Vieille peau.

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Babes

Vieille peau.Quand j’étais jeune j’étais fou des femmes, je ne rêvais qu’au sexe; j’ai eu la chance d’être bien bâti et d’avoir une gueule d’ange et je n’avais aucun mal à soulager les filles. En revenant de l’armée, je me trouvais sans travail. Je faisais bien quelques bricoles qui me permettaient de subsister quand j’ai eu l’occasion de refaire une grande maison entièrement. Il y avait plus de douze pièces à refaire, plâtre, peinture, plancher; la dame payait bien et me proposa même d’habiter sur place car la villa était isolée de toute habitation.Je me mis donc au travail; elle était très gentille et faisait de bon petits plats. Elle était très belle, mature, très chic, bien habillé, elle sentait bon les parfums. Au fil des jours, l’abstinence commençait à se faire senti, je me mis à la séduire. Cela lui plaisait de voir un gamin s’intéresser à un vieille peau, mais ce n’était pas la première fois que je couchais avec une vieille. L’amie de ma mère en avait fait les frais avant mon départ pour l’armée, donc les 58 ans de ma patronne me séduisaient. Elle était bien conservée et ses rondeurs m’attiraient: mais avec les dames il faut séduire et ne pas brusquer. Mais je sentais que je lui plaisais car elle devenait de plus en plus nerveuse et elle riait de mes allusions et surtout était sensible aux flatteries. Chaque matin elle portait un affaire différente et je lui disais: «Oh madame vous êtes en beauté», et le midi, quand nous prenions nos repas ensemble, il m’arrivait de la taquiner. Elle aimait cela, surtout quand je lui disais qu’elle était belle et très élégante. Cela faisait une bonne semaine que j’étais là. J’avais les couilles pleines et ce soir-là j’avais fortement envie de baiser. J’allai la voir à la cuisine et, profitant qu’elle faisait la vaisselle, je lui déposai bahis firmaları un baiser dans le cou. Elle sursauta et se mit a rire: «petit garnement!». C’est à ce moment-là que je lui dit: «ce soir je dors dans votre lit». Elle lâcha son assiette et se retourna toute surprise. Je ne lui laissa pas le temps de répondre. «Cela fait une semaine que je vous vois toute belle et toute pimpante, alors j’ai fortement envie de vous baiser». Elle voulut parler mais les sons ne sortaient pas de sa bouche. Je quittai la cuisine en lui disant que j’attendais dans sa chambre; et c’est ce que je fis. Je pris mon temps et c’est complètement à poil que je m’allongeai dans son lit; ses draps était en satin et j’aimais bein le contact, surtout qu’il faisait chaud c’est à ce moment qu’elle apparut. Elle était nerveuse, crispée et elle m’adressa un petit sourire tout en allant faire sa toilette. Elle me revint dans une chemise de nuit transparente, ses nichons me parurent énormes.Je voyais nettement ses formes au travers du tissu, j’était super excité et je repoussai les draps pour qu’elle voit l’érection menaçante. Elle poussa un cri et mit ses mains sur sa bouche. «allez Nathalie, viens me sucer la bite». C’était la première fois que je l’appelais pas son prénom et elle ne dit rien. Elle m’avoua par la suite qu’elle n’avait jamais vu une aussi grosse bite et cela lui avait fait peur un peu. Elle s’installa près de moi, je la pris dans mes bras et l’embrassai. Elle tremblait d’émotion et aussi de peur. Je lui enlevai sa chemise de nuit et me mis à lui peloter les nichons, puis ses fesse. Je descendis mon visage, embrasa son ventre, et je me mis à lui brouter le minou et pour la première fois elle se mit à jouir en poussant des petits cris. Je lui présentai ma queue bien raide sous le kaçak iddaa nez, elle la saisit à pleines mains et la porta à sa bouche. Elle suçait bien et elle reçut toute ma purée au fond de la gorge et avala le tout. Je bandais toujours autant et lui écartant les genoux, je me présenta pour l’introduire. Elle se cramponna à moi quand ma queue se fraya un chemin dans son vagin et d’un coup sec j’étais au fond. Elle poussa un cri et je la bourrai énergiquement. Elle jouissait bruyamment, elle poussait des petits cris et des courtes phrases et moi de mon côté je lui disais: «Tu aimes ça, hein salope, te faire prendre par un gamin?». Et à chaque insulte elle jouissait de plus belle.Je la traitais de grosse, de putain, de salope et j’en passe, et elle jouissait toujours autant et quand je me déversa en elle, elle se cramponna à moi si fort que je ne pus me dégager. Nous étions les deux dans les vaps. Elle m’¸embrassait amoureusement et m’avoua n’avoir jamais joui aussi fort et aussi longtemps et qu’elle aimait ma façon très sauvage de la prendre, et qu’elle était très heureuse d’être dans mes bras. Elle commençait à être collante, la vieille, je la remis en place: «Bon c’est tout pour ce soir. Dorénavant tu ne porteras pas de petite culotte de façon à ce que je puisse te caresser ou te baiser n’importe où et n’importe comment. Tu serras ma vide couilles aussi longtemps que je serai ici». Elle m’écoutait avec un regard surpris et je vis dans ses yeux une lueur d’approbation. elle m’était soumise et elle aimait cela la garce. Sur ce j’allai me coucher.Au petit matin elle m’apporta le café au lit. J’en profitai pour passer la main, elle ne portait pas de petit culotte, elle avait un sourire triomphant, cette situation lui plaisait et dans la journée, au moment où elle s’y attendait kaçak bahis le moins, je la culbutai et la baisai sans vergogne. Et elle jouit rapidement et encore un fois quand je me rependis en elle. Cela dura tous les jours et je l’avais prévenu que samedi soir nous ferions un souper aux chandelles et qu’elle devait s’habiller sexy avec des bas, porte-jarretelles, strigne, petite jupe et chemise blanche serré pour mettre en valeur sa poitrine.C’est ce qu’elle fit. Elle était très belle, bien coiffée et parfumée. Son habillement m’excitait terriblement. Au moment de l’apéritif je lui dis de se mettre dans le fauteuil en face de moi et de m’exciter avec ses jeux de jambes. Elle fit cela à merveille, à u point que je me mis à me branler. Cela devait l’exciter aussi car elle souleva sa jupe et enfouit sa main sous son strigne. Elle se caressa le minou tout en passant sa langue sur se lèvres. J’étais excité à mort. Je me levai et lui approchai ma bite de sa bouche, elle l’englouti, et elle reçut tout mon foutre dans le fond de sa gorge. Après cela j’écartai ses jambes et après lui avoir retiré son strigne, je lui bouffa la chatte. Elle mouillait bien la bourgeoise, et je me régalais de la faire jouir plusieurs fois. Après le repas, je l’enculai sur le bord de la table. Elle jouit bruyamment en me disant qu’elle était ma salope bien-aimée. En buvant le champagne dans les fauteuils l’on parla de son passé et j’appris qu’elle avait trompé son défunt mari très souvent, surtout avec son patron et c’est comme cela que son mari prenait du gallon. Mais de toutes ses frasques celle qu’elle avait préférée c’est le soir où en marchant dans un petit bois, elle s’était fait violée par deux noirs. Ceux-ci virent bien vite qu’elle aimait cela et cela dura toute la soirée. Ma bourgeoise était une branleuse-née et ce n’est pas pour rien qu’elle avait un gros clito et elle m’avoua qu’il lui arrivait souvent de se branler en voiture. Je gardai la vieille deux mois et je l’ai plaquée pour une autre qui devint ma femme.

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