Ma femme Nadia et le plombier

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Babes

Ma femme Nadia et le plombierMa femme Nadia devenait de plus en plus chaude et aussi de plus en plus sexy, je me doutais qu’elle fréquente un homme.J’ai pris ma journée et étais parti comme si je travaillais, mais je surveillais la maison, bien décidé à en savoir plus.Il était 10H, je commençais à me demander ce que je faisais là quand je vis s’arrêter une voiture, c’était notre plombier qui entretient notre chaudière. Il n’était pas en camionnette mais avec une berline, de plus il n’était pas en tenue de travail et il ne venait pas pour ramoner la chaudière, celle-ci étant faite depuis moins d’un mois.Il sonna à la porte, je vis ma femme Nadia l’ouvrir, je ne l’aperçus que brièvement, elle semblait être encore en nuisette à cette heure tardive, elle le fit entrer sans discuter et referma la porte. Je compris qu’il devait plutôt venir pour ramoner ma femme et pour ça, il n’avait pas besoin de sa salopette.J’étais stupéfait, cette salope se tapait le plombier et ma colère montait. Que ce soit le plombier ou un autre, je m’en foutais, mais je constatais de mes yeux ce que je redoutais, cette fois-ci, j’en étais sûr : cette salope me fait cocu !Fou de rage, je m’approchais de la maison mais, devant la porte, je n’osais pas rentre chez moi et fis le tour coté jardin, je passais devant la fenêtre de la cuisine, elle était vide, je m’approchais discrètement de la fenêtre du salon. Mon cœur battait, qu’allais-je découvrir ?Nadia, perchée sur de hauts talons, ne portait que des bas et une porte jarretelle, elle se tenait au dossier du canapé, le type la tenait par la croupe et la défonçait comme un dingue. Elle semblait aimer ça la salope, elle beuglait très fort sous les coups du type, je pouvais l’entendre à travers la vitre. Je regardais en voyeur ma femme se faire ramoner la chatte par notre plombier. Bizarrement, ma colère était passée et je regardais ça comme un pervers bahis firmaları qui regarderait n’importe quel couple en copulation. Pire encore, j’avais une érection, j’étais très excité de voir ma femme se faire prendre comme une pute devant mon nez. Nadia tremblait de tout son corps, elle semblait jouir, et lui aussi, il devait décharger sa semence dans le ventre de ma femme. Quand il se retira, je vis le sperme couler entre les cuisses de ma femme, je compris qu’il l’avait prise sans protection.Je m’éclipsais sans bruit, comme un con, le sexe raide que je cachais avec ma veste. Je repartis à la voiture que j’avais louée pour plus de discrétion, les images que je venais de voir restaient dans ma tête.Je n’en revenais pas de ce que je venais de voir, ma femme était bien la salope que j’avais imaginée. Mais j’étais encore plus étonné par ma réaction, quand j’ai vu ce type entrer chez moi, je voulais aller lui casser la gueule. Puis plus rien, quand j’ai vu le plaisir de ma femme, une excitation incroyable s’est produite, je prenais du plaisir à travers elle.Je ne restais que quelques minutes dans la voiture, ne sachant plus quoi faire, le type ne ressortait pas et je décidais de retourner faire le voyeur.Cette fois-ci, je rentrais par la petite porte du garage, puis celle qui communique avec la cuisine. Je les entendais, le mec disait « Oui, oui vas-y, c’est bon, tu aimes cela petite salope ! ». Sans bruit, je m’approchais du couloir et dans l’entrebâillement de la porte de la cuisine, je vis ma femme à genoux qui suçait avec voracité l’homme qui la tenait par les cheveux. Elle qui ne voulait pas pratiquer des fellations avec moi suçait un autre avec gourmandise et semblait aimer cela. Je ne pouvais pas imaginer que ma femme puisse sucer un autre et une fois de plus, je bandais en la regardant. L’homme lui parlait crûment, il la traitait de petite pute, de belle kaçak iddaa salope, Nadia acceptait ces mots sans répliquer. Il lui dit : « Cela suffit, lève-toi salope ! ». Elle obéissait à ce type, il semblait la dominer, elle acceptait cette autorité sans broncher. Elle s’était relevée comme il lui avait demandé, il l’attrapa par les fesses et la plaquant contre lui, il lui dit : « Tu sais ce que je veux maintenant ? ». Ma femme semblait comprendre, elle fit un signe de la tête pour dire oui. L’homme lui pinça un sein et dit : « Dis-moi ce que je veux entendre ! ». Nadia dit d’une faible voix : « Tu veux mon petit cul ! ». Il pinçait plus fort son sein en tournant, et dit : « Quel petit cul ? ». Elle poussa un petit cri sous la douleur et lui dit d’une voix implorante : « Tu veux mon petit cul de pute ! ». Elle semblait connaître sa leçon, elle lui dit : « Tu aimes les petites putes, les petites putes mariées comme moi ? ». « Oui, je les aime toutes ces putes qui ne demandent qu’à se faire baiser comme toi ma salope ! ». Nadia lui dit : « Tu en as beaucoup baisé ? ». « Oui, lui dit-il, mais tu es de loin la meilleure ! ». Nadia, ravie du compliment, sourit et dit : « Mon mari a de la chance alors, il a la meilleure femme du village ! ». « Ah cela c’est sûr qu’il a la meilleure, mais il doit aussi avoir les plus belles cornes du village! ». « Salop, lui dit-elle, tu crois que tout le monde me baise ? ».Le plombier rigola et lui dit « Ho ! Je n’ai pas eu beaucoup de difficulté pour te baiser la première fois que je suis venu. Quand tu m’as accueillie avec ta petite jupe et que tu m’as proposé un café avant de me montrer la chaudière. J’ai compris que tu voulais un petit coup de goupillon toi aussi ». Il l’attrapa avec force et la retourna contre le dos du canapé : « Allez salope, donne-moi ce petit cul de pute ! ». Nadia faisait semblant de ne pas vouloir, elle opposait kaçak bahis une fausse résistance et le plombier lui planta son dard dans sa petite entrée de l’arrière. Elle criait, mais le puissant zob rentrait doucement comme un vérin dans la matrice. Il la limait un bon moment, elle finit par aimer cela, il jouit dans ses entrailles, en la traitant de putain.Moi qui n’avais jamais osé forcer le petit cul de ma femme de peur de lui faire mal, je venais d’assister en direct à sa sodomie par un autre. Il l’avait enculée sans ménagement et ma petite femme chérie avait reçu les coups de piston avec courage, ses larmes avaient coulé, mais elle n’avait pas fléchi devant la brutalité de l’homme. Je m’étais réfugié comme un lâche dans le garage, partagé entre la haine pour ce type et ce qu’il venait de faire subir à ma femme. Malgré qu’elle fût consentante et qu’elle se comportait comme une pute, elle était ma femme, je l’estimais et l’aimais comme un fou. La jalousie et le plaisir se mélangeaient et ce cocktail explosif me faisait bander comme un âne. Je ne tenais plus, j’avais envie d’elle, je regardais par le trou de la serrure. Ils étaient dans la cuisine, Nadia lui servait une de mes bières, à poil avec ses bas, il la prit par la main et la fit asseoir sur ses genoux. Pendant qu’il sirotait ma bière et pelotait ma femme dans ma cuisine, je me branlais comme un con, admirant ma créature volage. Le soir, quand je rentrais, Nadia, toute pimpante, m’attendait comme une gentille épouse. Je la trouvais belle, détendue, agréable, l’épouse idéale. Elle était vêtue d’une petite jupe courte et je bandais rien qu’en la regardant. J’embrassai cette bouche gourmande qui avait sucé un homme, elle ne me dégoûtait pas, bien au contraire. Je lui dis : « Je suis passé par le garage et je pense que la chaudière a un problème. Tu ferais bien d’appeler le plombier, il n’a pas du bien la ramoner ». Je ne la quittais pas des yeux, elle faisait l’indifférente, mais je vis qu’elle était gênée. Je rajoutais : « Mais fais attention, si tu as cette petite jupe, le plombier risque de vouloir te ramoner toi aussi ». FIN

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