était comporté celui-ci vis-à-vis de ses grands-parents, s’il ne les avait pas trop fatigués. Louise, qui voyait son petit-fils et amant occasionnel se détacher d’elle pour se rapprocher de sa mère, s’empressa, le cœur gonflé de chagrin, de prendre la défense de l’adolescent ; louant sa gentillesse et sa serviabilité, tout en se remémorant avec un brin de tristesse les instants de voluptés qu’ils avaient passés ensemble. Jérémy avait été un élève assidu aux leçons sexuelles qu’elle lui avait transmises et qu’il avait très vite assimilées. Lors de leurs rapports i****tueux, il lui avait procuré des moments de plaisir inouïs. A l’idée que son jeune étalon allait la quitter le lendemain, Louise éprouvait une immense tristesse qu’elle se devait de cacher.Tout en dégustant son crémant, et écoutant les bavardages de son beau-père, Guillaume ne pouvait s’empêcher de détailler sa belle-mère. Quelque chose l’intriguait chez cette dernière, sans pouvoir exactement définir quoi !… Certes, il avait toujours considéré la mère de son épouse comme une femme charmante, encore avenante ; une adorable belle-mère, sans plus. Mais présentement, assis en face d’elle, un détail inconnu attirait son attention. C’était comme s’il la découvrait pour la première fois. Or à un moment, Louise se leva de table afin d’aller chercher des serviettes. L’explication lui sauta alors aux yeux : ce détail, qui depuis un moment l’intriguait, venait tout simplement des vêtements qu’elle portait !Il avait toujours connu sa belle-mère vêtue comme une personne de son âge, c’est-à-dire avec des vêtements particulièrement amples, qu’elle devait acheter dans les boutiques réservées aux personnes du troisième âge. Etonnamment, ce jour elle portait une jupe étroite qui moulait à la perfection ses hanches et sa croupe qu’elle avait fortement rebondit. Chaque pas qu’elle faisait agitait ses fesses en un roulis des plus sensuels. Lorsqu’elle regagna sa place, les serviettes à la main, Guillaume détailla plus intensément cette nouvelle femme qu’était devenue sa belle-mère. Comme sa jupe, le corsage qu’elle portait était plus ajusté et soulignait avec précision les rondeurs remarquables de sa poitrine. Décolleté en « V », le léger vêtement laissait apparaître l’émouvant sillon qui courait entre les volumineux seins dont était pourvue Louise.Ayant enfin détecté ce changement qui l’intriguait, chez la mère de son épouse, depuis leur dernière visite, Guillaume apporta une attention plus prononcée sur sa belle-mère, lors de ses déplacements. Chaque geste qu’effectuait Louise faisait ressortir naturellement ses attributs féminins. Oubliant le lien de parenté qui le liait à la sensuelle créature qui accaparait son attention, Guillaume songea avec confusion que, vêtue ainsi, Louise türkçe bahis se révélait être encore très sexy. Perturbé par le spectacle des plus affriolants que celle-ci lui offrait sans s’en douter, il tenta d’imaginer à quoi pouvait ressembler la lourde poitrine qui gonflait outrageusement le corsage. De même, lorsque Louise lui tournait le dos, lors d’un déplacement, son imagination se polarisait sur la vaste croupe charnue qui ondulait dans un mouvement très sensuel. Le reste de la journée se passa en discussions, jusqu’au diner, puis tard dans la soirée. Pendant toutes ces heures passées en famille, Guillaume ne cessa d’observer sa belle-mère, cherchant à comprendre les motifs qui avaient poussé cette dernière à changer de Look. Malgré lui, il ressentait une étrange attirance pour celle qu’il appelait « Maman » depuis qu’elle lui avait donné sa fille en mariage. Installé au salon à converser, il dut faire d’énormes efforts pour chasser de son esprit les images perverses que lui suggéraient les tenues sexy de Louise. Même le moment de se séparer pour la nuit, ne réussis pas à lui faire retrouver entièrement sa sérénité.— Comme j’ai donné ta chambre de jeune fille à Jérémy, précisa Louise à sa fille, vous prendrez la chambre d’amis.Ainsi en fut-il décidé. Les uns suivant les autres, le groupe familial entama l’ascension des escaliers les menant à l’étage. En tête, retrouvant ses habitudes de jeune fille, Nicole grimpait les marches d’une allure souple, suivie de son fils. Derrière eux, Louise tentait de suivre la cadence donnée par sa fille.Comme il se trouvait placé deux marches derrière sa belle-mère, Guillaume ne se priva pas de contempler à loisir la croupe charnue, qui d’une manière terriblement sensuelle ondulait à quelques centimètres de son regard. La jupe étroite que portait Louise se plaquait si étroitement à ses fesses dodues, que Guillaume éprouva un étrange émoi en découvrant, en relief, les contours de la culotte féminine. Spectacle qui n’était pas fait pour calmer l’émoi sexuel qui le tourmentait depuis le matin. Une fois seule dans leur chambre, Nicole s’empressa de défaire l’une des valises dans laquelle étaient rangées leurs affaires pour la nuit, ainsi que le nécessaire pour leurs toilettes.— Tu n’as pas trouvé quelque chose de changé chez ta mère questionna Guillaume, qui ne pouvait chasser de son esprit les images sexy de sa belle-mère… Tu as remarqué comme elle était habillée ?— En effet. Je trouve que cela la rajeunit… Tu ne trouves pas un peu exagéré de s’habiller ainsi ? A son âge ?— Pourquoi ?… Maman est encore très belle !… Et si elle veut plaire, pourquoi pas !Alors qu’ils échangeaient leurs points de vue sur la façon dont Louise s’habillait, Nicole s’était entièrement dévêtue, et s’était parée pour la nuit d’une fine nuisette pratiquement translucide. Assis dans l’un des deux fauteuils meublant la chambre, avec le lit et une commode, Guillaume assista en spectateur privilégié à l’effeuillage de son épouse. Immédiatement, son attention fut attirée par les adorables fesses rondes que la diaphane nuisette dévoilait. Le délicat tissu dévoilait les deux hémisphères partagés par le long sillon mystérieux. Cette vision rendue plus érotique encore par la transparence du tissu accentua soudainement le désir de Guillaume. Certes, il avait fantasmé sur la croupe charnue de sa belle-mère, mais devant la vision des fesses si fermes de son épouse son choix fut immédiatement en faveur du derrière de cette dernière. Comme Nicole se penchait sur la valise pour en chercher les brosses à dents, il se redressa et s’approcha d’elle en catimini. Sans un mot, mais avec énormément de tendresse, malgré l’intense désir qui le tenaillait, il agrippa les hanches évasées qui s’offraient à lui.— Humm, susurra Nicole, consciente des dessins de son mari.Bien que se trouvant dans une position inconfortable, celle-ci ne tenta pas de se soustraire aux mains de son époux, sachant pertinemment ce que celui-ci désirait. Percevant contre sa croupe tendue par la position, la raideur impressionnante de la virilité tentée de s’immiscer entre ses fesses, un long frisson sensuel la parcourut. Comme à chaque fois que Guillaume lui faisait ressentir la vigueur de son désir, Nicole se sentit fondre littéralement. Une telle complicité sexuelle existait entre eux, qu’il suffisait que Guillaume lui fasse part de son désir, pour qu’instantanément son corps et surtout son bas-ventre s’enflamment.— Mon pauvre chéri, minauda-t-elle… C’est vrai qu’il y a si longtemps que tu attends !… Je peux faire quelque chose pour toi, continua-t-elle mutine en ondulant lascivement des hanches, frottant ses fesses contre cette protubérance qu’elle percevait. Conscient de l’acceptation de son épouse à résoudre ses problèmes libidinaux, Guillaume remonta doucement ses mains depuis les hanches jusqu’à la poitrine ronde et compacte. Sachant combien Nicole était sensible aux attouchements de ses mamelons, il entreprit de les masser tendrement. Tout en agaçant les tétons raidis, il se pencha sur la nuque de sa partenaire pour la picorer de tendres baisers appuyés. S’il était une caresse qui bouleversait Nicole, au point de la priver de toute volonté, s’était bien ces baisers voluptueux saupoudré sur sa nuque sensible.Sous les attaques simultanées des endroits de son corps particulièrement sensibles, Nicole ne put retenir un petit gémissement de contentement, encourageant ainsi son mari à continuer ses attouchements. Et comme pour lui faire comprendre son acceptation à ses désirs, elle plaqua ses paumes sur les mains de Guillaume qui avaient empaumé ses seins, forçant ce dernier à malaxer plus fermement ses fruits de chair gonflés. Le bas-ventre parcouru par de longs frissons voluptueux, créés par les sensuels baisers que son mari lui dispensait d’une bouche passionnée, elle inclina la tête, offrant généreusement sa nuque aux lèvres butineuses.Ainsi encouragé, Guillaume dont le désir n’avait fait que croître pendant ces préliminaires, accentua alors ses baisers sur la chair tendre et frémissante du cou de sa femme.Pressée soudain de sentir ces mains qui savaient si bien l’amener au summum du plaisir, frôler sa chair palpitante, Nicole se cambra, faisant saillir sa poitrine ronde aux tétons agressifs. Dans ce mouvement, sa croupe vint se coller plus étroitement au le bas-ventre de son époux. Le sexe gonflé, dur et volumineux, véritable gourdin, s’insinua naturellement entre les rondeurs de ses fesses, déclenchant dans son corps un regain de désir. Soudainement enfiévrée, elle lança ses mains dans son dos pour se saisir des hanches de son mari, qu’elle attira fiévreusement contre sa croupe tendue. Dans un déhanchement sensuel, elle s’ingénia alors à frotter son postérieur contre la protubérance pleine de promesse qui roulait entre ses fesses. — Hummm, comme tu es dur, roucoula-t-elle grisée…Puis au bout d’un instant ou seul ses halètements troublèrent le silence de la chambre, elle se redressa soudainement, libérant d’entre ses fesses, la queue de son mari, surpris et quelque peu déçu :— Viens, ordonna-t-elle d’une vois empreinte d’impatience. J’ai envie que tu me fasses l’amour… Je veux sentir ta queue dans mon ventre…S’étant désunie de l’étreinte que lui imposait son mari, Nicole, radieuse dans sa nudité mature, se dirigea vivement jusqu’à la couche qui les attendait. Mais comme elle s’installait commodément, cherchant la meilleure position pour recevoir le sexe de son mari en elle, une pensée soudaine lui traversa l’esprit… Ses fougueux orgasmes qui la convulsaient avaient un effet dévastateur sur les literies. Aussi, elle sauta hors du lit pour aller récupérer son peignoir de bain en éponge dans la salle d’eau, quelle étendit avec soin sur les draps blancs. Alors seulement elle s’allongea nonchalamment sur le vêtement protégeant les draps. Appuyée sur les coudes, les jambes largement ouvertes et repliées, dans une posture des plus lascives, elle interpella son époux qui n’avait pas bougé :— Qu’est-ce que tu attends ?… Tu n’as plus envie??… Rendu soudainement à la réalité, Guillaume arracha, plus qu’il n’enleva ses vêtements, sous l’œil amusé de Nicole. Mais lorsque le regard de celle-ci accrocha le membre viril fièrement dressé, de son partenaire pour la vie, elle éprouva un frisson particulier au sein de son bas-ventre. Le désir qui stagnait dans ses entrailles depuis un bon moment déjà, se fit plus impérieux, humidifiant abondamment son sexe palpitant.Impatiente de sentir ce merveilleux membre viril gonflé la pénétrer, s’enfoncer en elle, elle interpella son mari d’une voix enrouée par le désir, pour qu’il se hâte de venir la rejoindre… Lorsqu’enfin ce dernier, entièrement nu, bite brandi tel un glaive victorieux, véritable faune lubrique, bondit sur le lit, elle s’empressa de rouler sur le dos en écartant largement ses longues jambes fuselées. Terriblement excité par la longue attente qui avait suivi l’éveil de son désir, là-bas dans cet étrange bois, Guillaume se jeta sur son épouse qui s’offrait à lui dans une posture des plus obscènes. Se calant commodément entre les cuisses ouvertes et déjà moites de sueur érotique, il prit appui sur ses mains et ses genoux afin de ne pas écraser de son poids le sensuel corps à l’allure si fragile. Malgré l’intense envie qu’il avait de plonger sa verge gonflée dans le puits d’amour dont il sentait la chaleur humide, Guillaume se sentit attiré par les merveilleux seins arrondis, gonflés par l’attente. Se penchant sur ces fruits savoureux, il les saisit l’un après l’autre entre ses lèvres pour les téter avec application, retrouvant ses instincts de nourrisson. Sachant combien son épouse appréciait ce genre de caresse, il s’appliqua à procurer ce plaisir qu’elle attendait en insistant sur les deux tétons gercés, les pinçant et les mordillant à tour de rôle.Les caresses subtilement voluptueuses dont ses mamelons étaient l’objet joint aux frôlements insistants du gland mafflu contre les grandes lèvres juteuses de sa vulve affolée, ne firent qu’exacerber le désir de Nicole. Le corps parcouru par de longs frissons, elle se cambra impatiente d’être enfin embrochée par ce pieu charnel qu’elle percevait à l’entrée de son sexe palpitant. Jugeant que le temps des préliminaires amoureux devenait trop long, et pressée d’être enfin possédée, elle agrippa les fesses de son étalon de mari pour l’attirer fermement en elle :— Oh viens, implora-t-elle, d’une voix sourde. Je veux te sentir en moi… J’en ai trop envie.Aussi impatient que sa femme, Guillaume se laissa alors retomber de tout son poids sur le bas-ventre frémissant de cette dernière, plantant profondément son glaive charnel dans le vagin ardent.Lorsque le membre viril raide et dilaté s’enfonça dans sa chatte béante et inondée, repoussant ses chairs intimes gorgées de suc vaginal, Nicole en éprouva un plaisir si fort, si intense que tout son corps se cintra frénétiquement, comme si une violente décharge électrique l’avait soudainement traversée.Profondément fiché dans le ventre de sa femme, au sein d’une véritable fournaise, Guillaume, arc-bouté au-dessus du corps aux courbes sensuelles, commença alors à agiter lentement ses hanches, pistonnant le sexe onctueux avec une douce tendresse. Chaque fois qu’il faisait l’amour à son épouse?; chaque fois que sa verge se coulait intimement dans sa chatte, à ne faire plus qu’un sexe unique, Guillaume ressentait invariablement un immense sentiment d’amour envers celle qui partageait sa vie. Lorsque son membre plongeait dans les moiteurs du vagin accueillant, il retrouvait cette émotion qu’il avait connue vingt ans plus tôt. Ce jour où Nicole lui avait offert la fleur sacrée de son sexe avec son amour. Fixant son épouse avec toute la tendresse qui le submergeait, Guillaume entama alors cette danse sensuelle aussi vieille que le monde, mais que chaque couple exécute comme s’il venait de l’inventer. Sa verge rigide s’enfonça entièrement dans les profondeurs du sexe torride, arrachant un sourd gémissement de plaisir à Nicole qui se cambra voluptueusement.Chaque choc, doux et violent en même temps, dû à la profonde pénétration de la queue gonflée, et qui venait frapper le fond de son vagin, dispensait chez Nicole d’intenses ondes voluptueuses. Ces ondes, qui prenant naissance au plus intime de son sexe investi, se propageaient de son bas-ventre jusqu’à ses seins gonflés.En mari attentionné et amant confirmé, Guillaume imprimait à ses hanches une cadence rythmée, faisant coulisser avec passion sa bite dans la vulve abondamment lubrifiée de son épouse, arquée. Agrippée à ses épaules, Nicole lançait güvenilir bahis siteleri frénétiquement son ventre au-devant de sa verge qui la fouillait afin d’être profondément pénétrée. A sentir sa queue pressée par les chairs torrides du vagin dans lequel il s’activait, Guillaume ne tarda pas à ressentir une intense euphorie. Penché sur le corps frémissant de sa sensuelle épouse, il accéléra insidieusement ses coups de reins, pour bientôt labourer violemment de son soc charnel, la chatte béante et ruisselante d’un jus brûlant.Fermement accrochée au cou de son époux qui la pistonnait allégrement de son dard puissant, les seins écrasés par le torse musculeux de ce dernier, Nicole afin de mieux ressentir les coups de boutoir au fond de son ventre, écarta le plus possible ses longues jambes effilées, pour les replier sur son torse. Haletante, sous le plaisir qui l’envahissait inexorablement, elle reposa ses chevilles sur les épaules de Guillaume qui la pénétrait avec frénésie, s’écartelant au maximum. Un bruit de clapotis s’éleva alors de sa vulve barattée par l’imposant pilon charnel. Sous les va-et-vient saccadés du membre viril à l’intérieur de sa vulve distendue, Nicole ne tarda pas à laisser échapper des petits gémissements de plaisir. Gémissements qui ne tardèrent pas à se transformer en petits cris de jouissance chaque fois que le gland mafflu venait frapper le fond de son vagin, créant d’importantes ondes voluptueuses qui lui irradiaient le bas-ventre et les reins.Les plaintes amoureuses de son épouse devenant de plus en plus aigües, Guillaume, craignant qu’elles alertent ses beaux-parents occupants la chambre voisine, se vit contraint d’étouffer ces manifestations par trop bruyantes. Plaquant ses lèvres aux lèvres de son épouse en totale pâmoison, il la bâillonna avec un baiser plein de fougue. Sans cesser de lui labourer le vagin palpitant de son pieu charnel, il fouilla de sa langue la bouche asséchée par la jouissance.Sensuellement muselé par le baiser passionné que lui prodiguait son époux, Nicole, totalement tétanisée, par la jouissance qu’elle sentait sur le point d’exploser, ne put prévenir son mari de l’imminence de son plaisir. Sous la v******e de l’orgasme qui la saisit soudainement, elle se cambra frénétiquement, plaquant étroitement son bas-ventre à celui de son partenaire.A la soudaine chaleur qui lui enserra la verge, Guillaume comprit que son ardente épouse venait d’atteindre l’extase suprême. Alors profitant de l’état de béatitude voluptueuse dans laquelle elle se trouvait, il cessa tous mouvements à l’intérieur de la chatte débordante d’une sève torride, afin de stopper la montée de l’éjaculation qu’il sentait naître dans ses entrailles.Pâmée, Nicole s’abandonna à la jouissance, haletant de volupté, les ongles plantés dans le dos de son mari et amant qui venait de lui faire connaître un si grand bonheur sexuel. Comme à chaque fois qu’elle éprouvait un orgasme violent, la jeune femme, victime de la particularité bien spécifique de son sexe, avait libéré une quantité impressionnante de liqueur vaginale. Ce flot spectaculaire avait jailli tel un torrent impétueux de sa vulve pourtant obstruée par le membre viril fiché en elle tel un soc. Cette rivière sexuelle, une fois expulsée hors de sa chatte en émoi, trouva naturellement son chemin dans la profonde vallée séparant ses fesses largement écartées de par sa position. Profitant de cet instant d’immobilité de son épouse vaincue par ce premier orgasme, Guillaume tenta de reprendre le contrôle de ses sens. Dans le silence retrouvé, les deux époux demeurèrent immobiles, chacun essayant de reprendre ses esprits. La première Nicole rompit le charme :— Je t’aime, murmura-t-elle… C’était merveilleux… Mais toi ?… Tu n’as pas joui?!…— On a tout notre temps, la rassura Guillaume en l’embrassant tendrement… La nuit n’est pas finie…— Tu as l’intention de me faire l’amour toute la nuit ?— Pourquoi pas !De nouveau maître de son désir, Guillaume reprit sa chevauchée sexuelle, d’abord lentement, éprouvant un plaisir extrême à sentir sa verge coulisser dans le magma brûlant qu’était devenu le vagin de son épouse.— Oui, murmura Nicole, totalement passive. Je suis bien… C’est bon…Bien calé sur ses mains et ses genoux, Guillaume continua son œuvre de sape à l’intérieur de la vulve accueillante, la forant profondément de sa queue rigide. Au bout de quelques minutes de son va-et-vient langoureux, Nicole laissa de nouveau échapper des gémissements lascifs sous la volupté qui reprenait vie dans son corps alangui. Alors il accéléra sa navigation dans la chatte débordant d’un jus chaud et gluant. De nouveau, l’affolant bruit de clapotis s’éleva de leurs deux sexes emmêlés.Les jambes toujours repliées sur son torse moite d’une sueur érotique, écartelée, Nicole se sentit de nouveau emportée par cette volupté qui, elle le savait, allait la mener une seconde fois au firmament de la jouissance. S’accrochant aux épaules de son mari, elle l’encouragea à accélérer encore son rythme :— Plus vite… Plus vite !… Encore… Oh oui !… Ouuiii… Je viens… Oouuiii… Ooohh ouuii…Ahanant sous l’effort qu’il s’imposait, Guillaume se décida à pilonner sauvagement le sexe dans lequel il naviguait, sachant combien son épouse aimait cela lorsqu’elle avait atteint ce stade de volupté. Aussitôt, les gémissements qui s’échappaient de la gorge de Nicole devinrent des râles, longs et profonds, qui se transformèrent très vite en petits cris de femelle comblée. Eprouvant un plaisir extrême à sentir sa verge coulisser avec facilité dans la vulve saturée de sucs visqueux, Guillaume ne songea plus à ses beaux-parents qui auraient pu surprendre les plaintes amoureuses de leur fille. Indifférent à tout ce qui n’était pas son propre plaisir, il se déchaîna sur le corps en sueur de sa partenaire. Chaque pénétration s’accompagnait du bruit sec de son bas ventre frappant violemment les fesses de celle-ci, qui devinrent rapidement cramoisies.Mais à un moment, lors d’un mouvement plus vif, la verge devenue extrêmement glissante du fait de l’abondance des sécrétions vaginales dans lesquelles elle naviguait, s’échappa de la chatte détrempée.— Oh non, gémit Nicole dépitée de ne plus sentir le membre viril lui remplir le vagin… Reviens?!…Aussi dépité que sa partenaire, Guillaume tenta de réintroduire sa bite dans la vulve dont il venait de s’échapper. Cette dernière ripa le long de la fente archi trempée. Et au lieu de s’introduire dans la chatte pourtant béante, elle glissa le long des grandes lèvres sexuelles humides et se retrouva logée dans la profonde raie des fesses.— Tu es tellement mouillée que ça glisse tout seul, plaisanta Guillaume en essayant de renfoncer son membre dans la vulve accueillante.Comme il essayait de réinsérer sa verge entre les grandes lèvres sexuelles, celle-ci se retrouva de nouveau nichée dans la profonde vallée séparant les deux hémisphères charnus du postérieur. Comprenant alors qu’il n’arriverait pas à remettre son membre dans le chemin désiré s’il ne l’aidait pas manuellement, Guillaume glissa une main entre leurs deux corps accolés pour se saisir de sa queue gluante. La maintenant solidement, il l’a remonta en direction de l’ouverture convoitée. Mais dans ce mouvement, son gland sensible frôla l’anus de son épouse qui sous cet effleurement poussa un petit gémissement.Il n’en fallut pas plus à Guillaume pour qu’il éprouve le désir soudain de forcer cet orifice que lui offrait son épouse du fait de sa posture. Maintenant le bourgeon gonflé de sa bite contre le coquin œillet plissé, il poussa légèrement.Percevant la pression du mufle gonflé conte son petit trou, Nicole comprit immédiatement ce que son époux désirait. Comme cette pénétration ne lui était plus désagréable, depuis que Guillaume l’avait patiemment amené à accepter ce genre de perversion, elle relâcha ses muscles fessiers :— Tu veux me la mettre de ce côté, interrogea-t-elle, plus pour la forme??— Ça glissera peut-être un peu moins, tenta de plaisanter Guillaume.— Attend?!Lâchant alors les épaules de son mari auxquelles elle s’agrippait depuis le début de leur étreinte amoureuse, Nicole lança ses deux mains en direction de sa croupe tendue de par sa position. Empoignant fermement ses fesses douloureuses, du fait des chocs répétés qu’elles avaient dû subir, elle les écarta largement l’une de l’autre facilitant l’accès à son orifice anal :— Viens?!… Mais vas doucement, sollicita-t-elle… Au fil des années, grâce à la patience et la tendresse de Guillaume, Nicole avait appris que l’on pouvait ressentir un certain plaisir à être pénétrée par cet orifice. Ce petit trou secret, qu’elle avait toujours, dans son innocence et son initiation religieuse, considéré comme étant un endroit tabou. Le plaisir qu’elle éprouvait lors de ces pénétrations anales, s’il était moins fulgurant que celui qu’elle ressentait lors d’une pénétration vaginale, était plus diffus, plus insidieux, plus pervers. Cela ne ressemblait en rien à l’orgasme violent qui la faisait se cambrer et qui la projetait aux nues. Néanmoins, le va-et-vient du membre masculin dans ses intestins dilatés lui procurait une douce volupté qui la comblait quand même sexuellement. Mais si le fait de se faire enculer la ravissait, l’introduction du gland mafflu dans son anus resserré lui procurait toujours une certaine appréhension. Lorsque ce bourgeon dilaté s’appuyait contre sa sensible corolle refermée, elle craignait toujours que celle-ci, forcée de la sorte, se déchire sous l’imposante poussée.Guillaume présenta son gland dilaté contre le petit cul brun et plissé que son épouse lui offrait, dans une posture terriblement obscène. Connaissant les craintes de cette dernière, il força délicatement l’anus convoité. Largement lubrifié par les abondantes sécrétions vaginales qui s’étaient échappées de la vulve débordante, l’orifice anal n’offrit que peu de résistance sous la poussée du bourgeon de chair volumineux. Lentement, celui-ci, repoussant les chairs resserrées, s’enfonça dans les intestins féminins.Une fois que l’extrémité arrondie du nœud eut perforé le petit trou, le distendant, le reste de la queue rigide s’enlisa sans aucune difficulté dans les entrailles féminines accueillantes. Alors, dans un va-et-vient plein de tendresse, Guillaume entreprit d’enculer son épouse.Nicole, comme à chaque fois que Guillaume la prenait par cette voie, sentit une douce torpeur sensuelle l’envahir. Le frottement rythmé du dard de chair à l’intérieur de ses intestins lui procurait invariablement cette espèce de bien-être voluptueux qui la faisait longuement frissonner. Les yeux clos sur son plaisir qu’elle sentait monter en elle, elle agrippa les fesses musclées de son mari, afin de l’attirer plus profondément en elle.— Oh oui, gémit-elle. Je sens ta grosse queue en moi. J’ai l’impression qu’elle me remonte jusqu’au fond du ventre. Tu es énorme. Ooohh… c’est bon. Tu es bien toi aussi??— Oui, grogna Guillaume en accélérant insidieusement ses va-et-vient. Ton cul est tellement étroit.— Oh oui… tu es profond… Plus vite. Va plus vite, je t’en prie. C’est tellement bon.Guillaume qui sentait le plaisir monter de son bas-ventre et raidir un peu plus sa verge, accéléra alors ses coups de boutoir. Ahanant sous l’effort, il pilonna le cul maintenant largement élargi et abondamment lubrifié, poignardant son épouse de son dard puissant. Mêlé aux grognements de mâle en rut de Guillaume et aux vagissements de femme comblée de Nicole, le bruit saccadé des chocs du bas-ventre masculin contre la croupe féminine s’éleva des deux corps en action.Cependant, pour Guillaume dont le désir était à son comble, la jouissance ne tarda pas à se manifester. Ne pouvant se contrôler plus longtemps, il se laissa alors emporter par l’orgasme dévastateur. Dans un grognement d’a****l, il lâcha sa semence à longs jets, inondant les entrailles de son épouse de son sperme abondant.Plus que les grognements jouissifs de son époux en transe, ce furent surtout les soubresauts saccadés de la bite plantée dans son cul qui amenèrent Nicole à la jouissance. Dans un éclair, elle s’imagina les longues salves de sperme emplissant ses intestins. Et comme si le plaisir de son mari avait été le déclencheur de son propre plaisir, elle jouit à son tour, accompagnant l’éjaculation de son époux par un véritable raz de marée de cyprine bouillonnante.Enfin repu, Guillaume se retira lentement d’entre les fesses trempées de sueur et de liqueur vaginale de sa femme, pour s’écrouler sur l’immense couche, le souffle rapide. Au bas de son ventre, sa queue sur laquelle quelques tâches douteuses apparaissaient reposait mollement, ayant perdu de sa superbe. Les deux époux demeurèrent un long moment immobiles, puis la main dans la main ils s’endormirent, comblés sexuellement, comme deux amants qu’ils n’avaient cessés d’être.A suivre…[email protected]

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