Adultère au séminaire – 2

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Double Penetration

Adultère au séminaire – 2Les matins se suivaient et se ressemblaient en Provence.A mon réveil, Caroline, toujours endormie, pressait ses petits seins nus contre mon torse, un bras en travers de mes épaules. Décidément, cette fille avait besoin de contact physique pour bien dormir.Voulant lui épargner l’embarras de se réveiller quasiment nue dans les bras d’un homme qui n’était pas le sien, je décidai de faire semblant de dormir profondément quand elle se réveillerait.J’étais aussi un peu curieux de voir ce qu’elle ferait me croyant endormi.Quelques instants plus tard, je la sentis s’étirer et j’entendis :« – Oh merde!… » (Je pense que ce devait être là ses deux premiers mots quotidiens), « …bravo Caro ! ».Après s’être écartée, je l’entendis se lever, enfiler un vêtement (sans doute un T-shirt) et aller aux toilettes. Elle revint rapidement et se rallongea sur le lit. Elle resta un long moment sans bouger, je sentais le poids de son regard glisser sur mon beau corps d’athlète (Ah ! Modestie, quand tu nous tiens !), Malheureusement pour elle, cette fois les draps étaient restés à leur place et ne lui laissaient voir que ma poitrine.Je commençais à penser qu’il ne se passerait rien de plus quand son mobile se mis à chanter.Qui pouvait donc appeler à 7 heures du mat ! (Je sus plus tard qu’il s’agissait de sa meilleure copine Nathalie qui ne travaillait pas le mercredi sous prétexte de s’occuper de son gosse et passait sa journée au téléphone avec toutes ses copines en profitant outrageusement de la téléphonie illimitée. Apparemment, Caroline était habituée).« – Salut Nat. Ça va ? »« – …. »« – Non, je suis toujours dans le Sud à ce foutu séminaire alors que je préfèrerai être avec mon homme à la maison. Remarque, j’ai trouvé un substitut sympa, devines avec qui je dors depuis le début de la semaine ? »« – …. »« – Avec Christophe D’Ernemont, un collègue dont je t’ai déjà parlé. » (Ben voyons ! Pour le secret s’était raté, en trente seconde, elle venait de ruiner notre clause de confidentialité. C’était bien une nénette tiens !)« – …. »« – Non non, encore une embrouille à cause de notre nom de famille et pas une chambre de libre dans la ville à cause de plein d’autres colloques. Tu aurais du voir sa tête quand il a compris qu’il devait se taper le canapé pendant une semaine ; j’ai eu pitié de lui et comme il est plutôt craquant, je lui ai proposé de partager le lit. »« – …. »« – Ouais, il est plutôt pas mal foutu, genre sportif du dimanche amélioré » (Merci pour le compliment) Joignant le geste à la parole elle me rabaissa les draps jusqu’aux cuisses comme pour vérifier l’authenticité de son jugement. « – … »« – Non non, il ne s’est rien passé, ça sera déjà suffisamment bizarre quand on se rencontrera après au bureau, alors si on baisouillait, je n’ose pas imaginer ! »« – …. »« – Oh non, c’est sans doute un bon coup, rien qu’à voir le massage qu’il m’a fait hier soir, j’avais un mal de dos atroce et ce matin je ne sens plus rien. Ce mec a des doigts d’or. C’est sûr que s’il fait tout comme ça, je comprends que sa femme le garde jalousement, j’en ferais autant ! » (J’étais sidéré par la décontraction et le culot avec lesquels elle parlait de moi a sa copine, sans se soucier de mon réveil éventuel).« – …. »« – Non non, j’avais mal, il s’est proposé, c’était juste un massage, pas plus ; même s’il a dû en profiter pour me peloter un peu, ce n’est qu’un mec après tout. »« – …. »« – Je t’ai déjà dit que le mot « bite » n’est pas très élégant dans la bouche d’une jeune femme. Mais bon là, je peux te renseigner, il dort encore à coté, vu qu’il a un boxer « poutre apparente » et que c’est l’heure du garde à vous, je dirais environ 20 centimètres. »Et comme si cela ne lui suffisait pas, je sentis soudain une main fraîche soulever doucement mais largement l’élastique de mon caleçon.« – Ouais, bel engin mais tu sais que la longueur ne fait pas tout n’est-ce pas coquine ? »J’étais sur le cul ! Avec une désinvolture incroyable, elle venait d’oser ce que je m’étais refusé à lui faire quelques heures plus tôt. Décidément, cette fille n’avait pas fini de m’étonner.« – … »« – Oui, je pourrais essayer de te brancher, mais tu sais, il a l’air heureux en ménage, alors je ne suis pas sûr qu’il sera intéressé par une mère divorcée, qui plus est nymphomane. »« – …. »« – Et bien, en ce moment, tu tournes à une moyenne de deux à trois mecs par semaine. Pour moi ça ne ressemble pas à de l’abstinence. »« – … »« – Bien sûr, tu as le droit de combler le vide comme tu veux… Allez, ma belle, il va falloir que je réveille mon beau masseur et qu’on y aille. Bye Bye. »Elle raccrocha puis je sentis ses doigts caresser ma joue.« – Eh, l’homme aux mains d’or ! C’est l’heure de se lever ! »Je m’étirai comme un chat : « – Ouah, j’ai bien dormi… et toi, ça va mieux ? »« – Un vrai miracle, plus aucune douleur, tu devrais faire breveter ta technique, tu ferais fortune, encore merci, j’ai vraiment apprécié » répondit-elle en se levant. « Il faut qu’on se dépêche, on est à la bourre » et elle se dirigea vers la salle de bain.Je restais un moment songeur, allongé sur le lit puis, entendant le bruit de la douche, j’eus l’idée de lui rendre la pareille du coup qu’elle m’avais joué la veille : la surprendre nue au sortir de ses ablutions matinales.Je me postai juste derrière la porte de la salle de bain et attendis le moment opportun pour entrer sous n’importe quel prétexte.Dés que j’entendis le bruit du rideau de douche que l’on tire, j’appuyai vivement sur la poignée de la porte.Damned ! Verrouillée !Je l’entendis rire de l’autre coté : « – Raté Pervers-Pépère, tu voulais me mater gros cochon ! A mon avis tu as eu tout le temps pour ça hier soir, alors ce matin tu te la mets derrière l’oreille ! »La petite garce …La journée se déroula sans détail marquant, le séminaire alternant des séquences intéressantes avec d’autres très soporifiques.Les collègues de province réitérèrent avec insistance leur invitation à leur table pour le soir (je pense que Caroline leur avait tapé dans l’œil) et nous avons accepté bien que j’aurais préféré retenter une séance de massage approfondi, moi.De retour dans la chambre, je donnais mon coup de fil quotidien à ma petite famille pendant que Caroline se préparait pour la soirée dans la salle de bain.J’avais fini depuis cinq minutes quand elle sortit, enfin prête, et lorsque mon regard se posa sur elle, je restais pétrifié, bouche béante. Elle avait enfilé une magnifique robe noire s’arrêtant au dessus du genou, le haut étant constitué de deux bandes de tissu passant sur ses seins laissés libres et nouées derrière la nuque, le tout mettant en valeur un décolleté vertigineux et un dos-nu abyssal. Un sobre ras-du-coup en or et des boucles d’oreille en goutte d’eau parachevaient le splendide tableau.La robe était si ajustée au niveau de la taille qu’on pouvait deviner à travers le tissu noir, l’élastique de sa petite culotte (au moins en avait-elle mis une !). Visiblement, bien que cela eut été plus seyant et que la forme des petites fesses s’y prêtât parfaitement, Caroline n’aimait pas porter de string.« – Fermes la bouche, tu vas finir par gober des bahis firmaları mouches. »« – Euh, ton mec t’a laissé emmener ça ? »« – Tu crois peut-être que j’avais besoin de son autorisation ? J’ai juste envie de me sentir belle ce soir »« – Sauf que là tu n’es pas seulement belle, tu es une véritable bombe atomique ambulante ! Si tu sors comme ça, tu vas faire exploser le taux annuel d’infarctus de la ville ! »« – Ben comme ça les toubibs auront des travaux pratiques pour leur séminaire. »Tandis qu’elle posait sur son visage un maquillage discret mais raffiné, je me préparais à mon tour et je m’aperçus avec angoisse que je n’avais rien apporté qui puisse (et de loin) rivaliser avec sa tenue. J’allais avoir l’air d’un plouc à ses cotés.Nous sommes sortis emmitouflés dans nos manteaux, le fond de l’air s’était soudainement rafraîchi dans la journée.Arrivés au restau légèrement en retard, on nous conduisit vers notre table après avoir pris notre vestiaire. Nos « hôtes » nous attendaient. A notre approche, j’eus l’impression de voir cinq clones du loup de Tex Avery figés dans notre direction (ou plutôt dans la direction de Caroline) : dix yeux s’exorbitaient vers ma camarade pendant que cinq mâchoires tombaient sur la table en laissant se dérouler jusqu’au sol cinq langues de trois mètres de long.Ils ne firent pas plus de commentaire, leur attitude suffisait. Caroline parue satisfaite de son petit effet.Je m’assis autour de la table ronde, à la gauche de la seule dame de la tablée qui serait sans aucun doute l’unique point de mire de la soirée ; je n’avais plus à me soucier de mon air plouc.Le repas fut agréable et joyeux, nous parlâmes beaucoup boulot, chacun y allant de ses anecdotes croustillantes. Caroline et moi narrâmes les multiples imbroglios liés à notre nom commun, lorsqu’on nous prend pour Monsieur et Madame (sans mentionner le dernier en date, évidemment).Nos interlocuteurs s’avérèrent d’une conversation intéressante, ils étaient assez bavards à l’exception de celui qui était assis directement à droite de Caroline. Celui-là était plongé si profondément dans le décolleté de sa voisine, qu’à mon avis, il lui faudrait respecter un certain nombre de paliers de décompression avant de revenir à la surface.Au fil de la soirée bien arrosée, la discussion s’orienta sur la vie de chacun et c’est là que je m’aperçus qu’ils étaient tous plus jeunes que moi. Peut-être pas de beaucoup, mais cela suffisait à leur donner des références communes que je ne connaissais pas et petit à petit, je me retrouvais exclu de la conversation, ce qui m’attrista un peu.A la fin du repas, les gars proposèrent de finir la soirée dans un club pour boire un coup ou deux.Je trouvais que l’on avait déjà largement bien bu et m’apprêtai à refuser poliment lorsque Caroline accepta avec entrain : « – Ouais, super idée ! J’espère qu’on pourra danser ! »Caramba ! Encore raté pour la fin de soirée en duo. Soit elle avait une pêche d’enfer ce soir, soit elle était déjà sérieusement grisée par l’alcool. Nous voilà partis pour le club.A la grande joie de Caroline, le club possédait effectivement une petite piste de danse autour de laquelle se répartissaient plusieurs alcôves. Nous en avons annexé une et les « jeunes » achetèrent directement une bouteille entière d’un alcool fort que je m’interdis de citer ici mais qui se boit souvent avec du jus d’orange. Ils n’avaient visiblement pas l’intention de rajouter de l’orange.Très rapidement, Caroline alla se trémousser sur la piste en compagnie de rares couples. Restés assis, je pus voir les cinq autres baver littéralement devant le spectacle de cette créature se déhanchant langoureusement au son de la musique jazz-rock et revenant régulièrement vider son verre à notre table. Cela leur donna soif aussi, le niveau de la bouteille baissa donc très rapidement.Quand vint une série de slows, caroline invita chaque mec l’un après l’autre. Entre chaque danse, elle ramenait son partenaire par la main, buvait une gorgée et emmenait le suivant lui aussi par la main.A chaque slow, elle se lovait dans les bras de son cavalier, les mains autour de son cou et la tête contre son épaule.Evidemment, les provinciaux n’en demandaient pas tant et je pus mesurer le degré d’excitation qu’ils avaient atteint : Le plus timide se contenta de plaquer ses mains sur le dos nu de sa partenaire mais rien que ça aurait déjà décrispé un moine tibétain. Trois d’entre eux firent glisser leurs mains sur le joli postérieur de la parisienne mais toutes les tentatives furent vaines, d’une main douce mais ferme, elle leur remontait jusqu’à la ligne à ne pas franchir.Le plus hardi était un concurrent sérieux, il entreprit de lui masser délicatement le dos, de la nuque jusque la chute des reins. Elle y prit sans doute plaisir car elle ne le repoussa pas quand il glissa ses doigts sous le tissu délimitant la taille de sa partenaire ni quand il franchit la ligne rouge.Je passais en sixième et dernière position, un peu émoustillé mais aussi pas mal énervé par le spectacle offert.Son haleine empestait l’alcool de patate et elle s’accrochait plus à mon cou qu’elle ne menait réellement la danse. D’emblée je lui fit part de mes réflexions :« – A quoi tu joues, là tu peux m’expliquer ? »« – De quoi tu parles ? »« – Est-ce que tu te rends compte que t’es en train d’allumer cinq mecs en manque là ? »« – Arrêtes, tu dis n’importe quoi ! »« – N’empêche que le dernier, j’ai bien cru qu’il allait te sauter en direct sur la piste de danse ! »« – Ha ! Ha ! Ha ! ? T’es ouf toi ! Je sais ce que je fais, j’ai juste envie de me sentir désirée. »« – Eh ! Est-ce que je dois te rappeler que t’est mariée ? T’es complètement bourrée ma parole! Allez on se tire de là ! »« – Dis donc ! T’es pas mon chaperon ! Je suis pas bourrée et je fais ce que je veux ! Si tu veux t’en aller casse-toi ! Je me débrouille très bien toute seule ! »Et elle me repoussa, zigzagua jusqu’à l’alcôve et s’affala entre deux des cinq gars.Malgré notre altercation je décidai de rester et m’installai sur le coté.La soirée traîna en longueur. Nous en étions à la troisième bouteille. Caroline n’avait plus bougé de place. Le gars à sa droite (le masseur) lui parlait sans cesse mais la musique était trop forte pour que j’entende ce qu’ils disaient. Par moment il lui glissait des mots dans l’oreille puis elle me regardait en riant ; j’avais la désagréable impression qu’ils se foutaient de ma gueule. Régulièrement, il posait sa main sur son genou et essayait de la remonter lentement sous sa robe ; elle l’arrêtait de la main, il se redressait alors pour boire un coup ou pour la faire boire puis, au bout de quelques minutes, recommençait son manège. A chaque tentative sa main réussissait à monter un peu plus sur sa cuisse avant qu’elle ne réagisse.Le gars à la gauche de Caroline lui parlait également tout en lui caressant le bras, de l’épaule jusqu’à la main.De temps en temps, il osait l’embrasser sur l’épaule puis essayait de viser la bouche mais elle esquivait à chaque fois.Deux des autres mecs étaient assis juste en face et ne maquaient pas une miette de l’avancée des travaux tout en picolant sec et en se tripotant kaçak iddaa de moins en moins discrètement le slip.Moi, j’étais toujours assis sur le coté en compagnie du cinquième larron qui me tenait la jambe avec une discussion dont je ne saisissais qu’un mot sur trois et dont je n’avais rien à foutre. Je me demandais s’il était vraiment con et ne voyait pas ce qui se passait à coté ou s’il se sacrifiait pour accaparer mon attention et laisser le champ libre à ses coéquipiers.J’arrivais malgré lui à garder un œil attentif à ce qui se tramait. Une impression malsaine commençait à me tenailler.A la énième tentative, je vis la main du masseur remonter très loin sous la robe de caroline et elle sursauta. Je compris tout de suite qu’il avait atteint son but : la petite culotte, voire plus. Je m’attendais à ce que là, elle lui balance une claque à travers la figure mais bien au contraire, non seulement elle ne le gifla pas mais en plus elle le laissa faire sans le repousser cette fois. Elle avait fermé les yeux et se laissait rouler une pelle par le deuxième qui avait en plus réussi à glisser une main en direct sur un de ses seins.Pendant que les deux d’en face bavaient de plus en plus, Caroline continuait d’embrasser à pleine bouche son voisin de gauche qui maintenant lui malaxait sans douceur le sein. En même temps, elle avait nettement écarté les jambes pour donner plus d’aise aux manipulations de son voisin de droite. Afin d’en faire profiter tout le monde, celui-ci, de sa main libre, remonta partiellement la robe de Caroline jusqu’à la taille et les autres purent voir qu’il avait glissé deux doigts qui s’activaient doucement sous l’élastique da la culotte noire. Ensuite, il articula silencieusement et distinctement pour ces potes : « Elle mouille, la salope ! ».Pour confirmer son analyse, il retira ses doigts, les fis aller sous ses narines en faisant semblant de humer un fumet exquis. Ensuite, il trempa ces deux doigts dans le verre de sa partenaire, touilla le liquide transparent, bu une gorgée et donna le reste à Caroline qui s’était enfin débranchée de la bouche de l’autre et bu cul sec. N’en pouvant plus d’attendre leur tour, les deux mateurs firent signe avec les mains qu’ils voulaient échanger les places. A contre cœur, les deux peloteurs se levèrent en laissant une Caroline pantelante, la robe relevée, les jambes écartées et la culotte de travers. Heureusement que notre alcôve était en retrait et dans une relative pénombre, sinon les danseurs auraient eu droit, eux aussi, à cette vision gênante.Caroline de resta pas isolée longtemps, les deux suivants se jetèrent sur les sièges libérés quelques secondes plus tôt et, sans préambule, reprirent là où les deux premiers s’étaient arrêtés. Je me demandais si elle s’était aperçue du changement. Chacun de leur coté, en parfaite symétrie, ils écartèrent les bandes de tissu noir du bustier de Caroline et exposèrent à la vue de tous ses petits seins blancs qu’ils entreprirent de pétrir sans ménagement. A tour de rôle, ils lui faisaient pivoter la tête pour l’embrasser goulûment. Elle se laissait faire sans réaction.Toujours synchrones, les « frères jumeaux » descendirent leur main sur chacune de ses cuisses fines dénudées dont ils entreprirent d’augmenter l’écartement tout en lui caressant la partie intérieure. Ils retournèrent ensuite à leur massage pectoral. L’un des deux abandonna ensuite le sein qui lui était réservé pour rapidement glisser sa main sur le ventre puis, parce qu’elle était maintenant accessible par le haut, directement dans la culotte de la jeune fille. On pouvait voir le relief des doigts aller et venir du haut du pubis jusqu’au plus profond de son entre jambes. Son copain ne tarda pas à l’y rejoindre. Comme plus haut, chacun prit son coté et Caroline eut maintenant deux mains de presque parfaits inconnus dans la culotte. Elle avait beau avoir les cuisses largement écartées, ils étaient un peu à l’étroit là dessous et des doigts humides et affairés dépassaient régulièrement sur les cotés. Le tissu noir avait beau être élastique, il avait beaucoup de mal à continuer de faire son office et ne cachait plus grand-chose à la vue des spectateurs ; la jolie toison dorée était maintenant de plus en plus souvent et de plus en plus entièrement soumise au regard lubrique des cinq mecs en rut.Le gars qui leur faisait maintenant face (l’ancien masseur), leur fit alors un geste équivoque : joignant l’index et le pouce de sa main gauche, il fit aller et venir plusieurs fois le majeur de sa main droite dans le cercle ainsi formé.La signification muette était claire : « celle-là, on va tous se l’enfiler ce soir ! »Ses copains lui renvoyèrent des clins d’œil de connivence.Ces derniers échanges provoquèrent en moi un vision soudaine : je voyais Caroline étendue, inconsciente, entièrement nue sur le lit d’une chambre d’hôtel anonyme, un des mecs également nu étendu sur elle.Cette vision fit aussitôt place à une seconde plus terrible : je voyais toujours Caroline étendue, inconsciente, entièrement nue sur le lit d’une chambre d’hôtel anonyme, mais cette fois, il y avait le masseur en train de faire son odieux va-et-vient entre ses jambes écartées pendant que son acolyte menait sa petite affaire dans sa bouche ouverte et les trois autres qui regardaient en attendant leur tour.Cette dernière vision me fit bondir sur mes pieds, je m’avançai et criai à Caroline : « Allez, c’est bon, on s’en va maintenant ! »Les gars me regardèrent avec hargne et ironie.« – Eh Oh ! T’es pas son mec ! »« – Ben alors, ça va pas ? T’inquiètes pas, y en aura pour tout le monde ! »« – Tu comprends pas qu’il veux pas partager, il la veux pour lui tout seul le salaud ! »Voyant que cela n’allait pas être facile de nous en aller comme ça, je sortis mon argument massue, le plus gros bluff de ma vie :« – Gros cons ! Je suis son père ! »Et profitant du moment libéré par leur stupéfaction, j’empoignai Caroline qui heureusement se laissa faire, je lui rabaissai sa robe, lui rajustai son bustier et nous pressai vers la sortie sans me retourner. Je pris les manteaux au vestiaire et essayait de vêtir rapidement ma collègue. Nous sortîmes dans la nuit glaciale sans être rattrapés. La révélation avait dû les dégriser.Caroline, elle, était loin d’être désalcoolisée, elle titubait et je devais porter la quasi-totalité de son poids alors que moi-même j’avais ingurgité largement ma part. A nous deux, on aurait fait exploser un alcotest polonais. Cahin-caha, nous avons traversé la ville endormie en tenant des propos d’ivrognes de moins en moins intelligibles.Arrivés péniblement jusqu’à notre chambre, je l’ai faite s’asseoir sur le lit. En tanguant, elle me dit :« – Aideees-moooi à meee déshaaabiller » puis s’effondra en arrière, en travers du lit.Ses derniers mots compréhensibles furent : « Chériiiiii, fais-moi l’amouuuur ! »J’étais suffisamment excité par tout ce que j’avais vu au club pour avoir envie de lui obéir, cependant, je savais que cela ne m’était pas adressé personnellement. Je fis donc le sourd.Je me déshabillai pour la nuit, ne gardant comme toujours que mon caleçon.Ceci fait, ne pouvant la laisser comme ça, kaçak bahis je lui ôtai ses chaussures puis m’attaquai à son manteau. Son déshabillage était difficile car elle était devenue une poupée de chiffon ne faisant rien pour m’aider. Comme de mon coté, l’alcool rendait mes gestes imprécis ce fut une galère.Pendant ce temps, insensible à mes efforts, la belle s’était endormie d’un sommeil de plomb.Enlever sa petite robe noire fut plus facile et beaucoup plus agréable. Je passai mes mains derrière sa nuque gracile, dénouai le nœud et rabattis les deux pans de tissu fin, mettant à nu ses petits seins nacrés encore perlés de sueur. Ils étaient un peu rosis par le traitement que leur avaient fait subir plus tôt les brutes en rut.Je tirai ensuite la robe vers le bas pour la faire glisser sur ses hanches. Ce faisant je m’aperçus que la culotte était partiellement venue avec (Au vu de ce qu’il avait dû endurer ce soir, son élastique devait être moribond).Une fois la robe enlevée, il ne lui restait plus que ce petit bout de tissu noir. Derrière, il était descendu jusqu’à la commissure des fesses, devant il s’arrêtait au milieu de son mont de Vénus, dévoilant une petite moitié de son pubis doré. A ce moment là, j’aurais dû lui remonter sa culotte et nous coucher, j’aurais dû.J’aurais dû rester sage cependant, la soirée m’avait passablement excité et en regardant pour la deuxième fois en 24 heures le corps magnifiquement offert d’une Caroline endormie sur mon lit, je perdis toute notion de bienséance : je glissai mes mains sous ses fesses et tirai d’un coup sa petite culotte jusqu’à ses chevilles puis lui ôtai complètement. Je me redressai et pus enfin contempler ma jeune et splendide collègue entièrement nue.J’étais hypnotisé par sa beauté, il se dégageait d’elle une impression de calme et d’abandon absolu ; je pouvais faire d’elle ce que je voulais mais je restais pantois, les bras ballants, les mains comme déconnectées du cerveau.Mes membres supérieurs paralysés, ce fut donc ma bouche qui prit l’initiative. Je me penchai lentement et posai extrêmement délicatement mes lèvres sur les siennes. Je savais bien que ça ne pourrait pas la réveiller mais je ne voulais pas rompre le charme.J’insérais ma langue entre ses petites dents blanches entrouvertes et essayait de lui titiller la langue mais évidemment, elle ne me rendit pas mon baiser. Après un long moment, je quittait à regrets ses lèvres pour poser les miennes sur ses paupières closes puis je continuait sur tout son visage : son front, ses tempes, son nez, ses joues, son menton, son cou…Encouragé par la sensation que cela me procurait, je poursuivais sur son buste, m’arrêtant avec insistance sur le pourtour de ses seins et les petits tétons que j’arrivais à faire se dresser par réaction épidermique, malgré le sommeil. Je continuais ensuite sur son ventre tout doux.Sa peau était maintenant sèche mais gardait le goût finement salé de la sueur qui avait ruisselé sur tout son corps pendant la séance de danse et après celle-ci.Mes lèvres arrivèrent à la limite de sa toison d’or. Peu abondante, elle n’était quasiment pas rasée (juste maîtrisée sur les bords). Je posais de chastes baisers sur des poils soyeux jusqu’à atteindre son petit bouton de plaisir sur lequel j’appliquai un smack plus appuyé. Elle sursauta légèrement et ce fut là sa seule réaction.Pour aller plus loin, je dus délicatement lui écarter les jambes (mes mains répondaient enfin à mes commandes cérébrales embrumées) et offrir à mes yeux l’ouverture timide de sa fragile rose encore bien humide. Je passai ma langue sur ses petites lèvres puis la plongeai dans son puits d’amour. Je récoltai un peu de liqueur assez épaisse, odorante et sucrée.Je repris ma séance de baisers sur ses grandes lèvres (impeccablement rasées, elles) d’une douceur indescriptible, descendis lentement sur les cuisses internes, elles aussi hyper douces, le reste des cuisses, ses genoux, la pliure des genoux, tendre aussi et en général super chatouilleux.Arrivé sur ses pieds, pas un centimètre carré de sa peau, coté face, n’avait échappé à mes lèvres.J’eus envie de faire de même de l’autre coté, je la retournai doucement et repris à partir de la nuque, tout le dos puis les reins et surtout le toujours magnifique et ferme petit cul. Ecartant les fesses de mes mains, je tendis à nouveau ma langue pour explorer le sillon délicat de sa petite raie et essayai de sonder son petit trou brun-rose. Celui-ci était trop bien fermé et je ne pus l’ouvrir.A la fin le coté pile avait reçu le même traitement que le coté face.Il est inutile de préciser l’état dans lequel tout cela m’avait mis. Popaul ne demandait qu’à sauter hors du caleçon qui le retenait. Je décidai de l’écouter (en général, quand un homme écoute sa bite, c’est mal barré pour lui !) et de le laisser, lui aussi, jouer à la poupée.Je retirai donc mon boxer et frottai mon membre énervé contre les demi sphères parfaites du petit fessier. Cela lui plu beaucoup, et il durcit encore, si c’était possible.J’ai ensuite eu envie de lui faire visiter les collines de nacre, la forêt d’or et la grotte aux mille parfums (oui, on peut dire que mon degré d’alcoolémie avait atteint son paroxysme).Je remis donc ma partenaire sur le dos et passai doucement mon sexe sur la peau suave de ses seins (ils n’étaient pas assez volumineux pour pouvoir faire une cravate notariale digne de ce nom mais c’était déjà sympa) puis sur son petit ventre tendre.M’installant ensuite entre les jambes écartées de Caroline qui ne bougeait toujours pas, je caressai avec délectation ses poils pubiens avec mon gland puis présentai celui-ci devant l’entrée du coffre fort qui, ce soir, faisait portes ouvertes.J’allais commencer à enfoncer les premières barrières et pénétrer dans le « saint des saints » quand, soudain, ma conscience me rattrapa encore in extremis (elle avait dû emprunter des chemins jusqu’alors inconnus pour éviter les impasses provoquées par un nombre important de neurones grillés ce soir là). Elle me présenta tout d’un coup à l’esprit la vision que j’avais eu plus tôt au club et qui m’avait fait réagir. Je réalisai que j’étais en train de faire exactement ce que je ne voulais pas que les autres lui fasse subir. Je pris surtout conscience que cette fois, ce n’était pas la baffe que je risquais mais la taule car malgré son invite embrumée, on ne pouvait pas dire que ma partenaire était réellement consentante.Je fus donc, comme la veille, coupé dans mon élan ; seulement là, j’avais à la main un gourdin qui ne se calmerait pas comme ça, tout seul. Je me redressai donc à genoux entre ses jambes et commençai de la main droite le mouvement de va-et-vient bien connu sur la tige de mon engin tendu à l’extrême.Il ne fallut pas attendre longtemps pour en voir jaillir un jet d’une rare v******e. On peut dire que je lui en ai mis partout : un peu dans les cheveux, un peu sur le visage (le front et la joue), une giclée sur le cou, une autre sur la poitrine sur le bord d’un sein, pas mal sur le ventre, dans le nombril et le reste dans sa toison et sur ses cuisses. Un peu penaud, je me dégageai et regardai « l’œuvre d’art » réalisée par mon esprit dérangé.Je pris ensuite un mouchoir et entrepris d’essuyer un maximum de liquide séminal sur son petit corps souillé.J’eus enfin la présence d’esprit de lui renfiler sa culotte noire avant de m’écrouler à ses cotés.

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