Le contrôle radar

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Le contrôle radarLe contrôle radarIl était tard, je traversai un petit bois qui était à quelques km de chez moi. J’avais passé l’après-midi avec une copine travesti. Nous avions déjeuné dans un charmant petit bouchon. Puis une fois rassasiées, le reste de la journée avait été consacré au shopping. Toujours un régal avec ma copine Roxane. Nous avions écumé les magasins, et tout particulièrement les boutiques de lingerie.Bien entendu nous n’avions pas pu résister au plaisir de nous gouiner. J’avais sucé plusieurs fois le gros clito de Roxane et j’avais dégusté sa semence. Une vendeuse nous avait même surprise alors que Roxane agrippée aux cintres se faisait copieusement sodomiser. la vendeuse avait beaucoup ri avant de refermer le rideau sans trop se presser. Le fou rire nous avait pris toutes les deux, ayant pour effet immédiat de me faire débander. Roxane s’était aussitôt jetée sur mon bâton d’amour pour l’engloutir. Sa langue passait partout, elle léchait du gland aux testicules, avalant mon sexe jusqu’à la racine. Une bouffeuse de bite fantastique. Branlant la tige, elle la mouillait de salive rendant sa branlette encore plus onctueuse. Les effets conjugués de sa bouche vorace et de ses doigts qui s’enfonçaient dans ma chatte eurent tôt fait de me faire jouir. Mordant mes lèvres pour ne pas crier, je déchargeais violemment mon foutre dans la bouche de Roxy, tout en maintenant son visage contre mon ventre. La pauvre chérie suffoquait sous ce flot de jus, déglutissant avec peine. Ses yeux s étaient emplis de larmes. Malgré tout, je savais que ma petite chérie adorait être forcée.Je relâchai Roxy, elle se releva et posa ses lèvres sur les miennes. Non seulement sa bouche embaumait le foutre maïs elle en avait vicieusement conservé la majeure partie dans sa bouche. Ravie, j’en avalais une bonne moitié. J’adore mon sperme. Nos langues baignaient dans ce liquide moitié liqueur mâle moitié salive. Après nous être longuement paluchées nos lèvres se séparèrent. Il était temps de récupérer nos emplettes et de quitter la boutique.Lorsque nous passâmes à la caisse la vendeuse nous accueillit avec un grand sourire.-J’espère que vous avez passé un bon moment dans notre magasin Mesdames. – C’était parfait Mademoiselle et merci pour votre discrétion.Sans prévenir je déposai un baiser léger sur ces lèvres.Si elle fût plutôt surprise, cela ne lui déplut pas.Nous quittâmes le magasin, puis nous nous séparâmes après un dernier baiser.Mon amie avait rendez-vous avec un amant et moi je devais rentrer. Mes yeux étaient un peu humides. J’étais un peu triste de quitter mon amie. Il faut dire que nous sommes un peu amoureuses l’une de l’autre.Voilà donc ce qui occupait mes pensées pendant que je roulais.C’est alors qu’un flash violent me surprit.Zut un radar. A cette heure tardive sur cette petite route je trouvais cela plutôt vicieux.Je réduisis aussitôt ma vitesse, certes un peu tard. Un km plus loin un gendarme me fit signe d’arrêter. Bon eh bien je suis bonne pour un PV et un sermon.Je garais ma voiture à côté de la camionnette des gendarmes. L’homme s’approcha. Je baissai la vitre.-Gendarmerie Nationale veuillez descendre du véhicule et me suivre s’il vous plaît.- Bien Monsieur. J’obtempérai, puis montai dans la camionnette. -Asseyez-vous.Je m’assis en tirant sur ma jupe. Sans grand résultat, elle était ultra courte et dévoilait un peu plus que j’aurais voulu.-Alors ma petite Dame on se laisse un peu aller sur le champignon ?-Je suis désolée Monsieur J’étais un peu ailleurs.-Ce n’est pas trop grave vous étiez juste à 10 km au dessus. Cela vous juste un point en moins et 45 € d’amende.-Descendez du véhicule et suivez-moi.J’obtempérai et montai dans le fourgon dissimulé derrière une grande haie.-Asseyez-vous.Je posai mes fesses sur la banquette, prenant soin de tirer ma jupe un peu trop courte.-Montrez-moi vos papiers.Il commença par la carte grise, puis l’assurance et enfin regarda mon permis.-Bien, alors ! Vous vous appelez François D. Il y a une erreur, ce n’est pas le vôtre.- Si Monsieur. – Mais vous êtes une femme.- Pas tout à fait, je suis un transsexuel. -Ça alors je suis bluffé..Il faut dire qu’avec gaziemir escort mon décolleté qui dévoilait une poitrine généreuse gavée d’hormones et mes traits féminins je leurrai tout le monde.Les yeux écarquillés l’homme me regardait des pieds à la tête, matant mes seins et mes cuisses.-Je n’en reviens pas, j’ai vraiment du mal à y croire.-Si vous voulez je peux vous le prouver dis-je malicieusement.-Comment ça ?– De cette façon répliquai-je en relevant ma jupe. Comme à mon habitude je n’avais pas de petite culotte, si bien que le gendarme vit mon petit service trois pièces.-Bon ben là il n’y a plus de doute.- Vous êtes la première transsexuelle que j’arrête.- Et moi c’est ma première contravention, ça se fête. – Vous ne manquez cas d’humour ma belle.-J’ai toujours eu un faible pour les uniformes vous savez. Je me suis déjà fait un pompier, un aviateur et un facteur. Un beau gendarme comme vous ça manque à mon palmarès.- Vous n’y pensez pas je suis en service.- Vu l’heure vous n’aurez plus beaucoup de succès.Sans attendre sa réponse je me mis à genoux, puis d’un geste rapide j’ouvris sa braguette. A peine libérée sa verge jaillit du pantalon.-Mais qu’est-ce que vous faites ? c’est de la corruption de fonctionnaire.J’éclatais de rire.-Mais non mon chou c’est juste une petite gâterie. Mes amants disent tous que je suis une super suceuse. Ce serait dommage de ne pas en profiter.Sans plus attendre j’engloutis le membre du gendarme. Sa queue encore un peu mou rentrai entièrement dans ma bouche. J’ai beau avoir sucé plusieurs centaines de queue depuis mes quinze ans, chaque bite est pour moi une découverte et un plaisir sans cesse renouvelé. Une de mes amis me dit toujours que j’ai dû être génétiquement programmé pour sucer des bites. J’aime sentir une queue dans la bouche. Cette chair tiède qui palpite en moi me met dans tous les états.Lentement mes lèvres coulissent sur la tige du mâle. J’att**** les couilles de l’homme et les pressent avec douceur, je les fais rouler, puis caresse la tige. Ma langue lèche de haut en bas, tourne autour du gland découvert. La bête prend forme, durcit, gonflé par l’afflux de sang.Elle gagne à être connue cette petite chérie car maintenant c’est un superbe engin que mes lèvres pompent.L’homme se met à gémir. Narquoise je le regarde.-Veux -tu que j’arrête ? -Oh non c’est trop bon continue, tu suces dix fois mieux que ma femme.-C’est normal mon chou je suis une pro de la pipe dis-je avant d’emboucher à nouveau mon sex toy.-Putain ! T’es une sacré salope.-Vas-y mon chou dis-moi des mots cochons.Du coup l’homme se lâcha et se mit à me traiter de tous les noms.-T’es une pute, une dépravée tout juste bonne à sucer de la bite et à se faire enculer. Il faudrait te mettre à tapiner.-Si je n’étais pas gendarme je te prendrai en mains pour te soumettre à tous mes désirs. Je te garantis que ton cul dégusterai sérieux.C’est à ce moment que la radio se mit à grésiller.-Allo chef !-Oui-Ya plus personne qui passe sur cette p….. de route. Je plie ?-Oui c’est bon rentre il y a une surprise.-C’est quoi ?-Tu verras par toi-même.-Ok j’arrive chef.Pendant ce temps je continuai à me régaler avec cette belle queue.-Tu risques d’avoir du boulot en plus ma chérie. Ça ne te dérange pas si mon, collègue participe ?-Pas de souci mon chou.-En plus je crois qu’il est un peu pédé sur les bords.-Plus on est de folles mieux c’est dis-je avant d’avaler à nouveau sa grosse bite.Elle était trempée, et un filet de bave la reliait à ma bouche.C’est à ce moment que le deuxième gendarme arriva.-Putain chef ! Ce n’est pas très pro tout ça !-Peut-être mais c’est trop bon. Donne-lui ta queue à sucer, une de plus ne devrait pas la gêner.L’homme sortit sa queue et s’approcha.Aussitôt je me mis à la lécher, l’odeur était un peu forte, mais pas pour me déplaire. Une queue dans chaque main et ma langue qui allait de l’une à l’autre. Le bonheur total pour une salope comme moi. Je crachai ma salive sur les deux membres afin qu’ils coulissent bien dans mes mains. Je tétais les deux glands à tour de rôle. Tirant les deux bites vers moi j’arrivai à lécher les deux en même temps. Ma gaziemir escort bayan langue était à la fête .C’était vraiment trop bon. Sous moi je sentais ma queue suinter de plaisir.Pompés, léchés, branler, mes deux mâles étaient ravis.-Putain c’est trop bon, elle va finir par me faire jouir avant que je l’encule.Le chef enleva sa queue et se glissa derrière moi.Pendant que je suçais la délicieuse queue du jeune gendarme, son collègue avait relevé ma jupe, puis avoir bien écarté les globes dodus de mes fesses, il enfonça sa langue pointue dans mon œillet. Enfin un mâle qui se préoccupe de sa partenaire. Sa langue me pénétrait et me léchait tout le pourtour de mon petit trou. Quel pied de se faire fouiller par une langue cochonne. L’homme prenait son temps. J’avais une folle envie de sa bite, mais cette attente décuplait mon plaisir.-Humm ! Ma chérie ta petite chatte est bien humide, mais il me semble qu’elle mériterait d’être encore un peu plus dilatée.Se saisissant du bâton de gendarme (tonfa pour les connaisseurs) il me l’enfila dans le cul sans ménagement.Sous la douleur j’ouvris ma bouche toute grande si bien que le dard que je suçais pénétra entièrement dans ma cavité buccale. Le salaud en profita pour me maintenir la tête contre lui. Au bord de l’étouffement, il me relâcha. Pendant ce temps la douleur du début s’était estompée. Le mâle me limait les entrailles avec son gros bâton. C’était presqu’aussi bon qu’une bite.Je recrachais sa queue qui resta reliée à ma bouche par un filet de salive.Vicieusement je regardai mon partenaire dans les yeux, avant d’avaler à nouveau son sexe jusqu’à la racine. Prise à fond des deux côtés je commençai à avoir une idée du Paradis. Les deux mâles avaient oublié toute réserve et profitaient de l’aubaine.Il ne devait pas leur arriver souvent de tomber sur une salope de mon acabit surtout pendant leur service.-Il me semble que ton trou du cul est bien ouvert ma salope. Il est temps que je te mette au mâle.A peine le gode improvisé eut-il quitté mon trou que le gland du chef me perfora d’un coup.Enfin ! Trop bon de se faire enfiler. Mon clito était tout gonflé. Le jeune gendarme quant à lui ne savait toujours pas à qui il avait réellement à faire.La bite du chef glissait dans mon fourreau humide. Il me limait sur toute la longueur de sa bite me faisant profiter au maximum de son engin. Il se retira, cracha un énorme jet de salive dans mon trou. Puis me repris. Cette fois il me baisa plus hard, ses cuisses claquaient violement contre mes fesses. J’étais tellement secouée que j’avais du mal à sucer son collègue. Sa bite venait sans arrêt buter contre ma glotte étouffant mes gémissements.-Qu’est-ce qu’on lui met à cette pute hein chef !-C’est sûr et je peux te dire qu’elle aime ça. Putain que j’aimerai que ma femme soit aussi salope.Quand à moi je me régalais. Ces deux mâles étaient la providence pour une chienne de mon acabit. Après mon intermède avec Roxane ils étaient les bienvenus pour finir la soirée en beauté.Les coups de bite dans mon cul produisaient d’énormes bruits humides. Sa queue barbotait dans mon jus de chatte. Il s’arrêta un moment puis me reprit. Il s’amusait à rentrer sa queue et a la sortir. A chaque fois il attendait un peu avant de me l’enfoncer à nouveau au fond de mes entrailles.-Au fait dit le chef je ne t’ai pas tout dis.-Quoi donc chef ?-Figure-toi que cette belle gonzesse à gros nichons qui te suce est en fait un transsexuel.-Vous rigolez chef ?–Si tu ne me crois pas regarde par toi-même.Aussitôt je sentis une main remonter le long de mes cuisses, puis palper le petit paquet pendant .-Ah merde alors Incroyable. -Ça ne te coupe pas l’envie ?-Ah non chef j’ai toujours fantasmé sur ce genre de gonzesse.Du coup il attrapa mon sexe et se mit à le branler.-Tu la branles ?-Oui chef j’aime bien.Il me branla encore un bon moment tout en me limant la bouche. J’avais l’impression qu’une énorme queue traversait tout mon corps. Mon cul et ma bouche reliés par une énorme barre de chair.A ma grande surprise le jeune gendarme se retira puis se mit à genoux entre mes jambes et avala mon sexe qui bandait à mort.-Et escort gaziemir en plus mon adjoint est pédé. Décidément on aura tout vu ce soir.Le chef excité par ce qu’il voyait se mit à m’enculer de plus en plus vite meurtrissant mes chairs. Après ce défonçage en bonne et due forme j’aurai sûrement un peu de mal à m’asseoir demain. La douleur me rappellerait à chaque fois cette délicieuse baise.Cette fois l’homme n’allait plus pouvoir tenir longtemps. Il se retira puis enfonça son dard dans ma bouche juste à temps.Un flot de foutre envahit ma bouche. J’avalais une bonne partie de son jus, puis un nouveau jet fusa. Suivi rapidement de deux autres. Il avait un foutre délicieusement crémeux. Quel dommage que les hommes n’en produisent pas plus à chaque fois.Gâtée la salope. J’adore le foutre. Je passerai la journée à pomper des bites si je le pouvais. Une fois bien vidé et son sexe bien nettoyé le chef se retira.-Alors petite pouffe c’était bon ?-Oh oui mon chou tu m’as gâtée. Regarde j’en ai encore plein la bouche dis-je en ouvrant mes lèvres.-Vas-y ma belle avale tout. Je n’aime pas que l’on gâche.Pendant ce temps le jeune pandore me bouffait toujours le clito, en même temps il avait sorti sa queue et se branlait furieusement. En fait c’était une bonne petite salope. Profitant du déculage de son chef il enfonça ses doigts dans ma chatte et se mit à la branler furieusement. J’adore sentir des doigts s’agiter dans mon cul. C’est presque aussi bon qu’un enculage .Si j’avais su j’aurais postulée dans le corps de la gendarmerie. -T’es gâtée ma chérie. Une bonne pipe après t’être fait ramoner le fion.-Hum !! il me suce comme un Dieu.-Il peut continuer à s’entraîner car maintenant il va avoir le droit de me sucer tous les soirs. Pour une fois que j’ai une petite fiotte comme adjoint, je vais en profiter.La bouche du jeune m’avalait à fond. C’est vrai que mon clito de travelo n’était pas énorme. Il arrêtait de temps en temps son pompage pour s’occuper de mes petites boules toutes lisses. Les suçant l’une après l’autre, puis s’occupait à nouveau de ma tige. Sa bouche était tellement pleine de salive qu’elle faisait des bruits d’eau.Sucée par devant et fouillée profondément dans l’anus, je ne tardais pas à jouir à mon tour ;Je sentis le plaisir monter de mes reins, la jouissance fût énorme j’explosai dans la bouche du jeune. Loin de l’arrêter il continua à me pomper, avalant chaque décharge au fur et à mesure.. Il m’essora les couilles et la tige avant de faire un nettoyage en règle de mon petit service trois pièces.Tout occupé à me sucer, le gendarme n’avait pas vu que son chef le filait avec son téléphone. Avec ça il était sûr de s’assurer des soirées bien juteuses avec son adjoint.Mon suceur ayant fini de jouer avec mon clito, s’était relevé. Sa bite étant au niveau de ma bouche, il l’enfonça d’un coup entre mes lèvres. Il était temps car son jus envahit presqu’aussitôt ma gorge. Les jets se succédaient sans cesse. Tant bien que mal j’essayai d’avaler au fur et à mesure toutes ces délicieuses giclées. Le pauvre n’avait pas dû baiser depuis un bon moment et ses couilles devaient menacer d’exploser tellement elles étaient pleines. Les jets se calmèrent. Comme pour son collègue, j’ouvris fièrement la bouche pleine de son foutre. En fixant ses yeux, j’avalai d’un coup toute sa liqueur. Sa queue était encore barbouillée de sperme. Consciencieusement je léchai le membre souillé. Quelques coups de langue suffirent, puis je remis le sexe de l’homme dans son pantalon.Je réajustai un peu mes vêtements, remis mes seins dans mon soutien gorge et descendis ma jupe un peu froissée par nos ébats.-Bon ! et bien mes chéris je suis ravie que vous m’ayez contrôlée ce soir, mais je dois peut-être signer mon PV, après tout j’étais en infraction et vous devez faire votre devoir.Les deux gendarmes me regardèrent en souriant.-Je crois que pour cette fois vous avez été assez punie, mais n’y revenez pas.-Si je dois subir le même traitement je veux bien à nouveau me faire arrêtez mes chéris.-Sinon comme je n’habite pas très loin et que je suis sur votre route, vous pourriez vous arrêter un moment après vos contrôles. Je serais ravie de vous revoir tous les deux.-T’es pas banale toi. Une délicieuse petite salope. Qu’est-ce que tu en penses le jeune, on s’arrête la prochaine fois ?-Pas de problème chef je vous suivrai.Sur ces derniers mot je fis un gros baiser à chacun et partis en faisant voleter ma jupette.

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