Mon service dans le XVIème – Chapitre 1

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Mon service dans le XVIème – Chapitre 1J’ai répondu à l’annonce d’un couple parisien, trouvée sur un site web libertin, qui recherchait un employé de maison “homme/femme” à temps plein.Agent administratif au chômage depuis quelques semaines, je passai la majorité de mon temps chez moi, habillé de mes tenues féminines préférées, bien que je sois né garçon il y a environ 30 ans…La mention “homme/femme” dans l’annonce m’a intrigué. Aussi, excité par la curiosité, (mais n’étant pas particulièrement expérimenté dans le “service à domicile”), j’ai postulé à cette annonce.J’ai été reçu dans un quartier cossu du XVIème arrondissement de Paris, par Monsieur et Madame (la cinquantaine – très bonne éducation) qui avaient convoqué les candidats et les candidates retenus.Le profil recherché était assez classique, ménage, cuisine, repassage, pas de courses (livrées à domicile) sauf sur un point : Monsieur et Madame acceptaient de retenir un candidat “homme” si celui-ci acceptait de féminiser son apparence et sa démarche pour chaque prise de service. Ce couple raffiné, qui aimait l’ambiguïté des genres et l’érotisme, cherchait un transgenre débutant.Mon physique assez androgyne, ma double identité de genre et mon célibat faisait de moi un bon candidat.Un peu étonné tout de même du profil du poste, je me laissai tenter par l’expérience troublante de devenir employée de maison (en préservant ma vie publique de garçon).J’ai été retenu. On m’a demandé mes mensurations et ma pointure, Madame m’expliquant qu’elle fournirait les tenues (y compris bas et collants mais je devais porter mes sous-vêtements personnels).Je vous propose donc de partager au fil des jours, ce qui est aujourd’hui mon quotidien.PERIODE D’ESSAIJ’arrive au 3ème étage de l’immeuble à 8 heures pour prendre mon service, très excité par cette aventure plutôt faite pour durer.Vivre pleinement deux identités au quotidien, sans avoir à affronter le regard de la société est un privilège que j’avais bien l’intention d’apprécier.C’est Madame qui m’ouvre et m’accueille dans le couloir. Elle est aimable, comme lors de l’entretien d’embauche, très élégante et a beaucoup de classe. Elle m’indique une petite chambre d’amis où je peux me changer.Là, dans une armoire prévue à cet effet, je trouve bien rangées, mes tenues de travail achetées par Madame. Jupes, chemisiers, tabliers, petites robes noires, combinaisons, chaussures, bas et collants.– “Choisissez ce que vous voulez porter aujourd’hui, je vous attends dans le salon, préparez-vous”.Il n’y a pas de temps à perdre, c’est mon premier jour.Je me défais de ma tenue masculine que je pose soigneusement sur la chaise, et ne garde que la culotte et le petit soutien-gorge blanc en lycra incrusté de dentelle que j’ai mis ce matin avant de partir. Mes seins ne sont pas très développés, mais j’aime les habiller de lingerie.J’enfile une paire de collants clairs, une combinaison, un chemisier blanc et une jupe noire qui m’arrive aux genoux.Il y a deux paires de chaussures ; je choisis les noires à petits talons avec une lanière dessus, me recoiffe et complète ma tenue avec un tablier de coton blanc.Je me trouve plutôt mignonne devant le miroir et me dis que j’ai de la chance d’avoir trouvé ce job hors du commun.Mais, pas canlı bahis de temps à perdre, mes patrons attendent…Je me présente dans le salon où m’attendent Monsieur et Madame et leur annonce que je suis prête.Après m’avoir conscieusement observée, Madame me dit que ma tenue lui convient et que le choix des tailles est visiblement le bon.Monsieur acquiesce avec satisfaction avant de partir à son bureau dans le quartier voisin.– “Vous allez commencer par faire le lit, puis après vous être occupée du linge et de la poussière, vous préparerez le déjeuner.– Le menu est sur le tableau de la cuisine et les courses me seront livrées à 11 heuresComme une bonne employée de maison, docile et serviable, je demande la direction de la chambre afin d’accomplir mon devoir.C’est un appartement spacieux et arrangé avec beaucoup de goût (plutôt classique) : Parquets, meubles XVIIIème, tentures, dorures.Les fenêtres donnent sur un jardin public arboré d’un côté et sur un grand boulevard de l’autre.En faisant le lit, je croise mon image dans le miroir de la chambre et suis toute troublée…Me voir ainsi, si féminine, occupée à remplir mon service, me procure une sensation de bien-être très agréable d’être enfin soi-même.Je prends 2 minutes pour me regarder, de face, de profil ; Cette tenue toute simple et fonctionnelle me va bien. Le chemisier n’est pas trop transparent, la jupe est bien taillée, mes chaussures ne me font pas mal. J’aime bien la couleur et la sensation des collants sur ma peau épilée de près.Bon, ce n’est pas le tout, je dois m’occuper de la lessive.Discrètement, Madame jette un œil dans la chambre que je viens de finir : visiblement, le résultat lui convient.La lingerie est bien équipée. Je passe dans la salle de bains prendre le linge à laver, que Madame et Monsieur ont laissé.Les vêtements sont de qualité et la lingerie de grande marque.Je constate que Madame porte des culottes un peu montantes très raffinées, qui maintiennent certainement bien tout en restant élégante.Le soutien-gorge couleur “ivoire” que je mets dans la machine est assorti à la culotte portée la veille.En mettant le linge à laver dans la machine, la douce odeur qui se dégage de la culotte de Madame provoque en moi une bouffée de chaleur, mais attention, ce n’est pas le moment d’être surprise avec le sous-vêtement trop près de mon visage…La lessive est en route, je peux m’occuper de la poussière.Madame lit dans le salon pendant que je passe le chiffon sur les meubles et les objets.Elle est installée dans un fauteuil, les jambes croisées, et porte aujourd’hui une robe en lin beige, un collier et des chaussures à petits talons.J’ai le sentiment d’être sous “discrète surveillance”. C’est normal : c’est ma première journée de travail chez Madame et Monsieur.Je m’applique en faisant attention de ne rien renverser. Madame semble satisfaite de mon travail. Je me demande ce qu’elle ressent lorsqu’elle me voit travailler ainsi vêtue à son service ? Elle réalise sûrement une partie d’un fantasme ? Ou celui de son mari ?Serai-je un jour convoitée par elle comme les hommes convoitent un jour ou l’autre leur employée de maison ?Pour le moment, elle ne laisse rien paraître.Je suis en période d’essai pour 2 semaines, le but pour moi est de rester bahis siteleri dans cette maison qui me plaît bien.Les jours passent et je commence à me faire à cette nouvelle vie.Chaque matin, j’arrive naturellement en garçon chez mes employeurs et travaille à leur service en fille la journée. Le soir, je remets mes habits masculins et retrouve mon identité, mes amis, ma famille. A ceux qui m’interrogent sur mon nouveau job, je leur réponds presque la vérité : Je suis entré au service d’un couple dans le XVIème arrondissement de Paris.Ce que je ne leur dit pas, c’est que je travaille habillé en femme, 8 heures par jour (pour mon plus grand plaisir).Pour le moment, mes relations avec Madame et Monsieur ont été uniquement professionnelles.Mes seules émotions sont liées à la vue et au parfum quotidien des dessous de Madame, que je lave avec précaution et de ceux que je range parmi les sous-vêtements en soie, satin et dentelles sur les étagères.CONFIRMATIONMa période d’essai s’est bien passée, Madame m’a dit ce soir qu’elle me gardait à son service. J’en suis ravie et la remercie poliment.Elle m’a demandé si j’acceptais de travailler de temps en temps le soir, pour le dîner.Les bonnes conditions de travail, l’assouvissement de ma double-identité et le salaire correct me motivent pour répondre favorablement.– “C’est parfait” répondit-elle, “prévoyez de rester mardi soir, vous préparerez le repas et assurerez le service.Mardi, après avoir commencé un peu plus tard que d’habitude, je restai donc après 18 heures pour mon service.Monsieur rentre vers 20 heures, le dîner et la table sont prêts, je vais dans la petite chambre afin de m’apprêter un peu.Je porte une de mes tenues habituelles et me suis laissé un peu pousser les cheveux ces dernières semaines ; cela entretient mon côté féminin…Madame m’appelle de sa chambre :– “Venez m’aider à fermer cette robe s’il vous plaît ! »C’est la première fois depuis que je suis à son service, qu’elle m’autorise à l’approcher de si près.Elle est devant son miroir et a passé une robe noire très « classe » qui dévoile ses épaules. Ses jambes sont gainées de nylon et elle porte des escarpins à talons hauts.La vue est troublante : Madame est face au miroir et la fermeture éclair de sa robe descendue jusqu’au bas du dos.La vision de sa peau ainsi dévoilée est d’un érotisme suggéré… Le fait-elle volontairement ?Le haut d’un porte jarretelle en dentelle noire apparait, bien visible, remontant bien sur les hanches. J’en déduis que ce sont donc des bas que Madame porte ce soir.Je referme délicatement la fermeture éclair et m’autorise un compliment :– “Madame est très élégante”– “Merci » me répondit-elle « j’espère que Monsieur appréciera”,– “j’espère également Madame”.1ère SOIRÉEMonsieur arrive à 20 heures comme prévu, et passe à table avec Madame.Monsieur a remarqué que Madame a passé une de ses plus belles robes.– “Hum, tu es superbe, tu as quelque chose de particulier à négocier ce soir ? lui dit-il.– “Non, c’est simplement que j’avais envie de me faire belle pour toi”Je commence mon service pendant que mes employeurs parlent de leur journée.Je m’efforce d’être une employée modèle.– “Depuis combien de temps êtes-vous à notre service maintenant” ? me demande Monsieur.– “Un bahis şirketleri mois” répondis-je.– “Et elle nous donne entière satisfaction” dit Madame.– “C’est bien. Je suis très satisfait que vous ayez accepté de rester à notre service dans les conditions particulières que nous avions fixées” dit Monsieur.– “J’en suis également ravie” lui dis-je, “je souhaite que mon service continue de vous apporter la plus grande satisfaction”.– “Nous le souhaitons également” dit Madame “et nous allons vérifier ce soir si vous pouvez peut-être nous satisfaire davantage…”Sans comprendre le sens de cette réponse, je poursuis mon service. Pendant que je sers ou désers, Monsieur effleure discrètement mes jambes avec ses mains.C’est la première fois qu’il s’autorise un tel geste. Je ne dis rien et Madame ne semble ne rien voir.Je dois avouer que cela est plutôt coquin de se laisser approcher par son patron comme une jeune fille.Je ne proteste pas et prends mon temps lorsque je passe près de lui.Au moment de servir le dessert, je sens sa main droite monter discrètement sous ma jupe le long de mes jambes et caresser le nylon des collants.Cela ne dure qu’un instant mais a l’effet de faire légèrement gonfler le tissu de ma culotte. Je cache en effet, comme vous vous en doutez, sous mes dessous un “clito” plutôt sensible aux caresses.Madame et Monsieur me demandent alors de servir le café au salon.Installés face à face dans de confortables fauteuils, Madame et Monsieur savourent leur café.– “J’ai fini mon service, puis-je m’en aller ou avez-vous encore besoin de moi” ?– “Restez encore”, me dit Madame, “nous avons besoin de vous. Surtout Monsieur”– “Bien Madame”, “Que puis-je faire pour Monsieur” ? “– Je pense qu’il est temps de passer à la deuxième phase de votre service chez-nous” dit Madame.– “Accepteriez-vous d’entrer dans une forme de service plus “intime” ?– “Qu’entendez-vous par “intime” demandai-je ?– “Nous aimerions, de temps à autre, que vous acceptiez, sans contrainte, de satisfaire nos envies charnelles, sensuelles. Voyez-vous de quoi je veux parler ?”– “J’imagine, Madame”J’attendais qu’un jour ou l’autre cette question, abrupte, mais posée avec distinction, me soit posée. On ne recrute pas un jeune homme, qui accepte de travailler en fille toute la semaine, seulement pour les tâches ménagères.– “Alors, qu’en pensez-vous ?” me dit Monsieur.Excitée par l’expérience que cela représente, je répondis :– “Je crois que je vais accepter”– “A la bonne heure !” répondit Madame. “Nous savions que nous avions fait le bon choix en vous recrutant. Voulez-vous commencer maintenant ?”– “Pourquoi-pas, que dois-je faire Madame ?”– “Monsieur a eu une journée chargée et il a besoin de se détendre. Je vais vous apprendre à le faire. Je sais ce qu’il aime…– Venez par ici” dit-elle en se levant et en se dirigeant vers le fauteuil de son mari. Asseyez-vous sur l’accoudoir de son fauteuil, je me tiendrai près de vous de l’autre côté”Je m’asseyai donc sur l’accoudoir, à gauche de Monsieur, pendant que Madame s’asseyait à sa droite.– “Maintenant, observez-bien ce que je fais”. Madame commença à poser délicatement sa main sur l’entrejambe de son mari, lui prodiguant de savantes caresses de ses doigts fins.– “Regardez-bien, je le masse doucement dans le but de le détendre et en-même temps, de réveiller les sens de Monsieur”J’observai et constatai que Madame a de l’expérience. Son mari semble apprécier.“Bien, à vous maintenant” me dit-elle.Isabelle DE CHEVERNY

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