Placement à la ferme.

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Placement à la ferme.Mes parents divorcent. Ce n’est pas vraiment une surprise en soi mais le divorce est franchement hard. Tellement tendu que le juge décide de me placer en famille d’accueil le temps d’arriver a démêler l’imbroglio de la situation. Nous sommes en juillet 1989, la lambada est sur toutes les radios et je me retrouve dans une petite fermette au fin fond de l’Oise pour une durée inconnue. Mon arrivée ressemble a un début de film d’adolescent. Deux heures de routes avec une assistante sociale qui m’explique que tout va bien se passer. Que je suis un grand garçon maintenant. Que passer un été a la campagne est génial et que je vais sûrement avoir droit a un super anniversaire pour mes quinze ans car la famille ou je me rend est très gentils. La seule chose que je retiens c’est cette histoire d’anniversaire. J’aurais quinze ans dans quatre mois ! Ça veux dire que je vais commencer mon année scolaire la-bas ? Non que je sois pressé de retrouver mon père ou ma mère mais ça veux dire qu’une fois de plus je vais repartir a zéro niveau copain. C’est nul et je suis sur que je vais me faire chier.Heureusement les choses s’arrangent dès notre arrivée. Après un long moment sur des routes perdu loin du moindre village, nous prenons un petit chemin dans un bois qui nous mène dans une cour de ferme que l’on dirait construite spécialement pour servir de décors de film. Un grand arbre trône au milieux de la cour, des poules courent pour éviter le véhicule et une odeur de boulangerie envahi l’habitacle. Nous descendons de la voiture et une vieille nous attends avec un grand sourire. Un chien viens renifler mes chaussures pendant les présentations. En quelques minutes, je suis installé. Ma chambre est en haut d’un petit escalier en pierre sur le coté d’un des bâtiments. Il faut sortir pour aller aux toilettes extérieur derrière la maison et traverser la cour pour rejoindre la cuisine et la salon ou se trouve une antique télé en noir et blanc qui n’est visiblement jamais éteinte. La dame me fait faire le tour des lieux et m’explique plein de trucs. Nous sommes dans une ferme qui élève des poules et des poulets. Les champs derrière la maison sont effectivement plein de poules qui entrent et sortent sans arrêt d’une énorme cabane. A l’intérieur le bruit est limite assourdissant mais j’ai le plaisir de ramasser des œufs pour la première fois de ma vie. Puis nous retournons vers la ferme et après avoir mis les œufs dans une petite boutique ou les gens du coin viennent faire leurs courses, nous rejoignons le mari de la fermière qui sort du pain d’un immense four en pierre. C’est la deuxième occupation de la ferme. J’ai déjà hâte d’apprendre plein de chose et j’en oubli presque que je suis perdu au milieu de nulle part sans amis. Le soir pointe le bout de son nez et nous passons a table devant la boutique. Pain encore chaud, pâté de volaille maison et un verre de rouge pour tout le monde. Des clients passent chercher qui des œufs, qui du poulet, qui du pain ou les trois. Je me retrouve au service comme si c’était naturel et j’ai la tête qui tourne un peu après le deuxième verre. J’en suis presque a chanter « mon pantalon qu’est décousu » quand je rejoins ma chambre et que je m’écroule sur mon lit ou je m’endors comme une masse pour la nuit.Je me réveille très tôt. Les coqs fonts un concours de vocalise et un tracteur démarre dans la cour. Je vais a la fenêtre coté cour et me rend compte que je suis certainement le dernier debout de la ferme. J’enfile rapidement un short et je descend pour aller au toilettes. C’est une petite construction en pierre avec une porte en bois ou un cœur est découpé. Je saisi la poignée et ouvre en grand. Une petite voix me dit ” c’est occupé ” et effectivement c’est occupé. J’ai devant moi une demoiselle a genoux qui se soulage sur les toilettes a la turc en tenant sa jupe bien haut pour ne pas la salir. Mes yeux se fixe immédiatement sur son entre-jambe d’où un jet de pisse coule depuis une petite touffe de poil roux qui illumine ma journée dans la seconde. ”C’est pas une salle de spectacle ici ” me dit la demoiselle. Je relevé les yeux et elle me regarde en faisant un grand sourire forcé avec la tête penché. J’ai l’impression de voir Zora la rousse qui se moque de moi. Je referme la porte en bredouillant une vague excuse et part précipitamment me cacher derrière un arbre. Quelques instants plus tard, j’entends la porte en bois qui claque. Je me penche un peu et vois la demoiselle qui se dirige vers le poulailler. Je pisse derrière mon arbre puis direction la cuisine. Pour le petit déjeuner, c’est un peu le même principe que la veille. Pas de question sur ce que je veux. A peine assis, un bol de café au lait apparaît devant moi avec deux immense tartine beurre confiture. Je mange avec appétit même si j’ai du mal avec la café. C’est un poil plus violent que mon bol de chocolat mais je m’y fait. Je finis ma deuxième tartine quand quelqu’un rentre dans la pièce derrière moi. Une petite voix que je reconnais immédiatement déclare ” 134 ce matin madame. J’ai fait les plateaux dans la boutique ”. La fermière lui répond que c’est bien et qu’elle n’a qu’a boire un café avant d’aller nourrir les poulets. Puis elle nous présente ” Julie, je te présente Ronan. Il va passer un moment a la ferme avec nous. Ronan je te présente Julie. Elle vient tout les matins pour s’occuper des volailles.” casino siteleri Nous échangeons un salut et elle s’assied face à moi en me faisant le même sourire que quelques minutes plus tôt. Elle est belle, fraîche et tellement nature. Elle doit avoir quelques années de plus que moi mais pas beaucoup. Je deviens rouge comme une pivoine et plonge dans mon bol de café au lait. Elle se sers un bol de café et commence a se préparer une tartine quand elle fait tomber une cuillère par-terre. Elle se penche et se redresse en me disant ” elle est tombé de ton coté, tu peux me la ramasser ?” Je me penche a mon tour et doit presque passer sous la table pour ramasser la cuillère. C’est alors que je me rend compte que la demoiselle a beaucoup remonté sa jupe, qu’elle a les jambes bien écarté et surtout, qu’elle ne porte pas de culotte. J’ai une vue plongeante sur sa chatte. Sa main est posé sur sa cuisse et se rapproche doucement de ses poils. Elle se gratte rapidement avant de passer un doigt dans sa fente. La jupe retombe, fin du spectacle. Je me relève encore plus rouge qu’avant et elle me souris encore mais cette fois ce n’est pas un sourire forcé et moqueur mais un sourire tout doux que j’imagine plein de promesse.Elle se relève et sort en disant qu’elle va bosser. Je m’apprête a me lever aussi pour la suivre mais c’est alors que je me rend compte qu’une érection de grande amplitude déforme mon short. J’attends que la dame se retourne pour sortir précipitamment et rejoindre ma chambre. Je regarde par la fenêtre coté foret et aperçois Julie qui distribue des seaux de grains aux poulets. Sans hésiter, je sors ma bite et me branle en la regardant travailler. J’ai encore l’image de sa chatte devant les yeux et je joui sur ses poils roux alors qu’elle continue de distribuer des grains. Du sperme coule sur les feuilles de la plante et dans le pot devant ma fenêtre. Je me rince rapidement au lavabo de ma chambre et redescend en cuisine pour demander si je peux aider.La journée passe en un rien de temps. Il y a toujours quelque-chose a faire et je me retrouve le soir a table épuisé mais heureux. Je demande ou se trouve la salle de bain car j’ai bien transpiré et j’apprends qu’il n’y en a pas. ”On se lave au lavabo ici, ou alors au jet d’eau dans la grange quand on est trop salle”. Je me dirige vers la grange mais quand j’y arrive, je me rend compte qu’elle est déjà occupé par le fermier qui chante en faisant couler l’eau. Je retourne alors vers ma chambre et rempli le lavabo en partie après voir mis le bouchon. L’eau est a peine tiède. Une serviette posé au sol, je me lave tant bien que mal en essayant de ne pas mettre d’eau partout. Le morceaux de savon est très dure et laisse une drôle de sensation sur la peau, comme si elle séchait instantanément quand on l’utilise. Je me rince et comme de bien entendu, je me met a bander. Un rapide coup d’œil a la fenêtre et mon bonheur est complet. Julie rentre les poules pour le soir et je la regarde a nouveau en me caressant doucement. Je ferme les yeux quelques instant et revoie l’image de sous la table en imaginant une suite beaucoup moins sage que dans la réalité. Quand je rouvre les yeux, Julie est en bas devant ma fenêtre et me fait un petit signe de la main. Elle me regarde et je met un instant avant de réaliser ce qu’elle regarde et peut voir. Son petit signe de la main est en fait un mouvement mimant ma masturbation et elle me dit ” Ça va bien la-haut ? Besoin d’un coup de main ? ”. Je recule hors de sa vue. C’est la fin des haricots. Elle va aller prévenir la fermière et je vais me faire renvoyer dans la minute, direction le centre d’accueil et ses dortoirs de 20. Je me penche en avant pour voir si elle est toujours là mais heureusement elle est parti. Ouf, je ferme la fenêtre et me retourne pour m’essuyer et me mettre en tenue pour aller rejoindre tout le monde à table. C’est alors que la porte s’ouvre et que Julie rentre sans la moindre gène. Je suis nue, le sexe encore partiellement tendu, la serviette est plus proche d’elle que de moi et elle me fait son sourire bizarre. Elle prend la serviette et me dit ”La patronne dit de te dépêcher. Tout le monde a faim et attend pour manger.” en me tendant le morceaux de tissus. Je l’att**** et me couvre mais avant que je ne puisse réagir, elle me saisi le sexe et me branle doucement quelques secondes avant de me lâcher.” Il me semblait bien t’avoir vu te secouer le poireaux ce matin mais j’étais pas sur. Dépêche, ils nous attendent” et elle crache dans sa main avant de me saisir la bite et d’accélérer le mouvement. A peine le temps de compter jusqu’à dix que je me met a trembler de tout mon corps. Le premier jet coule lentement sur sa main mais le deuxième jailli avec assez de force pour tomber sur sa jupe. Elle me lâche alors et bondi en arrière en s’écriant ” Hé fait attention, me salit pas la jupe”. Mon jus coule sur le parquet alors qu’elle quitte la pièce en me demandant de me dépêcher de venir les rejoindre à table. Il me faut une petite minute pour reprendre mes esprits et je me rhabille prestement avant de descendre les escaliers en courant pour aller manger. Julie n’est pas là mais je vois bien que la fermière me regarde d’un drôle d’œil. J’espère qu’elle ne se doute de rien car je ne veux pas avoir de problème ici. La première journée est tellement top que j’ai hâte de découvrir comment va se dérouler canlı casino la suite s’il y en a une.Comme la veille, des gens passent a tout moment. Des clients qu’il faut servir, des voisins qui nous accompagnent quelques instant à table en éclusant quelques verres de rouges et des poules qui viennent gratter quelques miettes sous la table sans se douter qu’elles mangent de la terrine faite avec leurs copines. J’ai droit a mes deux verres de rouge moi aussi et comme la veille, je rejoins ma chambre en tanguant un peu car il faut dire que je me suis discrètement resservi un troisième verre. Je me déshabille, plonge sous le drap en métis et m’endors en rêvant de Zora la Rousse qui viendrait me rejoindre dans mon lit.Je me réveille a cinq heures et quelques avec les coqs qui chantent et la ferme qui commence le travail. Je n’ose pas me pencher a la fenêtre pour vérifier si Julie distribue la nourriture au poules mais prend la direction de la table du petit-déjeuner. Le bol de café au lait apparaît devant moi bientôt suivi de deux tartines copieusement beurré. ” 101 ce matin madame. J’ai fait les plateaux dans la boutique. J’ai l’impression qu’un renard a essayer de rentrer cette nuit. Les poules sont stressés et il y avait des œufs cassés.””J’vais prévenir Gaston de jeter un œil. Et t’ira inspecter le grillage avec Ronan pour voir si y’a des trous ou des tunnels.” lui répond la fermière.Julie s’assied face a moi et se sert un bol de café. Après avoir mis deux sucre, elle mélange le tout avec un petite cuillère qu’elle fait malencontreusement tombé par terre. Je me penche immédiatement sous la table ou m’attend le même spectacle que la veille. Cette fois, ce sont deux doigts qui s’attardent dans sa fente qui me paraît bien rouge ce matin. Elle referme les jambes et je me redresse en lui tendant la cuillère ramassé au sol. Nous buvons nos café respectifs puis elle me dit de me dépêcher parce qu’on a bien cinq cent mètres de clôture a inspecter. Je siffle la fin de mon bol, le pose dans l’évier et la suit avec empressement. Alors que je franchis la porte, la fermière dit assez fort ” Soyez sage les jeunes, y’a du travail aujourd’hui. Pas le temps de s’amuser”.Je rejoins Julie en courant et lui demande si elle a entendu. ”T’inquiète, elle est comme ça la patronne mais elle dira rien du moment que le boulot est fait.” Pendant presque une heure, nous inspectons l’enclos des poules en vérifiant s’il y a la moindre trace de tentative d’entrée d’une bestiole. Alors que je viens de passer devant ; Julie m’arrête et me montre un trou dans le sol contre le grillage. ” C’est là ! Un renard a voulu creuser sous le grillage. Heureusement qu’on l’enterre profondément sinon il y aurait eu un massacre cette nuit… Allez, va chercher le patron et dis-lui de prendre des lames. Après tu me rejoindras dans le hangar des poules pour mettre de la paille.”Je cours vers la ferme et trouve Gaston allongée sous un tracteur. Après quelques explications, je le laisse et me dirige, plein d’espoir, vers le hangar des poules. Lorsque j’entre, Julie est entrain d’étaler de la paille avec une fourche qu’elle plante dans le sol lorsque j’approche. ”Allez viens” dit-elle en me prenant la main. Nous nous glissons derrière un immense tas de bottes de paille. ”T’a déjà lécher une fille ?” Je répond par la positive et elle s’allonge sur deux bottes, relève les jambes en les écartant et remonte sa jupe. Je me met immédiatement a genoux devant elle. Sa toison rousse est presque lumineuse et sa fente est rouge comme si elle était un peu irrité. Je pose les mains sur ses cuisses et me penche en avant. Elle sent un peu fort. Je passe la langue depuis le bas de son vagin jusqu’à remonté vers son nombril. Le goût confirme ce que j’avais senti. Un mélange pas très subtil de sueur, d’urine et de mouille. Je me concentre sur mes gestes et très vite, Julie me saisi la tête et me donne des indications. J’écoute et fait ce qu’elle demande. Elle se redresse et me présente son anus que je lèche en introduisant la langue aussi loin que possible mais elle me remet sur son bouton qui donne l’impression d’avoir doublé de volume. Je tourne le bout de mon doigt dans sa fente quelques instants avant d’en introduire deux qui glissent sans difficulté jusqu’au bout. Je fait comme si je grattais l’intérieur en faisant des aller retour avec ma main, je lèche, avale, mordille son clito pendant qu’elle m’appuie le visage entre ses jambes de plus en plus fort. Elle finit par m’écraser la tête entre les cuisse en tremblant et en me remplissant la bouche de son jus qui coule sur mon menton. Puis elle me repousse presque violemment. Je me retrouve le cul par-terre et la regarde. Elle a posé une main sur sa chatte et serré les cuisses. Elle couvre sa bouche avec son autre main en tremblant de tout son corps. Je me relève, baisse mon pantalon et mon slip et m’approche d’elle avec la bite fièrement dressé, prête pour l’assaut libérateur quand la porte du hangar s’ouvre. Je me rhabille précipitamment tandis que Julie se met debout en rabaissant sa jupe. Nous jetons un œil entre deux bottes de paille et apercevons un des gars de la ferme qui att**** une poule. Il fait tomber son pantalon en détachant sa ceinture et sors son sexe de son slip. Il a un bite assez longue mais pas plus épaisse qu’un pouce alors qu’il bande tout aussi fièrement que moi quelques kaçak casino secondes avant. Il crache a plusieurs reprise dans sa main libre et lubrifie son gland avant de placer la poule devant lui et de la pénétrer jusqu’à faire disparaître sa bite entière a l’intérieur du pauvre volatile qui n’avait sûrement pas prévu de vivre un tel outrage ce matin. Tenant la poule a deux mains par les ailes, il la besogne consciencieusement pendant plusieurs minutes avant de râler en jouissant dedans. Il ressort son sexe tacher de fiente et pose la poule au sol, prend un peu de paille pour s’essuyer avant de se rhabiller et de sortir. Pendant tout le temps qu’a durer cette scène improbable, Julie n’a pas lâcher mes couilles et je bande toujours. San rien dire, elle se retourne en remontant sa jupe et allonge le haut de son corps sur les bottes de pailles. Ses fesses rondes et musclés apparaissent alors dans toutes leurs splendeurs. Je sais que c’est une phrase facile mais : On en mangerai. C’est d’ailleurs ce que je fait en m’agenouillant et je replonge avec délice entre ses cuisses avec ma langue. Je me redresse et vient placer mon sexe dans l’ouverture du sien ou je m’enfonçais avec délice. Elle est si chaude, si douce, et si parfaitement ajusté autour de mon pénis que je vécus quelques unes des plus belles secondes de mon existence alors que je poussais ma bite en elle. Sa mouille était d’un blanc laiteux et coulait comme si tout les hommes de la ferme venait la remplir de sperme. Je coulissais dans le bonheur mais elle m’arrêta rapidement, glissa la main pour me saisir et vint me placer contre son petit trou qui était déjà ouvert grand comme une pièce de dix francs. ” Je veux pas att****r de bébé. Prend-moi par là !” me dit-elle.Pas besoin d’insister. Je poussais mon gland contre son anus ou il entra sans difficulté. Une contraction de Julie accompagné d’un ”Oh” sonore me bloqua un court instant avant que je ne puisse poussé plus loin mon exploration. Si j’avais eu l’impression de coulissais dans le bonheur un instant plus tôt, je mouvais maintenant dans la félicité la plus absolue. Julie avait passé sa main entre ses jambes et je la voyais se masturber tandis que je l’enculais avec vigueur en la maintenant par les fesses des deux mains. Je ne sais combien de temps cela dura avant que je ne jouisse dans son cul. La sensation était si forte que j’avais presque l’impression que mon propre anus était parti prenante de la situation. Elle me rejoins après quelques secondes et je manquais de m’évanouir tellement c’était bon et fort de sentir l’intérieur de son cul m’écrasai la bite sur toute la longueur. Je commençais a me reculer pour me retirer mais elle me dit d’attendre encore un peu dedans. Elle repris sa masturbation et comme je ne débandais pas, je me remis en mouvement dans ce trou qui m’aspirait si fort. Quand elle joui a nouveau, je continuais a l’enculer en accélérant jusqu’à sentir mon sperme jaillir en elle. Je dus m’appuyer des deux mains sur les bottes de paille pour ne pas tomber sur Julie ou par-terre. Ma bite sorti de son cul en débandant et du sperme légèrement teinté par sa merde coula le long de ses jambes. En sentant cela, elle se tourna vers un seau d’eau posé au sol et s’assit dessus pour se rincer comme sur un bidet. Puis elle me saisi la bite et, me mettant a genoux devant le seau, me rinça de la même manière. La jupe toujours relevé, elle s’accroupit en écartant les jambes et pissa bruyamment dans la paille. Je regardais le jet jaillir de son méat et mouillait la paille en faisant une petite rivière pendant que je remontai mon slip et mon pantalon. Quand elle se releva, elle ressorti mon sexe de sa cachette et dirigea mon gland vers le sol qu’elle venait de compissé en me disant d’uriner a mon tour, que les gars avait toujours envie de pisser après une bonne baise. C’était vrai et je me laissais aller tandis qu’elle jouait a diriger mon jet en faisant des dessins au sol. Elle me secoua les dernières gouttes avant de me faire un bisou sur le gland, de remettre mon sexe dans mon slip et de remontais ma fermeture éclair. Puis, elle déposa un autre baiser sur ma joue et me dit ” On se revoit ce soir ou demain de toute façon. Par contre tu dis rien sinon je vais encore me faire grondé par la patronne.” Je la regardais sortir du hangar avec un sourire certainement plus grand que mon visage. Quelques instant plus tard, je retournais dans la cuisine et me resservi un bol de café au lait en expliquant a la fermière que nous avions trouvé le trou mais que c’était bon maintenant. En disant cela, je souriais comme un idiot et elle s’en rendis clairement compte car elle s’approcha de moi avec un drôle d’air. ”Lève-toi !” s’exclama-t-elle.J’obéis instantanément et ne réagis même pas tandis qu’elle ouvrais ma braguette, glissais la main dans mon slip pour en extraire mon sexe et se penchais en avant pour me sentir le gland avec force bruit de reniflement. Puis elle retourna vers ses fourneaux en me laissant la bite a l’air et en me disant ” J’me disais bien… Tu f’ra attention de pas lui coller un chiard et de pas l’empêcher de travailler correctement sinon j’te renvoie direct en placement.” J’étais comme un con debout devant la table avec mon engin qui pendait mollement devant mon bol de café et elle ajouta ” Et range-moi ça, j’voudrais pas que quelqu’un entre et s’imagine que t’essaie de m’impressionner avec ton machin. Et tu devrais aller te rincer avec du savon dans ta chambre sinon tu va sentir le bouc avant ce soir”.Je rangeais donc mon ”machin” et sorti de la cuisine pour aller me laver comme elle venait de me le dire.

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