L’enseignante, Ma Chienne Ch. 04

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L’enseignante, Ma Chienne Ch. 04Traduction d’un récit de Erlikkhan.Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n’aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.**********Karen est furieuse. Carl n’a pas seulement baisé sa fille, il l’a transformée en esclave sexuelle. Elle prend un couteau et se dirige vers la porte. Elle n’a aucune idée de ce qu’elle va faire. Elle est tellement en colère qu’elle ne peut penser correctement. Et sa colère est décuplée quand elle voit pendre la culotte de Katie au doigt de Carl. Elle s’avance vers lui.Tout se passe si vite que Karen n’a pas le temps de réagir. Carl lui tord le bras dans le dos la débarrasse du couteau. Puis il claque son visage contre le capot de la voiture. Il tire son autre main derrière son dos et attache les deux avec sa ceinture.- Est-ce le moyen de remercier quelqu’un qui a montré ce qu’est la vie à votre fille ? Vous devriez me remercier Mme O’KEEFE. Je crois que Katie n’a jamais été aussi bien baisée et je suis sûr qu’elle n’a jamais eu de bite dans son cul avant ce soir.Carl tire sa tête en arrière par les cheveux. Il frotte la culotte tâchée de sperme sur le visage de sa professeure puis il la fourre dans sa bouche. Avec le couteau, il coupe son petit haut en coton et il l’attache autour de sa bouche pour maintenir la culotte en place. Karen se débat mais elle n’arrive pas à se dégager et elle ne peut pas demander de l’aide.- Vous pouvez goûter le jus de chatte de votre fille mélangé avec mon sperme. Katie est une vraie femme fontaine, tout comme sa mère.Karen cesse de se débattre pour pouvoir contrôler sa respiration par le nez. Le goût fort du sperme et du jus féminin emplit sa bouche, confirmant ce que Carl lui dit. Puis elle sent que son short est coupé par le couteau. Il va la baiser dans son allée et il n’y a rien qu’elle puisse faire pour l’arrêter.Un fois qu’il a complètement retiré le short de sa victime, Carl arrache sa culotte. Il fourre deux doigts dans la chatte chaude et déjà juteuse et il les remue. Puis il pousse son pouce dans le trou du cul.- Mme O’KEEFE, vous êtes une femme très vilaine. Vous êtes venu ici pour que je vous baise. Sinon pourquoi votre chatte coulerait-elle comme une chienne en chaleur ?Elle sait qu’il a raison. La plus grande partie de sa colère n’est pas de la faute de Katie. Mais c’est plutôt sa chatte qui veut la queue de son élève et elle y a pensé toute la nuit. Les doigts du garçon quittent son corps et elle sent le gros gland à l’entrée de son sexe. Il pousse et remplit rapidement le gros vide dans son ventre. Elle voudrait le haïr mais c’est peine perdue. Elle veut sa bite, elle veut être baisée.Carl coupe son soutien-gorge avec le couteau et saisit ses seins. Sa queue martèle brutalement sa chatte. Le jeune homme sait qu’elle aime ça car elle incline son cul pour qu’il la pénètre plus profondément. Il pince les tétons, les tire de plus en plus jusqu’à ce qu’elle ressente de la douleur. Karen laisse échapper un gémissement étouffé à travers la culotte dans sa bouche.Karen est en feu. Elle se plaque contre sa queue à chaque fois qu’il l’enfonce en elle. Elle veut cette bite au plus profond de sa chatte. Quand il tire et pince ses mamelons, ça agit comme un aphrodisiaque. La pression dans son ventre est insupportable. Karen sait qu’elle va bientôt avoir un orgasme.Carl sent le corps de sa professeure se tendre. Il pousse son membre profondément dans la chatte humide et chaude. D’une main il tire sa tête en arrière et de l’autre il pince un des mamelons. Du jus de la chatte de Karen coule sur sa bite et ses couilles. Mme O’KEEFE gémit et halète avec la culotte dans sa bouche. Carl continue de marteler sa chatte. Il tire sur l’autre téton. Un autre orgasme déchire le corps de la femme.Carl remarque un mouvement du rideau au premier étage. Katie est debout derrière sa fenêtre. Elle sait que rien ne va. Elle sait qu’elle devrait réveiller son père ou appeler la police, mais elle est figée sur place. Elle s’aperçoit que Carl la regarde et qu’il sait qu’elle le voit baiser sa mère. Elle sait comment doit se sentir sa maman avec la bite du garçon dans sa chatte. Elle voudrait ressentir la même chose. Elle porte une main sur un de ses tétons et une autre entre ses jambes.Carl sort sa queue de la chatte de sa professeure dont le corps tremble encore sous l’orgasme. Il presse son gland contre le trou de cul. Karen se raidit quand il s’enfonce dans son anus d’un coup dur. Trois coups plus tard, il est complétement enterré dans le cul de sa victime. Carl saisit ses hanches et commence à pilonner sans relâche le petit trou serré.Karen grimace sous la douleur. Le garçon n’a rien fait pour la préparer à cette sodomie brutale. Elle se débat, mais avec ses mains attachées derrière son dos, elle ne peut rien faire alors que la bite déchire son cul encore et encore. Des larmes coulent sur ses joues. La douleur commence à se calmer.Dans sa chambre, Katie glisse une main derrière elle et entre ses fesses. Bientôt son doigt trouve son trou du cul encore endolori. Elle le masse tout autour puis elle enfonce la pointe de son doigt dans l’ouverture. Lentement, tout son doigt trouve son chemin dans le tunnel sombre. Son autre main est sur sa chatte. Carl est toujours en train de la regarder.- Vous avez un cul serré Mme O’KEEFE. Tout comme Katie. Elle n’a pas aimé au début non plus, mais ensuite elle a joui si fort que sa chatte a éclaboussé partout.Karen se sent sale et humiliée d’être sodomisée. Et c’est désagréable de se faire baiser par la même queue qui était dans le cul de sa fille plus tôt dans la nuit. Alors qu’elle réfléchit, elle sent qu’elle se détend et que sa chatte commence à couler.Carl continue avec méthode d’enculer sa professeure. Puis il accélère. Il tire le bâillon dans la bouche et le resserre. Il lève les yeux vers Katie alors qu’il sert fort et lève la tête de Karen. Katie regarde sa mère avec la culotte imbibée de sperme dans sa bouche. Elle est excitée de savoir que sa mère peut goûter le jus de sa chatte avec le foutre du garçon.Karen est soulevée du capot de la voiture par le cou. Carl la sodomise debout. Il soulève le couteau et pose le bout pointu sur les mamelons durs. Karen sent des soubresauts de plaisir et de douleur traverser son corps. Carl pique la peau aux points sensibles tout en faisant attention de ne pas l’égratigner. Il voit que Katie regarde attentivement.- Je pense que vous êtes sur le point de jouir Mme O’KEEFE. Peut-être devrais-je titiller votre clitoris ?Karen sent la lame froide descendre sur son ventre. Carl pousse la poignée du couteau dans sa chatte. Elle est si proche de l’orgasme. Elle veut désespérément en finir. Quand il ressort le couteau et pique son clito avec la pointe, elle explose. Ses jambes deviennent toutes molles. Du jus gicle de sa chatte et dégouline sur la lame du couteau. Elle veut crier mais le garçon l’étrangle trop fort pour qu’un bruit puisse s’échapper.Katie ramasse ces ciseaux à ongles sur sa table de chevet et passe le bout pointu sur ses mamelons durs, tout en regardant le spectacle dans l’allée. Elle a maintenant deux doigts dans son cul. Son corps la brule tandis qu’elle regarde ce que fait Carl à sa mère. Elle déplace le bout des ciseaux jusqu’à son nevşehir escort bayan clitoris. Elle regarde sa mère jouir. Quelques instants plus tard elle halète. Son jus intime coule de sa chatte sur ses cuisses.Carl tire sa professeure et la force à s’agenouiller. Il att**** ses cheveux et fourre sa queue entre ses lèvres. Son gland se presse dans la gorge. Il maintient la tête de la femme et continue à pousser jusqu’à ce qu’il voie sa bite pénétrer plus profondément. Finalement ses couilles tapent le menton de Karen. Sa queue est bien au fond de sa gorge.Karen ne peut pas respirer et elle est impuissante à faire quoi que ce soit avec les mains attachées dans le dos. Elle étouffe sur la bite et lutte désespérément pour trouver de l’air. Finalement le garçon se retire. Puis il remet sa queue et baise son visage rapidement et brutalement, enfonçant parfois son membre tout au fond et le tenant là quelques secondes. De la bave coule des lèvres et mouille les couilles.Carl coupe le bout de son doigt avec le couteau et laisse goutter le sang sur sa bite alors qu’elle entre et sort de la bouche de sa professeure. Le goût du sang est stimulant. Karen ressent des picotements dans sa chatte. Elle veut toucher son clitoris mais ses mains sont toujours attachées dans son dos. Le sang coule sur ses lèvres et dans sa bouche. Soudain son corps se tend et sa chatte se contracte. Du jus recommence à couler sur sa cuisse.Katie regarde par la fenêtre. Elle suce deux doigts tour en se masturbant. Elle a coupé l’un de ses doigts avec les ciseaux et elle suce son sang. Elle voudrait que la bite de Carl soit dans sa bouche, elle voudrait que Carl lui fasse ce qu’il fait à sa mère. Elle frotte sa gorge pour se souvenir quand le garçon avait forcé sa bite dedans.Carl retire sa queue de la bouche de Karen et la pointe sur son visage. Il lève les yeux vers Katie. Karen sent la première giclée sur ses lèvres et son nez, la suivante sur un œil et la joue. Puis le sperme chaud éclabousse son front. Quand son élève a fini, elle a le visage qui dégouline de foutre. Carl remonte dans sa voiture et la laisse, agenouillée dans l’allée, les mains attachées dans le dos.- Merci d’être venue me voir Mme O’KEEFE. C’est bien qu’une mère s’intéresse aux affaires de sa fille. Je vous reverrai bientôt toutes les deux.Carl fixait Katie quand il a éjaculé sur le visage de sa mère. La jeune fille a eu un autre orgasme. Elle regarde le garçon partir en laissant sa maman sur les genoux dans l’allée avec de gros traits de sperme dégoulinant sur son menton. Karen essaie de se lever mais elle tombe. Après s’être débattue pendant plusieurs minutes, elle arrive à libérer ses mains.Elle ramasse lentement ses vêtements déchiquetés et se dirige, nue, vers la porte de la maison. Ses genoux ont été égratignés sur le gravier de l’allée et sa gorge est douloureuse de ce que lui a imposé Carl. Mais malgré tout, son corps est satisfait. Elle était sortie pour se faire baiser. Le couteau n’était qu’une excuse.Katie se glisse sous ses draps tout en réalisant que plus rien ne serait pareil. En une nuit, son monde a été bouleversé. Elle est devenue une esclave sexuelle d’un garçon qu’elle connait à peine. Elle s’est masturbée en regardant ce même garçon baiser sa mère sauvagement et lui provoquer orgasme sur orgasme comme il avait fait pour elle. Katie est à la fois effrayée et excitée par l’avenir.******Le jour suivant, Karen a une discussion sérieuse avec sa fille. Katie lui raconte tout ce que Carl lui a fait et pleure sur son épaule. Karen est surprise de la facilité avec laquelle sa fille accepte de rester loin du garçon à l’avenir.Katie écoute sa mère et, pour certaines choses, est d’accord avec elle. Ses pleurs sont authentiques. Elle est effrayée. Mais maintenant qu’elle sait que sa mère est une pute, ça n’a plus d’importance. Elle acquiesce pour tout. Elle accepte de rester loin de Carl, mais elle n’a nullement l’intention de tenir sa promesse.Après cette conversation entre mère et fille, Karen est partie voir Carl chez lui. Elle attend que les parents du garçon partent pour frapper à la porte. Il ouvre, elle entre et lui fait une proposition. S’il reste loin de Katie il pourra l’avoir quand il le voudra et comme il le voudra. Pour lui prouver sa résolution, elle ouvre son chemisier pour lui montrer ses seins.En réalité Karen est excitée de lui faire cette offre. Bien sûr, elle veut garder Carl loin de Katie, mais elle est surtout venue pour se faire baiser. Carl est amusé et se montre hautain. Il n’a pas l’intention de laisser Katie, mais il décide de s’amuser un peu avec Mme O’KEEFE.- C’est très généreux de votre part Mme O’KEEFE. Nous pourrions commencer… Je pense que j’aimerai… Voyons… De cette façon !Carl att**** le bras de la femme et la plaque le visage contre le mur. Il lui tord le bras jusqu’à ce qu’elle grimace de douleur. Il passe une main sous la jupe et arrache sa culotte. Quelques instants plus tard, il sort sa bite bien raide de son pantalon et l’enfile dans sa chatte. Il pousse violemment.Karen sent la grosse bite pénétrer profondément en elle. Il n’a pas besoin de la prendre ainsi, mais elle est contente qu’il l’ait fait. Elle aime être bousculée. Son bras est douloureux alors qu’il le tord encore plus haut dans son dos. Elle recule son cul pour mieux sentir sa queue et essayer de faire en sorte qu’elle s’enfonce plus profondément en elle. L’autre main du garçon pince et tire un de ses mamelons si fort que la douleur traverse sa tête. Quelques secondes plus tard elle jouit.Carl la jette à terre, att**** ses cheveux et fourre sa bite dans sa gorge. Il baise sa bouche sans relâche. Elle peut à peine réagir. De la bave coule sur la queue, son menton et ses seins. Sa tête est inclinée dans son dos alors qu’il fourre sa queue dans sa gorge. Elle étouffe à chaque fois qu’il est au fond de sa gorge.Carl peut bientôt sentit qu’il va éjaculer. Il se retire de sa bouche et se masturbe. La première giclée de sperme tombe sur le front et les yeux de Karen, la deuxième remplit sa bouche et couvre ses lèvres. Et avant qu’il finisse, il avait aussi souillé ses cheveux et le reste de son visage. Puis il remet sa bite au fonde de sa gorge pour ne pas perdre les dernières gouttes.- Ne bougez pas Mme O’KEEFE ! Et ne vous nettoyez pas !Carl tend la main et prend un appareil photo numérique sur le guéridon du couloir. Il commence à prendre des photos. Karen ne sait pas pourquoi elle le laisse faire. C’est humiliant. Il pourra utiliser les photos pour la compromettre. Et pourtant…c’est excitant, exaltant bien que désagréable et dégradant.Carl lui fait sucer sa bite avec du sperme dégoulinant encore sur son visage. Il prend une photo. Il la fait mettre à quatre pattes, le cul bien en l’air, la tête regardant en arrière et prend de nombreuses photos d’elle, de sa chatte et de son cul. Il lui demande de mettre un doigt entier dans son trou du cul et fait une photo. Il enfourne sa bite dans sa chatte puis dans son cul et il continue à faire des photos.Enfin il pose l’appareil sur la table et il le met en mode automatique, une photo toutes les cinq secondes. Il att**** une chaise et s’assied dessus. Il fait s’assoir la professeure lentement sur sa queue tout en fixant la caméra. Il guide sa queue dans le trou du cul. Il lui ordonne de frotter son clitoris et de escort nevşehir doigter sa chatte tout en le chevauchant. Il tend les mains et pince les tétons, les tordant jusqu’à ce qu’elle jappe. L’appareil photo continue d’enregistrer des images.Karen ne peut se retenir. Elle frotte son clitoris de plus en plus vite jusqu’au moment où sa chatte gicle sous un orgasme. Quelques secondes plus tard, Carl grogne et éjacule dans le cul de sa professeure. La caméra photographie toujours tandis qu’il la relève lentement et que le sperme s’échappe de son trou du cul ouvert et tombe sur la queue et les couilles de Carl.- Regardez les dégâts que vous avez faits Mme O’KEEFE ! Nettoyez tout avec votre langue et regardez bien l’objectif pendant que vous le faites.Il la jette par terre et attire son visage sur son sexe. Karen sort sa langue et lèche sa bite pour la rendre propre. Elle n’oublie pas de regarder l’appareil photo. C’est la chose la plus dégoûtante et la plus humiliante qu’elle n’ait jamais fait. Pourtant elle aime ça. Elle est comme sa fille. Elle est son esclave sexuelle. Il peut faire tout ce qu’il veut et elle le laissera faire. Si seulement il pouvait rester loin de Katie.- Ecoute Carl, j’ai fait tout ce que tu m’as demandé. Tu resteras loin de Katie d’accord ?- Pour ça alors, je veux t’avoir comme je veux. Et je veux te baiser devant ton mari, je veux qu’il voie à quel point tu aimes mon sexe.Il lui dit ce qu’il compte faire. Elle n’aime pas ça, mais quel choix a-t-elle ? Au moins Katie ne sera pas là quand ça arrivera. Elle doit passer la journée chez une amie. Karen est soulagée.*****Comme prévu, la porte arrière est ouverte quand Carl arrive. Il porte une cagoule. Il trouve le professeur O’KEEFE, le mari de Karen, dans son bureau.- Bonjour professeur, vous ne me connaissez pas mais moi je vous connais. Ne bougez pas !Le fusil qu’il approche de la tête de l’homme n’est pas chargé, mais le professeur ne le sait pas. Carl lui attache les mains et le bâillonne. Ensemble ; ils partent à la recherche de Mme O’KEEFE. Carl sait déjà qu’elle est dans la chambre à coucher. Il jette l’homme sur une chaise et lui attache les pieds.- Bonjour Mme O’KEEFE, avez-vous déjà rêvé d’être baisée devant votre mari ? Je parie qu’il a comme fantasme que ça se réalise. Enlevez vos vêtements !Comme il lui avait dit la veille, elle essaie de courir. Carl att**** son bras et la jette sur le lit. Il arrache le chemisier puis le soutien-gorge. Ensuite il enlève la culotte et la jupe. Le mari se débat sur la chaise, mais il peut à peine bouger.Karen n’arrive pas à croire les sensations qui traversent son corps. Elle devrait se sentit humiliée et en colère. Au lieu de ça, sa chatte dégouline. Elle peut sentir ses tétons nus gonfler. Elle aime ce que fait le garçon, et devant son mari ça l’excite encore plus.- Je ne vous le dirai qu’une fois Mme O’KEEFE et vous feriez bien de comprendre. Si vous faites tout ce que je dis, je ne mettrai pas de balle dans la tête de votre mari. Une seule erreur et PAN il est mort.Carl pose le canon du fusil sur la tempe de M. O’KEEFE et l’arme. Karen hoche de la tête affirmativement. Alors Carl la saisit par le bras et la jette sur le sol.- Bon, tout d’abord vous allez vous mettre à genoux et sucer ma bite. J’espère pour votre mari que vous savez sucer une bite.Karen s’agenouille et déboucle le pantalon du garçon. Elle est impatiente de voir la grosse queue et de s’en régaler, de sentir ses lèvres glisser sur le bâton de chair. Elle baisse le pantalon et admire le gourdin qui pend devant son visage. Elle en salive. Elle regarde son mari. Celui-ci hoche la tête pour l’encourager. Elle essaie de ne pas sourire.Elle fait semblant de ne pas savoir comment faire. Elle sort sa langue et touche la bite, puis elle pose ses lèvres dessus. Elle la regarde alors qu’elle revient lentement à la vie. Finalement elle prend la queue dans sa bouche et la sent continuer à se développer. Quand le membre est bien raide, elle fait glisser ses lèvres dessus et elle fait tournoyer sa langue sur le gros gland.- Je croyais vous avoir dit de sucer ma bite, pas de vous amuser avec Mme O’KEEFE. Votre mari ne vous a jamais rien appris alors je vais vous donner une leçon.Carl att**** les cheveux de la femme et tire sa tête tout en tenant sa bite dans sa bouche. Elle n’a pas d’autre choix que d’ouvrir grande la gueule. Le garçon tient ses lèvres serrées contre son pubis jusqu’à ce qu’il sente qu’elle ne peut plus respirer. Il tire la tête en arrière. Karen halète et bave. Il remet sa bite au fond de la gorge en disant :- C’est mieux comme ça, ouvre bien que je puisse baiser ta bouche.A plusieurs reprises il claque sa queue dans et hors de sa bouche. A chaque fois il lui tient bien la tête pour coincer son membre au fond de la gorge. Karen bave partout et fait des bruits de succions. De temps en temps Carl bloque sa queue au fond de la gorge jusqu’à ce que sa professeure ait désespérément besoin d’air.Karen est complètement excitée. Plus il lui baise la bouche violemment, plus sa chatte s’humidifie. Elle aime quand il l’étouffe avec sa bite. Elle n’en a jamais assez et elle aime que son mari soit forcé de regarder.- Pourquoi ne montrez-vous pas à votre mari à quoi ressemble une pute avide de bites ?Carl retire sa bite et tourne le visage de la femme vers son mari en la tirant par les cheveux pour qu’elle ne puisse pas bouger. De la salive coule sur ses lèvres et son menton. Sa bouche est ouverte. Et elle ne peut cacher l’excitation dans ses yeux.- Je pense qu’elle aime ça Professeur. Regardez ses yeux ! Dites-lui Mme O’KEEFE, dites-lui que vous aimez sucer ma bite.Karen n’arrive pas à croire qu’il veut lui faire faire ça. Elle marmonne quelques « euh » et rien de plus. Elle sait bien ce qui va lui arriver et elle l’attend.- Oh… Peut-être avez-vous oublié Mme O’KEEFE ? Laissez-moi vous rafraichir la mémoire.Il tire rapidement les cheveux de Karen et fourre sa bite dans sa gorge. Il la tient tandis qu’elle se débat pour ne pas étouffer. Mais cette fois, il ne se retire pas tout de suite.- Vous vous souvenez maintenant Mme O’KEEFE ? Croyez-vous que vous allez pouvoir dire à votre mari que vous aimez avoir ma bite dans votre bouche ?Karen secoue la tête. Ses poumons la brulent. Elle va s’évanouir s’il ne la laisse pas respirer bientôt. Finalement il se retire. Elle tousse et un énorme flot de bile coule sur sa poitrine. Carl gifle son visage avec sa queue pour qu’elle retrouve ses sens. Puis, en tirant sur ses cheveux, il tourne son visage vers son mari :- Professeur, je crois que votre femme a quelque chose à vous dire.- Je… J’aime sucer sa bite.Il tord les cheveux jusqu’à ce qu’elle s’imagine qu’il va les lui arracher de la tête.- Est-ce que ça ne vous plaît pas ? N’avez-vous pas envie que mon sexe glisse sur votre langue, bais votre bouche et descend dans votre gorge ?- Oui… Oui, j’aime sa bite dans ma bouche et dans ma gorge. J’aime la sensation de cette chair durcie qui glisse entre mes lèvres. J’aime la manière dont il me baise le visage. J’aime tout.Elle lève les yeux vers son mari tout en lui parlant. Il a l’air un peu surpris par le regard de luxure sur son visage pendant qu’elle parle. Ce qu’il ne sait pas, c’est que Karen mouille tellement qu’elle peut sentir son jus couler le long de ses cuisses. Elle aime ce que Carl nevşehir escort bayan lui fait. Elle en veut plus.- Vous voyez Professeur elle adore ça. Et je parie que vous aimez aussi regarder votre femme me sucer. Vous bandez n’est-ce pas ? Pourquoi vous ne nous montrez pas Mme O’KEEFE ?Carl jette Karen sur les genoux de son mari. Elle descend sa braguette et elle est surprise de découvrir une bite bien raide. Son mari est un pervers et un voyeur. Ça l’excite encore plus.- Hé bien Professeur ? Vous êtes un mauvais garçon ! Allez Mme O’KEEFE, pourquoi ne montreriez-vous pas à votre mari un échantillon de vos nouvelles compétences ? Qui sait, il va peut-être me remercier.Toujours en la tenant par les cheveux, Carl pose le visage de Karen entre les jambes du Professeur. Une fois que sa queue est entre les lèvres de sa femme, le garçon pousse la tête en avant et la tient ainsi un moment. Puis il la relève et la pousse encore et encore. Karen n’a pas de mal à s’accommoder de la bite de son mari après avoir sucé la queue surdimensionnée de Carl.- Vous savez ce que je vais faire Professeur ? Je vais baiser votre femme pendant qu’elle vous suce la bite. J’espère que ça ne vous dérange pas, je sais déjà que ça ne la dérangera pas elle.Carl tient la tête de Karen en place sur la bite de son mari tandis qu’avec son autre main il soulève la petite jupe. Il plie les genoux et oriente son gland sur la chatte dégoulinante. Rapidement il fend les petites lèvres et disparaît à l’intérieur. Puis il commence à la pilonner avec des coups rapides et puissants.Karen essaie bien de combattre le garçon mais c’est inutile. Un orgasme va arriver. Elle ôte la bite de son mari de sa bouche et elle se mord la lèvre. La grosse queue de Carl la martèle encore et encore. Une explosion déchire son ventre et du jus jaillit de sa chatte. Elle halète, son corps tremble. Son jus coule le long de ses cuisses.- Je vous ai dit qu’elle allait en profiter Professeur. Je suis content que vous ayez eu un orgasme Mme O’KEEFE. Mais vous négligez votre mari, soyez une bonne salope et remettez sa queue dans votre bouche !Tout le corps de Karen tremble. Ses jambes sont flageolantes. La queue de Carl continue à marteler sa chatte. Elle sait qu’elle va bientôt jouir à nouveau. Elle prend la queue de son mari au fond de sa gorge et elle essaie de se concentrer dessus, mais ça ne l’aide pas beaucoup. Un cri étouffé échappe de sa gorge alors qu’un autre orgasme la traverse.- Professeur, votre femme fait un sacré gâchis, il y a du jus de chatte partout. J’ai bien peur de devoir la sodomiser.Karen savait que ça allait arriver alors elle s’y était préparée. Quand elle sent le gros gland appuyer sur son sphincter, elle met son cul en l’air pour le recevoir. Carl la pénètre facilement. Sa queue disparaît entre ses fesses jusqu’au moment où elle est complètement enterrée.- Je ne pense pas que ce soit la première bite que votre femme ait eu dans le cul Professeur. N’est-ce pas ? Vous avez déjà été enculée Mme O’KEEFE ?Carl sort et entre sa bite du cul de Karen tout en tenant sa tête sur la queue de son mari. Il se rend compte à l’expression de son visage que le professeur est sur le point d’éjaculer. Carl relève la tête de la femme en la tirant par les cheveux pour qu’elle regarde son mari. Il continue à la sodomiser brutalement.- Utilisez votre main Mme O’KEEFE, Faites-le jouir sur votre visage. Regardez sa figure Professeur, elle adore avoir ma bite dans son cul… Dites-lui Mme O’KEEFE !Karen enroule la main autour de la bite dressée de son mari et la fait coulisser à quelques centimètres de son visage. Elle sort la langue et lèche le gland tout en regardant les yeux désespérés de son mari.- Oui mon chéri, il a raison, j’adore avoir sa bite dans mon cul… C’est si bon quand il glisse dans mon trou si serré… Oh merde chéri, je crois que je vais encore jouir… Mais d’abord je veux sentir ton sperme éclabousser mon visage.Sur ces mots, la semence du Professeur O’KEEFE gicle en l’air, éclabousse le côté du visage de sa femme et retombe sur ses cheveux. Une deuxième giclée arrose son nez et son front. Le membre continue de couvrir le visage de haut en bas jusqu’à ce que ça dégouline de son menton.Carl sort du cul de Karen et la jette sur le dos par terre. Il se met au-dessus d’elle, en se masturbant jusqu’au moment où une rivière de sperme jaillisse de sa queue et tombe sur les seins, le cou et les lèvres de la femme. Puis il gicle sur son visage et ses cheveux, ajoutant sa semence à celle de son mari.Les doigts de Karen ont trouvé son clitoris qu’elle frotte avec des mouvements rapides. Lorsque le sperme de Carl l’éclabousse, elle se cambre et se tortille sous ses doigts. Du jus jaillit de sa chatte et coule entre ses fesses pendant qu’elle subit un autre orgasme. Quelques secondes plus tard, elle essuie ses yeux et regarde son mari qui paraît incrédule. Elle a des explications à lui donner mais ça serait plus tard.La bite du professeur s’est complètement redressée en voyant sa femme humiliée et couverte de sperme par un étranger. Carl lui dit :- Professeur, vous êtes un vilain garçon. Mais vous avez de la chance, je vais vous laisser baiser Mme O’KEEFE dans le cul pendant qu’elle suce ma bite. Puis je baiserai sa chatte.Carl tire Karen pour la relever, puis il la fait asseoir sur la bite de son mari qu’elle guide dans son trou du cul. Carl fourre son membre dans son visage couvert de foutre et att**** ses cheveux pour mieux baiser sa bouche. Une fois qu’il bande à nouveau, il repousse les jambes de la femme et glisse sa bite dans sa chatte pendant que son mari a encore sa bite dans son cul.- Donnons-lui le plaisir de sa vie Professeur !Karen n’a jamais ressenti quelque chose comme ça. Sa chatte et son cul sont occupés par des bites. Carl pince ses tétons si durement qu’elle a mal. Elle le regarde, de l’excitation dans les yeux. Elle va jouir. Elle pose un doigt sur son clitoris. Carl tord ses tétons. Elle crie. Un orgasme la traverse de nouveau.- Remplissons la de foutre Professeur ! Serrez votre cul Mme O’KEEFE !Elle sait comment faire et s’exécute pendant qu’elle monte et descend sur la queue gonflée de son mari. En même temps, Carl martèle sa chatte violemment. Il met ses mains autour de son cou et serre. Elle sent qu’un autre orgasme arrive.Le Professeur est le premier à jouir. Il grogne et éjecte sa semence crémeuse dans le trou du cul serré de sa femme. Mme O’KEEFE est la suivante. Elle est sur le point de perdre connaissance quand sa chatte explose et arrose de jus le ventre de Carl. Celui-ci la pilonne encore quelques fois avant de grogner et remplir la chatte de foutre chaud.- Vous les deux tourtereaux ne bougez pas pendant que je pars. Et ne pensez même pas à appeler les flics… Comment allez-vous expliquer le sperme de votre mari dans votre cul et sur votre visage…Karen attend le moment où elle entend la porte arrière claquer avant de se lever et enlever la bite de son mari de son cul. Puis elle le détache et enlève son bâillon.- Tu vas bien chéri ? Mon Dieu, c’était difficile de simuler ces orgasmes. Mais je crois que c’était la seule chose à faire pour nous sauver. Et je crois qu’il a raison, nous ne pouvons dire à personne ce qui vient de se passer.Katie regarde la flaque de son jus sur le sol. Il coule encore sur ses cuisses. Elle est contente que Carl l’ait ramenée de chez son amie et l’ait laissée tout regarder depuis le placard de ses parents. Il lui a promis de la baiser demain. Elle est impatiente.A suivre…*********N’oubliez pas de visiter mon blog ou ma page sur Literotica. Merci pour vos commentaires.

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