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Profession : voyeurAu retour des beaux jours, mon activité favorite consiste à me promener seul dans les lieux publics, en centre-ville ou dans les parcs, avec une caméra fixée au poignet droit. Elle a l’aspect d’une montre assez banale. Elle est très simple d’utilisation et la qualité de l’image est excellente. Aux premiers signes du printemps, au soleil ou à l’ombre des arbres, les filles et les femmes portent des jupes, des robes et des petits shorts, ainsi que des t-shirts échancrés et des chemisettes qu’elles déboutonnent plus ou moins. Lorsqu’il y a du vent, les jupes se soulèvent parfois. Il suffit d’être là au bon moment. S’il n’y a pas de vent, une position négligée ou un instant d’inattention peut permettre de capturer des images bouleversantes.Cela va faire deux ans que je me livre à cette activité illégale. Dans mon ordinateur, je possède des milliers d’archives : des vidéos ou des photos tirées de vidéos. Elles sont classées par catégories. Au début, je les gardais pour moi, pour mon propre plaisir, mais l’année dernière, j’ai créé un site internet. Quelques images y figurent en accès libre, afin de donner un aperçu aux visiteurs curieux, mais l’essentiel du contenu est payant. Je gagne ma vie grâce à ce site.Le nombre de filles et de femmes qui prennent des positions négligées dans les jardins publics ou sur les terrasses de cafés, vous n’imaginez pas. Le nombre de coups de vent qu’il y a dans une journée, c’est impensable. Le nombre de petites culottes et de seins en liberté. Le nombre de chattes à l’air sous des jupes et des robes… J’aime surprendre des chattes, qu’elles soient lisses, épilées ou poilues, et j’en possède une importante collection, mais je reste décidément un grand amateur de tétons. Je raffole des seins nus ent****rçus dans des décolletés et des échancrures. Je ne me lasse pas de les regarder sur mon écran. Sur mon site internet, je ne mentionne jamais l’âge des personnes dont j’ai eu la chance de voir la culotte, les seins ou la chatte, car je m’attirerais des ennuis. Si les filles sont trop jeunes au regard de la loi, je fais en sorte de flouer leur visage, ou de le couper en recadrant l’image. Certaines photos ne font cependant pas illusion.Hier, en flânant dans un square situé aux abords d’une université et d’un lycée, j’ai pu réaliser sept vidéos : deux tétons, quatre culottes et une chatte poilue. Mon record en une journée, c’est trente-deux. C’était un jour de canicule, l’année dernière, dans le plus grand parc public de la ville. Je me régale en filmant, mais ce n’est rien comparé au plaisir que je prends chez moi, une fois les vidéos transférées sur mon ordinateur. Il y en a que je conserve telles quelles pour les mettre en ligne, et d’autres dont je tire un ou deux photos. A ce jour, je n’ai jamais eu de plaintes. Pourtant, de nombreuses filles et femmes apparaissent à visage découvert sur mon site.Cela dit, certaines personnes qui payent un abonnement mensuel pour suivre son contenu vivent au Japon, en Australie, en Suède, au Canada… Les abonnés français sont loin d’être les plus nombreux. J’ignore combien vivent dans la même ville que moi.Vous est-il déjà arrivé d’entrevoir les seins d’une étudiante assise sur les marches d’un escalier ? Vous est-il arrivé de distinguer la culotte d’une mère accroupie près de la poussette de son bébé dans une allée de jardin public ? Ou la chatte et la jonction des fesses d’une jeune touriste allongée dans l’herbe d’un square ? Ou encore les petits nichons d’une fille qui vous livre votre commande à la terrasse ensoleillée d’un troquet ?Cependant, vous auriez tort de penser que tous les gestes que j’ai filmés étaient accidentels. Il m’est arrivé d’être très intrigué, quelques fois. En premier exemple, je citerais Déborah. Je l’avais repérée rapidement. Elle était assise, seule, au bord de la fontaine d’un parc public, à bouquiner avec des lunettes de soleil. bursa escort Elle portait une élégante robe blanche, assez sobre, et elle ne portait pas de culotte. J’ai tourné autour d’elle pendant quelques minutes, avec ma caméra qui filmait. Elle avait posé sa cheville gauche sur son genou droit et je n’avais eu aucune peine à filmer ses lèvres lisses. J’en étais au moins à dix minutes de film lorsque j’ai entendu la voix m’interpeller, à quelques mètres de là :« Vous cherchez quelque chose ? »C’était la fille en question. Elle avait baissé ses lunettes sur son nez et elle me regardait. Inutile de vous dire que je fus un peu embarrassé.Je lui ai répondu :« Non, je ne cherche rien… »« Vous en êtes sûr ? a-t-elle dit. »Elle s’était mise à sourire et, d’où je me trouvais, je voyais toujours sa chatte. Alors je me suis approché d’elle et je lui ai dit :« Je vous trouve juste charmante. »Elle a remis ses lunettes en place et elle m’a dit :« Dans ce cas, asseyez-vous. A moins que vous préfériez rester à distance pour continuer de mater mon entrecuisse ? »Elle avait 31 ans. J’ai rencontré très peu de femmes comme elle, en deux années d’activité. Je les compte sur les doigts d’une main. Pour être plus précis, il y en a eu trois. Déborah était la première.J’ai choisi de m’asseoir près d’elle et nous avons discuté. Elle ne portait ni culotte, ni soutien-gorge. Je le sais, car, un peu plus tard, dans un autre secteur du même parc public, elle a enlevé sa robe et s’est retrouvée à poil. Avant, nous avions fait connaissance. Elle était divorcée depuis quelques semaines et elle appréciait de se faire aborder par des hommes qui s’étaient aperçus qu’elle était toute nue sous ses robes. Elle discutait un moment avec eux, puis elle finissait par leur demander s’ils avaient envie de la baiser.Je ne me suis pas gêné pour le faire, mais je n’ai pas filmé la scène. En revanche, j’ai conservé des parties de la vidéo où l’on voit parfaitement la chatte de Déborah, avant qu’elle m’interpelle. Je ne lui ai pas parlé de mon site internet, et elle ignore sans doute encore que le monde entier est en mesure de voir sa chatte lisse, pour la modeste somme de 3 euros par mois. J’ai éjaculé sur sa chatte, je me souviens. Après l’avoir pénétrée pendant plusieurs minutes dans des bosquets du parc. C’est elle qui m’avait fourni le préservatif. Tout en baisant, elle m’avait dit que j’étais le deuxième à la fourrer ce jour-là. Elle m’avait aussi dit qu’elle finirait sûrement par se remettre avec un homme, officiellement, tôt ou tard, mais que d’ici là elle voulait prendre un maximum de plaisir avec des inconnus.La deuxième était plus jeune. Elle s’appelait Christelle. Une étudiante. Une réunionnaise de 21 ans, à la peau café au lait, qui s’était également aperçue que je tournais autour d’elle depuis quelques minutes. Je la trouvais superbe et elle était seule avec un téléphone portable, assise sur les marches d’un autre parc public, au soleil. Sa chatte était poilue.Me voyant m’attarder à proximité, elle s’était mise à me regarder en souriant. Elle avait des dents magnifiques, de longs cheveux noirs et de grands yeux de biche. Elle était très mince. Elle portait une jupe noire et une fine tunique à minuscules bretelles, de couleur argile, qui serrait sa poitrine. J’ai fini par lui sourire aussi, puis je me suis approché d’elle.Elle m’a dit comme ça :« Salut. »J’ignorais encore tout d’elle, mais à vue d’œil j’aurais pu être son père. Je savais seulement qu’elle ne portait pas de culotte sous sa robe et qu’elle avait de tout petits seins. Je l’ai saluée à mon tour, puis, sans cesser de sourire, elle m’a dit :« Toi, tu as les yeux baladeurs. »Je me suis marré et, tout en m’asseyant près d’elle, je lui ai répondu :« Ce genre de chose n’arriverait pas si tu portais une culotte. »Elle m’a adressé un coup de coude, puis elle a dit :« Les culottes, c’est galère. Ça colle görükle escort aux fesses et il faut en changer tous les jours. C’est ton trip de mater ? »A elle non plus, je n’ai jamais dit que je gagnais ma vie grâce à un site internet. Ni qu’une caméra était incrustée dans la montre que je portais au poignet. Ni que sa chatte poilue serait en ligne le soir-même.Je lui ai dit :« Je te trouve très belle. »Elle s’est marrée et elle m’a répondu :« Tu es un grand poète. Arrête tes histoires. »Mais j’ai insisté en lui disant :« Je suis sincère, je te trouve vraiment belle. J’ai vu ta chatte, OK, mais ça n’empêche pas que tu sois une fille magnifique. »Mes compliments la touchèrent, visiblement, car elle cessa de sourire.On est allé chez elle. Elle habitait tout près. Une toute petite chambre d’étudiante. Le goût du cul de Christelle était sucré. Elle était vraiment très mince et j’ai craint de la briser en deux lorsque mon gland a forcé l’entrée de son anus, sans préservatif. Elle se masturbait la chatte pendant ce temps. Elle était à poil sur son lit et je malaxais ses petits seins. Ses cheveux étaient très longs et je me souviens du contraste entre la clarté de mon sperme et les poils très noirs de sa chatte quand j’ai giclé dessus.Les photos d’elle sur mon site ont beaucoup de succès.La troisième était encore plus jeune. Blonde. Trois photos de sa culotte figurent sur mon site. Elle est noire et transparente, sous une jupe en jean assez courte. A travers, nous devinons aisément que sa chatte est lisse. La première des trois photos a été vue et revue plus de 9000 fois par les personnes abonnées.Elle était allongée sur la pelouse, dans un secteur discret du parc, en compagnie d’une autre fille qui, elle, était brune et portait un pantalon. Elles s’embrassaient.Et c’est moi qui ai abordé ces filles-là, contrairement à Christelle et Déborah. C’est moi qui suis allé vers elles en leur disant :« Mesdemoiselles, vous permettez que je m’asseye près de vous ? »La blonde s’est grattée la nuque en me regardant avant de répondre. Un visage ordinaire, mais un très beau physique. La fille brune n’a rien dit.La blonde a haussé l’épaule et dit :« Vous voulez quoi ? »Il faut savoir être pédagogue quand on aborde les filles, sans pour autant tourner autour du pot pendant cent sept ans. Il faut avoir réponse à tout, y compris à des questions aussi sèches que ça.Il faut apprendre à se jeter à l’eau.Je lui ai dit :« Je vis tout près d’ici. J’aimerais vous voir en train de vous gouiner sur mon lit. »Elles se sont regardées, puis elles ont ricané.La blonde m’a répondu :« Vous ne manquez pas d’air. »Et alors, je lui ai dit :« Vous n’en manquez pas non plus. Voilà dix minutes que je vous observe en train de vous embrasser toutes les deux, sur la pelouse, devant tout le monde. Essayez de me faire croire que vous n’aimez pas le sexe. »Elle n’a pas répondu.Sa copine non plus.J’ai ajouté :« A moins que vous détestiez les mecs. »Elles se sont de nouveau regardées, puis la blonde qui portait une culotte noire et transparente m’a dit :« Effectivement, on n’aime pas trop les mecs. »J’ai répondu :« OK. Je respecte. Chacun son truc. Mais ça n’empêche peut-être pas que vous veniez chez moi ? Je ne vous toucherai pas. Je me contenterai de vous mater en train de vous gouiner. C’est bien ce que vous faites quand vous vous retrouvez toutes les deux dans une chambre, je me trompe ? »La blonde consulta sa copine du regard, encore une fois, avant de me répondre :« Et on y gagnerait quoi ? »J’ai répondu :« Une bonne bière bien fraîche ? »La blonde a dit :« Ben voyons… »J’ai ajouté :« Mais je vous invite au resto avant. »Moins d’une demi-heure plus tard, nous étions installés en terrasse d’une brasserie spécialisée dans les fruits de mer. Nous dégustions des verres de vin blanc et nous parlions. Les deux filles s’étaient détendues et, sous la table, je continuais de görükle escort bayan filmer la culotte de la blonde grâce à ma petite caméra, en me disant que même si elles refusaient de venir chez moi après le dîner, j’aurais au moins gagné quelques images croustillantes.Mais, à la fin du repas qu’on avait bien arrosé, elles m’ont suivi.Et elles se sont gouinées devant moi, sur le canapé de mon salon. A poil. Elles étaient ivres et je me suis rincé l’œil. J’ai également tenu ma promesse : je n’ai pas tenté de les toucher. Je les ai seulement regardées se bouffer le cul et la chatte. Je ne les ai même pas filmées. Je me suis tenu à carreaux et, quand elles eurent fini, elles se rassirent et acceptèrent de prendre un autre verre.La petite brune restait réservée. Elle me regardait peu et ne disait rien. Elle s’était en partie rhabillée, contrairement à la blonde.Nous avons discuté, puis pris un autre verre.Et un autre encore.Lorsque la brune annonça qu’elle allait rentrer se coucher, la blonde ne bougea pas. Elle était toujours à poil. J’ai raccompagné sa copine jusqu’à la sortie, puis je suis revenu m’asseoir dans mon fauteuil, en face du canapé où la petite blonde s’était resservie un verre.Elle me souriait.Elle avait l’air d’être vraiment bourrée.Elle m’a dit :« Ma copine n’aime vraiment pas les hommes. »« Ce n’est pas grave, ai-je répondu. Toi, tu les aimes ? »Elle a souri et pris une gorgée de vin. Elle avait de superbes nichons en forme de poires, très blancs.Elle a dit :« Ouais. »Le regard qu’elle m’avait lancé en répondant avait suffi à me donner une érection monumentale. J’étais à présent seul avec elle, dans mon salon, et elle était à poil. Je l’avais vu bouffer un cul et se faire lécher la chatte, et elle venait de me dire qu’elle aimait les hommes.La jolie garce.Je lui ai dit :« Tu es pressée de rentrer chez toi ? »Elle m’a dit :« Non. Et je veux bien un autre verre. »Elle s’appelait Amandine.Je n’ai capturé aucune image de la suite de cette soirée. J’avais éteint ma caméra et posé ma montre dans un coin. Je n’avais pas de préservatif. Amandine non plus. Je l’ai prise dans mon canapé, juste au bord. Sa chatte était trempée. Je l’ai pénétrée et j’ai été surpris qu’elle m’embrasse sur la bouche, avec la langue, puis qu’elle m’enlace. Je me suis même demandé si on n’était pas en train de faire l’amour, y compris quand je l’ai sodomisée.Amandine a passé la nuit chez moi, dans mon lit.Au cœur de la nuit, j’ai été réveillé par sa main qui s’était mise à branler ma queue qui était raide. Je l’ai laissée faire et je me souviens vaguement avoir éjaculé entre ses fesses, sans la pénétrer.Au petit matin, elle est montée sur moi pour s’empaler sur ma queue. J’ai déchargé en elle, puis elle est allée prendre une douche.Je ne l’ai jamais revue.J’ignore l’âge qu’elle avait au juste. J’ai préféré ne pas lui poser la question.Il n’est pas rare que je me branle en regardant les photos de la chatte lisse d’Amandine, sous sa culotte noire transparente, en me disant :« Putain, dire que j’ai passé une nuit avec elle… »Je ne l’ai jamais revue.Ni sa copine brune qui n’aimait pas les hommes.Nous sommes en plein mois d’août et la ville grouille de touristes. Je vais aller faire un tour aux abords des terrasses de troquets, puis dans les parcs publics. Je vais essayer de saisir des seins nus dans des décolletés, puis des chattes sous des jupes. Il y aura des accidents. Des clichés volés. De quoi alimenter mon site internet. Et, avec un peu de chance, une fille ou une femme me fera un sourire qui signifiera que la chatte que je viens de photographier sous sa robe n’est pas un accident. Elle aura fait en sorte que je la voie et nous irons chez moi, ou bien chez elle. Ou bien ailleurs.Le nombre de filles et de femmes qui sortent de chez elles sans culotte, en vue de se faire sauter, vous n’imaginez pas.Le tout est d’être là au bon moment.Mais on ne peut pas être partout à la fois. Malheureusement.:::Ce récit fait écho à quelques galeries de photos que j’ai postées sur le site, dont celle-ci :https://fr.xhamster.com/photos/gallery/teens-in-public-places-3-10793056 Merci pour votre lecture.:::

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