un chien qui s’ignore 8

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Babes

un chien qui s’ignore 8Finalement je fus autorisé à rejoindre mon bureau. Je tentais de cacher ma joue écarlate et mon entrejambe obscène. Je restais calé à mon bureau toute la matinée et essayais de me concentrer. Laurence passait d’un bureau à l’autre, donnait des instructions. Je ne pouvais pas détacher mon regard de son déhanchement provoquant. Je sentais mon sexe gonfler et rapidement être bloqué par son étui. Mes couilles cerclées par l’anneau étaient douloureuses et me rappelaient ma situationMalgré ce qu’elle m’infligeait, je fantasmais encore sur son corps voluptueux. Son autorité naturelle me glaçait le sang, mais sa prestance, son regard, son corps attirait mes yeux. Je n’étais pas le seul, je le voyais bien sur le personnel. Mais ma relation avec elle était unique ! Terrible et effrayante, mais unique !Etrangement le fait d’être en son pouvoir me faisait trembler d’appréhension, sur mon avenir proche. Mais en même temps, j’étais presque fière de me trouver entre ses mains : au moins elle me regardait et m’adressait la parole !. Même si ce n’était que des ordres ou des insultes, j’avais de cette façon pu l’approcher et au moins avec ma langue prendre en quel que sorte contact. Je sais ce n’était que ses chaussures. Cette femme me rendait dingue, je ne savais plus où j’en étais. Je commençais à me considérer comme lui appartenant !!! Bref elle m’avait pris en main, malgré moi et le service avec !! Vint l’heure de la pause de midi, le bureau se vidait. Je fis mine de me lever pour aller manger (une cantine se situait dans un autre bâtiment).‘Où crois-tu aller ?’ me lança Laurence. Je dus la suivre, sans un mot bien sur. Je me surpris à encore (avoir envie de) bander, du fait de me retrouver seul avec elle, à suivre son déhanchement hypnotique des yeux. Elle me conduisit au WC, me fit entrer dans le réduit des femmes de ménage. Elle m’y enferma à clef et repartit sans un mot. La porte claqua, le silence régnait, tout le monde était parti manger. Je m’assis sur un seau retourné et attendis dans le noir la fin de la pause.Je fus finalement libéré et fus autorisé à aller à mon bureau. J’étais affamé, mais plus que tout assoiffé. Je ne pensais qu’à ça. Cela m’obsédait. Je regardais de temps à autre Laurence pour essayer d’attirer son regard. Elle ne me prêtait pas plus d’attention qu’une chaise ! Par contre les personnes du bureau me regardaient souvent. Je devais avoir une allure inhabituelle et surtout négligée. Mon comportement effacé, mon silence, mes yeux baissé sauf pour regarder ma tortionnaire, tout devait leur paraitre étrange. Moi qui la semaine dernière encore, me pavanais, lorgnais les décolletés, pinçais les culs des plus méritantes et finalement baisait la bouche de cette salope de Nolwen !Elle était partie ce matin en me faisant un clin d’œil bien visible devant tout le bureau et avait tourné du cul comme jamais, en faisant tourner la clef du cadenas autour de ses doigts !!‘Alors c’est ta nouvelle chasteté qui te met dans cet état ?’ Je relevais la tête en sortant de mes réflexions, Laurence se tenait à côté de mon bureau. Tout le monde était parti, la journée de bureau était finie !‘Debout, tu me suis’Après qu’elle ait fermé les bureaux, je la suivis à sa voiture.Comme ave ma femme, ma place fut désignée dans le coffre. Cette fois celui-ci était étanche et je me retrouvais dans le noir. Le voyage me parut long. Je n’étais jamais allé chez elle.Elle m’ouvrit le haillon et je descendais pour entrer par le garage de sa maison pavillonnaire.Elle me poussait régulièrement, jusqu’à me désigner une porte au fond du garage. Tu te déshabilles et tu m’attends là. Elle éclairait la pièce toute en longueur, sans fenêtre. Elle revint rapidement, je l’attendais nu, équipé uniquement de cette cage de chasteté. Elle apportait une sorte de gros collier à sangle, du même type que j’avais déjà porté ce weekend avec ma femme, me le passa autour du cou en m’ayant ordonné de me mettre à genoux.Je ne réfléchissais plus, battu, abattu.Le collier ressemblait plus à une minerve finalement, au fur et à mesure qu’elle resserrait les sangles dans ma nuque. J’étais obligé de relever le menton pour soulager mon visage, ma gorge devenait comprimée. Elle serra ensuite un lien qui fini par me comprimer du haut du dos jusqu’au haut de la nuque. Ma tête se retrouvait immobilisée. Des mauvais souvenirs remontaient à ma mémoire. Elle finit par passer un collier métallique sur la minerve équipé d’anneaux. J’entendis le bruit caractéristique de mise en marche d’un treuil électrique, sentis des câbles qui venaient s’arrimer dans les anneaux. Elle commanda le treuil qui enroula visiblement un câble au dessus de moi, car je dus vite me relever, le collier me tirait au plafond.Je me retrouvais finalement debout et par quelques impulsions sur la commande, le câble me força à me mettre sur la pointe des pieds. Par reflexe, je levais les mains pour tirer sur le câble soulager la tension. Je tournais sur moi-même en essayant de trouver la position qui me permit de soulager ma respiration.Elle se plaça devant moi, d’un air satisfait. Je respirais par la bouche grande ouverte, les biceps contractés sur me tirer vers le treuil au dessus de moi, je tanguais sur mes gros orteils.‘Ca va te faire réfléchir à ta situation et ton comportement. Quant à moi canlı bahis je vais me changer, manger un morceau pour reprendre des forces. Je reviendrai tout à l’heure pour te punir comme je te l’ai promis. Tu vas dérouiller..’Elle partit et monta l’escalier qui menait à l’étage. Je tentais de reprendre mon calme et prendre une respiration régulière.Mais je ne pouvais m’ôter de l’esprit ce que m’avait ‘promis’ ma tortionnaire.Le temps me paraissais long,j’avais froid, nu comme un vers, anxieux je tremblais de tous mes membres.Mes gros orteils, seul contact avec le sol froid, me faisaient mal, tout comme mes chevilles en extension.Je n’avais pas notion de l’heure dans cette position et cette pièce sans fenêtre, vraisemblablement creusée sous le sol. J’espérais presque le retour de ma tortionnaire pour qu’elle me punisse et qu’on en finisse. Dès que j’entendis le bruit de la porte et ses talons descendre les marches pour me rejoindre, ma respiration s’accéléra et instinctivement je tirais sur la chaine qui me tenait à sa merci.Ses pas approchaient lentement.Elle se tenait maintenant sur le seuil de la porte.Elle avait enlevé son tailleur pour passer un legging et un teeshirt blancs.Je ne pouvais détacher mes yeux de ses courbes voluptueuses. Elle avait remis ses bottes noires sur son legging et elle était en train de mettre des gants en cuir épais qu’elle remontait jusqu’à ses coudes. Ses cheveux étaient attachés en une queue de cheval. Je tremblais de tout mon être devant cette femme déterminée à me punir violemment et à la fois je sentais mon sexe gonfler comprimé dans son étui.Son sourire moqueur en me regardant ne fit que m’exciter et m’effrayer encore plus.Elle entra et ouvrit un placard mural, en sortit en fouet monstrueux dont la corde tressée était lovée sur elle-même sur plusieurs tours .J’avalais ma salive.Elle vint devant moi et frotta son fouet sur mon ventre et mon sexe.‘Voilà le moment que tu attendais tant. Tu vois je tiens toujours mes promesses.’‘Ah j’oubliais’.Elle retourna au placard et en sorti un objet. Cela ressemblait à un mors de cheval. Elle me le noua derrière la nuque et le plaça dans ma bouche. Elle ferma la porte de la pièce qui semblait isolée vue son épaisseur.‘Tu peux crier, personne ne t’entendra. Je te conseille même de crier très fort, ça soulage. Et gardes bien le mors entre tes dents, c’est un conseil’En parlant elle me contournait toujours en frottant le fouet contre mon corps tremblant et vint se placer derrière moi. Je ne la voyais plus mais entendais qu’elle s’éloignait de plusieurs pas.‘Après cette petite séance, tu ne seras plus le même homme, si j’ose dire ! Tu seras docile à souhait.’‘Dernier conseil, ne te retournes surtout pas, je risquerais de te défigurer…’Je me figeais et attendais la douleur, tendu, tremblant. Les sens en alerte, je l’entendais se préparer et déployer le fouet, reculer, se mettre en place.Tout à coup j’entendis le bruit caractéristique d’une corde qui fend l’air, je tendis mes muscles et fermais les yeux, j’entendis le fouet s’abattre au sol, dans un claquement sec, qui dégagea un nuage de poussière. J’avalais une nouvelle fois ma salive et attendis. Je l’entendis prendre la commande du treuil et je sentis le câble me soulager de sa tension : je retombais à plat sur mes pieds. Une nouvelle tension vers le haut, me tendis à nouveau la tête en extension, me talons légèrement décollés du sol.Et puis j’entendis le sifflement de la corde et cette fois une morsure s’abattit sur mon dos qui me coupa le souffle de douleur. Une douleur aigue qui semblait s’enfoncer à l’intérieur, une chaleur qui me brulait la peau. Je pensais un cri rauque quelques secondes après. Et déjà une seconde explosion parvint dans mon dos, de l’autre côté. Je serais tombé si je n’étais pas fixé au plafond. Je ne parvenais plus à reprendre mon souffle devant la douleur, mon cœur tapait dans mes poumons, des larmes inondaient mes yeux, mes dents entaillaient le mors jusqu’à me faire mal dans les mâchoires. Puis encore un sifflement et la douleur vive, atroce, répugnante le long de la colonne, enfin ce qu’il devait en rester. J’hurlais de tout mon être, crier au monde la douleur, sortir de moi ce feu destructeur.Mes jambes tremblaient.Je respirais comme après un sprint.Quelques secondes de répits.Et puis un cri d’effort étouffé comme un tennis man qui sert un service décisif, le sifflement caractéristique d’un fouet qui se lance vers sa proie en ondulant. Cette fois je ne criais pas si fort, le souffle coupé. Je sentis mes jambes me lâcher, des larmes ruisselaient sur mon corps, le mord coincé dans mes dents, dégoulinait de bave. Je sentis la tension du câble se relâcher, mes talons reposaient désormais au sol. Encore un éclat dans le dos, cette fois en transversal. Le corps scindé en deux, j’éclatais en sanglot, secoué de spasmes. Encore un coup, toujours plus violent me semblait t’il. Mon souffle tentait de se régler sur le sifflement de la corde, prémices de la douleur, mais mon corps n’était plus qu’un morceau de viande placé au grill.Je n’entendais bientôt plus venir les coups, le rythme n’était pas régulier. Le fouet ne venait désormais rajouter qu’une impulsion à une douleur irradiante. Je pleurais en silence, le mors incrusté dans mes dents, le corps affaissé autant que pouvait bahis siteleri le permettre le câble, les jambes écartées pour garder un semblant d’équilibre, le regard vague sur un coin de plafond, proche de perdre conscience. Les coups pleuvaient encore. Mon corps ives de douleurs, ne réagissait plus à la morsure de la corde.Quand j’entendis une voix à mon oreille, je sus que la sentence était terminée. Les coups ne pleuvraient plus, mais la douleur elle ne diminuerait pas…‘Comment tu as trouvé la séance ? Moi ça m’a donné chaud, je vais me faire couler un bon bain. Repose-toi’Aussitôt le moteur électrique s’enclencha, le câble se détendit et je basculais en avant au ralenti, retenu par mes mains encore crispées sur celui-ci, tournoyant sur moi-même avant d’atteindre le sol. Sans force je ne réagissais pas. Un coup de bottes dans le ventre me tirait de ma semi-léthargie et je me recroquevillais dans un cri. Elle m’enjambait, et avant de refermer la porte sur elle.‘Profites de ce moment de repos, tu me nettoieras tout ça après’ Elle me jeta le fouet sur les jambes.Je sombrais dans une semi-léthargie, le dos, les épaules, les fesses brûlants de douleur. Je reprenais mon souffle. Au bout de quelques temps, je commençais à reprendre mes esprits et examinais la pièce ou je me trouvais.La porte n’avait pas de poignée intérieur, elle devait ouvrir avec la clef pour sortir. Le sol était en carrelage froid incurvé vers une grille dans le sol. C’est alors que je m’apercevais du sang qui avait coulé de mes blessures et s’écoulait doucement par les grilles, dilué par les flots de salive qui avaient du couler du mors, toujours présent dans ma bouche. Je voulu l’enlever, mais rien que lever les bras à mon visage, me lança une décharge dans les épaules.Comment en étais-je arrivé là, en si peu de temps ?Piégé.Pas d’issue possible autre que cette porte condamnée.Un néon au plafond, quelques anneaux d’ancrage.Quelques uns au mur également.Le treuil électrique au dessus de moi, avec son câble métallique qui descendait jusqu’à moi. Dans le fond de la pièce des balais et produits de nettoyage, un point d’eau. Et puis face à moi, ce placard dans lequel elle avait récupéré ce fouet destructeur ! J’imaginais maintenant qu’il devait contenir bien d’autres engins de tortures. Une petite porte fermée dans le mur opposé m’intriguait de par sa hauteur très basse.La douleur et la fatigue provoquèrent à nouveau des tremblements de tout mon corps. Je réussis à m’assoir et regrouper doucement mes bras autour de mes jambes. Je restais dans cette position plusieurs heures me sembla t-il. Surpris, la porte s’ouvrit soudainement, sans que je j’entendis ma tortionnaire arriver. Instinctivement je me recroquevillais de terreur et baissais la tête entre mes genoux. Elle entra sans un mot et détacha mon collier du câble, qu’elle fit remonter jusqu’au treuil. Mon collier ainsi que le fouet et le mors furent rangés dans le placard. Elle en sortit une chaine. ‘A 4 pattes’Malgré la douleur, je réagis promptement et attendis docilement.Elle vint derrière moi et je sentis qu’elle attachait la chaine à l’ancrage de ma cage de chasteté qui passait derrière mes couilles. D’un coup sec, elle tira dessus et m’entraina tant bien que mal à reculons vers le mur sur lequel elle fixa par un cadenas la chaine à un anneau scellé. Elle s’éloigna au fond de la pièce et commença à brancher un tuyau d’arrosage. Je la regardais à la dérobée, elle avait passé un ciré de pluie et des bottes en caoutchouc.Elle revint vers moi en tirant le tuyau. Elle m’aspergea violemment directement sur mon dos. Je criais de douleur en essayant de fuir. Mes couilles et mon sexe retenus par la chaine, me retinrent. Elle me donnait de coups de bottes dans les côtes pour que je tourne. Elle m’aspergeait comme une bagnole boueuse qu’on doit nettoyer, prenant plaisir à m’asperger le visage ou les couilles. Le sang coulait de mes blessures et finissait dans la grille, jusqu’a ce qu’il n’y en ait plus trace. Elle rangeait le tout et revint me détacher pour finir par m’entrainer avec ma laisse jusqu’à la fameuse petite porte. Il s’agissait en fait d’une sorte de niche pour chien dissimulée dans l’épaisseur du mur.‘Voila ta nouvelle maison, ça te plait j’espère’Devant mon appréhension à rentrer dans cette sorte de tunnel sombre de 80 cm de haut à peine, un coup de bottes au cul me fit hurler de douleur. J’avançais.‘Non, tournes toi et recules !’La niche était trop étroite pour je me retourne et je rentrais donc à reculons. Elle referma une porte métallique juste devant mon visage, qu’elle ferma à clef. Les barreaux étaient suffisamment espacés pour passer aisément ma tête. Elle place ensuite contre la grille une gamelle d’eau et une autre qu’elle finit par remplir de boulettes de viandes nappées de sauce à l’odeur et l’aspect écœurants.Je regardais incrédule la gamelle puis relevais le visage vers ma tortionnaire accroupie devant moi. ‘Rappelles toi : tu es en congés cette semaine, tous frais payés. Logé, nourri !Tu as même une caisse dans le fond de ta nouvelle maison pour tes besoins. Evidemment tu devras t’habituer à faire ça a 4 pattes comme un bon chien.’En guise de conclusion, elle envoya un coup de pied à la porte basse qui vint claquer jute devant mon visage incrédule. Je me retrouvais dans le noir. bahis şirketleri Seul un rai de lumière passait sous la porte.J’entendis ses talons sur le carrelage s’éloigner, la porte se fermer.La lumière fut éteinte. Noir complet. Silence absolu.J’étais à 4 pattes, nu excepté cette cage de chasteté et cette laisse, coincé dans ce réduit exigu, où je devais baisser la tête vers le sol. Je reculai doucement vers le fond de ma cage pour inspecter de mes pieds la place dont je disposais. Je reculai de 30 cm et butai contre un bac en plastique, mes orteils sentirent de la litière dans le fond. Mon pied droit rencontra ce qui semblait être une couverture en boule. J’essayai à tâtons de la déplier. Je parvenais après quelques tortures de mon dos à me coucher sur le flanc, les jambes repliées sur moi-même, faute de place.Je poussai un énorme soupir et fondis en larme, silencieusement. Je ne pouvais pas m’arrêter.Douleur, désespoir, déchéance.Secoué de spasmes qui emplissaient tout mon espace réduit, je me retrouvais enfermé avec pour seule compagnie deux gamelles et une litière. Je tapais les murs de bétons de mes poings de haine, de détresse…Un véritable chien, lui, aurait hurlé à la mort.Je ne revis pas ma maitresse de la journée, enfin ce que je pensais être une journée. Je restais seul avec ma souffrance, somnolais, je réussis à trouver ma gamelle et boire un peu en passant entre les grilles.Affamé, je me refusais à toucher aux boulettes, dont l’odeur emplissait mon réduit. Ma respiration et les grondements de mon ventre étaient les seuls bruits que je pouvais entendre.Et puis au bout de quelques heures, j’entendis le bruit de la porte et le rai de lumière s’alluma.La porte basse s’ouvrit sur une paire de talons aiguilles, j’étais aveuglé et reculais instinctivement au plus profond de ma cage. Une main tourna la clef de la grille et d’un claquement sec des doigts me fit signe de sortir.J’étais encore terrorisé par cette femme et de ce qu’elle me réservait encore, mais paradoxalement, j’étais content de retrouver la lumière et…sa présence.Je sortis donc tout ankylosé de courbatures et le dos en feu, évitant de renverser mes gamelles, au pied de ma maitresse, ma laisse de couille trainait derrière moi. Je gardais la tête basse et n’osais la regarder, humilié au plus profond de moi-même. D’ailleurs elle ne m’adressa même pas la parole. Il tira sur ma laisse pour m’accrocher à nouveau au mur. Le rituel du jet d’eau repris, moins violent cette fois. Je sentais qu’elle observait l’état de mon dos. Je fus vite décroché du mur et d’un coup d’escarpin dans les couilles, je compris douloureusement que je devais déjà regagner ma cellule, ma niche. J’hésitais un instant de vague résistance. Cette fois c’est le talon aiguille qui s’enfonça dans mon dos meurtri. Je poussai un cri de douleur et reprenais résigné ma place à reculons. Sitôt en place, la grille claqua devant ma tête. Elle me remplit rapidement ma gamelle d’eau vide et rajouta avec dégout quelques boulettes de viande sur la gamelle déjà pleine.‘Ah Ah tu vas y prendre goût, crois moi !’Je me tenais la plus au fond de la cage et regardais, ou plutôt pouvais admirer dans la position accroupie sans qu’elle ne me voie, ses escarpins, ses bas brillants à la lumière et même le bas de sa jupe bleue qui laisse entrevoir le haut de ses cuisses gainées de nylon. Le raffinement même.La belle et la bête…Sans un mot, elle se releva et ferma la porte basse. Lumière. Porte.A nouveau dans le noir avec cette forte odeur de boulettes. Sanglots…Ma vie s’écoulait ainsi, rythmée par ces visites…Je perdais toute notion du temps, plongé dans le noir et le silence. Ses visites étaient rapides. Bain au jet et nourriture. Puis noir complet.Puis finalement, affamé, je finis par plonger ma main dans les boulettes de viande et avaler cette nourriture. J’avais des hauts le cœur, au début. Puis je m’y suis habitué.Je dus apprendre à me lécher la main collante de sauce, puis le visage avec celle-ci une fois propre.J’utilisais également la litière. J’avais du mal à uriner dans la caisse proprement. Mon étui fermé et étanche au bout, l’urine débordait du tube et m’inondait les couilles ou les cuisses. Ma maitresse ne manquait pas de me faire savoir que ma cage empestait la vieille pisse. L’unique fois où je pus profiter quelques instant de plus de ma ‘liberté’ fut pour tirer ma litière hors de ma niche, et la nettoyer toujours à 4 pattes bien sûr. Un cout de jet rapide dans ma niche et ma maitresse m’envoyait d’un coup bien placé reprendre ma place. Quelque fois elle aspergeait d’un antiseptique en aérosol ma cage de chasteté. Je n’osais pas imaginer l’état de ma bite racornie.Depuis combien de temps étais-je là ? Elle m’avait fait poser une semaine de congés…J’avais l’impression d’être là depuis une éternité.Ma vie d’homme d’avant, déjà mise à mal, avait pris fin en entrant dans cette pièce.Ma maitresse avait gagné.Tout dans mes comportements était devenu a****l. Je n’avais même plus droit à la parole. Quand je me retrouvais seul dans le noir, je me parlais à moi-même pour me rassurer, entendre le son de ma voix !Et puis un jour (ou une nuit) je fus pris d’angoisse. Ma maitresse Laurence (Madame Laurence comme elle se nommait les rares fois où elle m’adressait la parole) n’était pas venu me laver, mes gamelles étaient vides. Je constatai à mon grand désarroi que sa présence, son parfum, sa voix, son corps inaccessible me manquaient. Elle allait m’abandonner comme un chien à la SPA ? J’allais mourir de soif dans ce trou ?…..

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